Cette campagne électorale déplorable hypocrite pourri les décisions de ce gouvernement qui ne demande qu'à chuter lourdement...?!(Car ce gouvernement est fini 2022 est là ...)

 

Cotta – Covid-19 : le gouvernement joue les équilibristes

CHRONIQUE. Entre jauges et vaccination, le président et le Premier ministre ont choisi le juste milieu, le « en même temps », à quelques jours de la fin de l'année.

Ne pas en faire trop. Ni pas assez. Encore moins faire peur, sans oublier de rappeler les Français à leurs responsabilités devant le danger. Le « en même temps » n’existe pas seulement en politique. Ne pas jeter les Français dans la rue au moment où on leur demande poliment de garder leurs distances, ne pas les punir et pourtant les protéger. Les engager à se faire vacciner, et vite, tout en laissant entendre que l’efficacité des doses est éphémère. Tout cela au moment où un nouveau variant fiche par terre toutes les prévisions, et une partie des espérances, notamment de sortir vite de ce cauchemar.

Le président et le Premier ministre ont choisi le juste milieu, le « en même temps » en quelque sorte : on ne bouclera pas les Français le soir du réveillon du 31 décembre. On aura le droit de se réunir dans les salles fermées, à condition que la jauge de 2 000 personnes soit respectée – ce qui exclut 150 salles qui, en France, ont une contenance largement supérieure – et dans les grands espaces, à l’extérieur, comme les stades, mais à pas plus de 5 000, et à condition, en tout cas pour les concerts, de rester assis. À force d’avoir entendu leurs représentants dire qu’ils prenaient, et depuis longtemps, toutes les précautions recommandées, les restaurateurs sauvent leurs repas de fêtes – à condition que personne ne s’installe au bar et que chacun s’assoie dans la salle à la place qui lui est désignée. Enfin, les enfants retrouveront l’école dès la première semaine de janvier, avec un protocole inchangé.

Covid-19 : les nouvelles restrictions annoncées par le gouvernement

Un isolement bientôt réduit ?

Quant à la durée de l’isolement assignée aux cas contacts et aux cas tout court, il faudra attendre la semaine prochaine pour être fixé. Le temps qu’on sache, autant que faire se peut, à quel moment et jusqu’à quand le virus est le plus offensif. Bref une série de mesures qui répond à la volonté de ne pas « emm… » davantage les Français, au désir de ne pas provoquer une réaction hostile, voire la désobéissance, manifestée dans d’autres pays, envers des normes plus strictes et autres assignations à résidence.

Inutile de dire que les raisons du bien-être psychologique des Français – et des personnels soignants – dont, à juste titre, on peut redouter la morosité, l’épuisement ou même la dépression, ne sont pas seules à avoir été prises en compte. Au moment où l’économie repart, où, même en novembre, les chiffres d’emploi ont été positifs, rien ne serait pire, juge le gouvernement, qu’un nouveau coup d’arrêt à l’économie : ce serait une maladie virale d’une autre espèce dont la contagiosité serait sinon vitale, du moins largement pénalisante. 

Omicron : un risque de paralysie économique, faute de bras

Aucun doute : devant ce discours mesuré et ces solutions limitées, les oppositions se déchaînent. Une politique « plus folle que jamais », a lancé Éric Zemmour sans proposer la moindre alternative. Un refus du pass vaccinal, pour Marine Le Pen, sous le prétexte que les vaccins ne sont pas éternels – même s’ils réduisent, dit-on, la dangerosité des cas. Quant à la gauche, sa réaction n’étonne pas : davantage de lits d’hôpitaux, plus de personnel, plus de moyens, et l’épidémie sera vaincue. Plus prudente, parce qu’elle se veut d’autant plus responsable qu’elle est durablement installée, semble-t-il, à la deuxième place dans les sondages, Valérie Pécresse avait fait la proposition d’un report de la rentrée scolaire du 3 janvier . Elle n’a pas été entendue et, n’en doutons pas, attend le moment propice pour en faire, ou pas, le reproche à Emmanuel Macron.

Covid-19 : le nombre de cas explose chez les jeunes en France

Covid-22

Ce qui reste vrai, pourtant, c’est que le Covid-19, devenu hélas Covid-22, impose son tempo : tant que les hôpitaux ne sont pas vraiment débordés, tant que les lits de réanimation sont en tension, certes, mais encore suffisants, les politiques abordent le problème conférence de presse après conférence de presse, en s’adaptant, tant bien que mal, à la malice maligne du virus. Mais si les hypothèses les plus pessimistes se confirment, alors il faudra bien changer de braquet, en espérant qu’on puisse encore faire quelque chose.

En cela, Emmanuel Macron joue quitte ou double : ce que lui assure aujourd’hui son bilan, honorable finalement dans la tragédie sanitaire, pourrait, demain, se retourner contre lui. Sa façon, dans cette période difficile et confuse, de refuser de mettre les Français « sous cloche » pourrait nourrir demain les critiques tous azimuts de ses adversaires. Qui en doute ? Pas lui, assurément.

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Car ils ont fait leurs temps ces ministres et secrétaires d’état et à 3 mois de leur fin de mandature n’inventeront plus ce qu’ils n’ont pu faire avant !

Poussé indirectement par notre président monarque qui essaie par tous les moyens de sauver son trône et les sacrifiera si c'est utile, bien que trop près de l'échéance présidentielle ces ministres inféodés inutiles qui n'attendent que les ordres de leur maitre au garde à vous couture sur le pantalon !

Les Français n’ont pas encore compris qu’ils ont élus un président à qui ils ont donné trop de pouvoir qui a la tête qui a enflée au point de l’empêcher d’ôter sa pseudo couronne de faux monarque parvenu !

Et cette crise sanitaire le confirme car a mis en exergue ses faiblesses et montré ses incompétences d’apprenti chef d’état assez nombreuses en fait car étant là pour gérer le pays et surtout les protéger en oubliant notamment que la santé est prioritaire avec ses services divers hôpitaux et nombreux hospitaliers médecins soignants infirmier(es) spécialisés induits et effectifs en découlant dans un pays qui se targue avec arrogance d’avoir la meilleure santé du monde !?

Lui, ce Mr petit bourgeois n’a pas compris « que le quoi qui en coute » ne suffit pas en faisant des chèques, car le travail et le retard est accumulé depuis 40 ans malgré les manifestations de tous les soignants était là avant lui et avec cette crise sanitaire qui n’a fait qu’accentuer tous les problèmes malgré les mesures diverses à marche forcée variable selon son humeur et ses fumeux conseils de défense ne sont que des palliatifs bidons !

Les Français jugeront enfin ceux qui ont eu la chance de ne pas mourir de cette Covid çà c’est la réalité !

122000 décès dit-on est-ce suffisant !?

Jdeclef 28/12/2021 10h40LP