jeudi 23 décembre 2021

Quand on n'a pas d'idées nouvelles on s'en tient à celles qu'on n'a pas eu !? (Et ce n'est pas une tornade ce énième virus Omicron ne confondons pas avec MACRON puisqu'il est toujours là à parier sur un miracle !?)

 

L’exécutif dans la tornade du variant Omicron

Face à la propagation fulgurante de la nouvelle souche du virus, l’Élysée promeut « l’accélération et la continuité », misant tout sur la vaccination.

Face à la déferlante du variant Omicron, l’exécutif change de ton. Après avoir laissé penser que la France allait traverser la cinquième vague de l’épidémie en meilleure posture que d’autres pays touchés grâce à une population plus vaccinée, le gouvernement se retrouve contraint, à quelques jours des fêtes de fin d’année, de revoir son dispositif. « La situation est critique […]. L’épidémie risque de repartir en trombe sous l’effet du variant Omicron », a mis en garde Gabriel Attal, porte-parole du gouvernement, à la sortie du conseil des ministres. L’angoisse gagne les rangs du pouvoir, où la perspective d’en passer par de nouvelles restrictions n’est plus écartée, comme s’il fallait préparer les esprits.

La ministre du Travail Élisabeth Borne appelle déjà les entreprises à « renforcer » le télétravail, préconisant sur Europe 1 « trois à quatre jours par semaine » à la maison à partir de la rentrée de janvier, tandis que les grands rassemblements sont interdits le soir du 31. « On n’exclut pas d’aller plus loin. C’est encore trop tôt », évacue-t-on dans l’entourage du Premier ministre. « Si on doit revenir à un couvre-feu en janvier, on le fera, lâche un protagoniste invité chaque mardi au petit-déjeuner de la majorité à Matignon. Les Français attendent fermeté et célérité. » Pour l’éviter, les dirigeants mettent tout en œuvre pour accélérer encore et encore la vaccination, que ce soit sur les doses de rappel ou sur les primo-injections. Deux millions de créneaux de rendez-vous supplémentaires ont été promis d’ici la fin de l’année.

Omicron : de bonnes et de moins bonnes nouvelles

Dans l’urgence, le Premier ministre a annoncé vendredi à la surprise générale le remplacement du pass sanitaire par un pass vaccinal, assumant une forme « d’obligation vaccinale », tel que l’a reconnu le ministre de la Santé. Les Français désireux de se rendre au restaurant, au bar, dans les salles de sport ou dans les lieux culturels devront justifier d’un schéma vaccinal en cours ou complet et non plus d’un test négatif au Covid-19. Dans le même temps, le délai entre la deuxième et la troisième dose est raccourci, et les enfants à partir de 5 ans ont désormais accès à la vaccination. « Notre logique reste de faire peser les contraintes sur les non-vaccinés. Nous faisons le choix de la confiance et de la responsabilité. La vaccination reste notre meilleure arme, nous défendons donc l’accélération et la continuité », défend l’Élysée.

Submersion

Or, l’augmentation exponentielle du nombre de cas complique la communication du gouvernement. Mardi, 73 000 contaminations ont été recensées. Des centaines de milliers de Français devront passer Noël à l’isolement. Et le pire est à venir. « Il faut expliquer pourquoi le vaccin ne protège pas totalement et n’empêche pas la propagation du virus », fait observer un responsable de la majorité. Invité mercredi matin de RMC/BFMTV, le ministre de la Santé Olivier Véran a fait savoir que le cap des 100 000 cas par jour serait franchi d’ici à la fin du mois, puisqu’« Omicron sera majoritaire entre Noël et le Nouvel An ». L’exécutif attend désormais avec une certaine appréhension les effets de ce variant sur les cas graves et les hospitalisations pour éventuellement ajuster sa riposte en fonction de la dangerosité de la nouvelle souche. Les données venues du Royaume-Uni, touché plus précocement par Omicron, seront disponibles « dans les prochains jours ». « On est en pleine submersion. Ce qui nous inquiète, c’est la traduction concrète du variant dans les hôpitaux. Les populations jeunes sont plus touchées mais si celles-ci contaminent leurs aînés, cela peut devenir compliqué », décrypte-t-on à Matignon. Dans ce cas, un Conseil de défense sanitaire pourrait être convoqué la semaine prochaine.

--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

C’est ça la politique macronienne de nos dirigeants bien-pensants donneurs de leçons que l’on doit supporter et qui rabâchent que seule la vaccination est la solution (même si les vaccins différents et devenant nombreux selon des types différents ne sont pas efficaces à 100 % avec rappels plus fréquents mais jusqu’à quand !?)

Avec un président pseudo monarque sans couronne qui fait des paris sur l’avenir attendant un miracle comme depuis le début de cette pandémie n’ayant pris aucune décisions efficaces lors de ses conseils de défense fumeux avec ses conseillers politiques et scientifiques qui en sont réduit à essayer (d’agir un peu) au jour le jour montrant qu’ils sont dépassés et qui sont « comme des chiens perdus qui courent après leur queue » ce qui n’est pas la 1ere fois depuis le début de ses vagues de virus qu’ils numérotent laborieusement !

Citons encore Victor HUGO, dans sa tirade de Ruy Blas (librement détournée) pour ce problème de crise sanitaire :

Ô ministres intègres !
Conseillers vertueux ! Voilà votre façon
De servir, serviteurs qui pillez la maison !
Donc vous n'avez pas honte et vous choisissez l'heure,
L'heure sombre où la France agonisante pleure !
Donc vous n'avez ici pas d'autres intérêts :
Que cette élection présidentielle d’une lamentable qualité !?

Jdeclef 23/12/2021 16h38


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire