Vaccination : la HAS recommande de réduire à 3 mois le délai pour le
rappel
Face à la menace du variant Omicron, la Haute Autorité de santé préconise
aussi d’administrer un rappel aux adolescents de 12 à 17 ans
vulnérables.
(HAS haute autorité de santé plutôt « HAN Nulle » ?!)
Face
à la cinquième vague de l’épidémie de Covid-19 et alors que le variant Omicron,
particulièrement contagieux, se répand en France, la Haute Autorité de santé
(HAS) recommande que la dose de rappel de vaccin puisse être réalisée à partir
de trois mois. En attendant d'examiner cet avis, le ministère de la Santé a
indiqué dans la foulée que le délai serait ramené à 4 mois dès ce
vendredi 24 décembre (et non à partir du 3 janvier comme
initialement prévu). Jusque-là, le délai pour la dose de rappel était
de 5 mois après la précédente injection.
« À l'instar de plusieurs pays, la HAS recommande que
l'administration d'une dose de rappel puisse désormais être réalisée à partir
de 3 mois après la primovaccination dans la population éligible à ce
rappel », écrit la HAS dans son dernier avis publié vendredi. Elle
justifie cette recommandation par le fait que, selon les dernières études
publiées, les vaccins sont efficaces à 80 % pendant un à deux mois
contre les formes symptomatiques non graves du variant Omicron, mais perdent
plus rapidement leur efficacité qu'avec les variants
précédents : 34 % à 4 mois après une primovaccination
avec le vaccin de Pfizer.
Covid-19 : pourquoi la cinquième vague inquiète
Les résultats de deux études confirment « une bonne
tolérance » y compris lorsqu'elle est administrée
dès 3 mois après la primo-vaccination, souligne la HAS. Mercredi, le
ministre de la Santé Olivier Véran avait indiqué que la dose de rappel ne
serait pas élargie « pour l'instant » aux adolescents.
Vaccin anti-Covid et variant Omicron : pourquoi la
dose de rappel s’impose
Dans son avis, la Haute autorité de santé recommande dès à présent
l'administration d'une dose de rappel chez les 12-17 ans souffrant
d'immunodéficience ou d'une comorbidité à risque de forme grave, selon les
mêmes modalités que les adultes.
Elle précise qu'elle se prononcera ultérieurement sur
l'administration de ce rappel à l'ensemble des adolescents, dans l'attente des
résultats d'un essai clinique mené par Pfizer pour évaluer l'efficacité et la
tolérance de cette dose de rappel chez les adolescents.
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Et faire comme notre président croire au miracle en faisant
des paris d’une fin de cette pandémie en 2022 !?
Si cela arrivait ce serait forcément une bonne nouvelle que
de multiples gogos lui attribuerait, bien qu’il n’y serait pour rien, car depuis
le début il a été dépassé tout comme les scientifiques de ces fameux conseils
de défense et ceux qui occupent l’audimat des chaines de télés d’information ou
autres plateaux télé (sans compter les politiciens de tous bords donneurs de
leçons qui pense à l’élection présidentielle !)
Il ne commettra pas l’erreur de reporter l’élection car il faudrait
changer la constitution et çà c’est trop compliqué si près de l’échéance (mais
va savoir avec un tel personnage !?)
En fait c’est logique il ne peut faire de miracles aux vues
d’une pandémie mondiale, même si mal gérée en France car aussi chez certains de
nos voisins et les Français lui pardonneront c’est classique, on a vu par
exemple avec MITTERAND qui a été réélu pourtant après des septennats ratés ou
il a leurré tous les Français !
Les Français lambda sont bon public car pas assez exigeants
et naïfs envers tous ses politiciens des tous bords qui courent après le
pouvoir suprême car ils ne savent pas bien voter en élisant un candidat à qui
ils donnent trop de pouvoir !?
Jdeclef 25/12/2021 12h19
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