lundi 13 décembre 2021

C'est curieux tous ces politiciens (hypocrites) de tous bords français qui rendent visite à ce président hongrois vilain petit canard noir extrémiste populiste de cette Union Européenne ?!

 

Emmanuel Macron part à la rencontre de Viktor Orban

Le président de la République se rend en Hongrie, lundi 13 décembre, pour la première visite officielle d’un chef de l’État français depuis 2007.

Emmanuel Macron se rend à Budapest, en Hongrie, lundi 13 décembre, afin d’aller à la rencontre de Viktor Orban. Le président français se déplace officiellement pour assister à un sommet du groupe de Visegrad, qui comprend la Hongrie, la Pologne, la République tchèque et la Slovaquie. Mais son passage par Budapest et les bureaux de Viktor Orban devrait également lui permettre de clarifier sa position vis-à-vis de la Hongrie et de son Premier ministre. Opposant assumé, sur le plan des valeurs, de la France au sein de l’Union européenne, Viktor Orban demeure un allié potentiel sur les questions du nucléaire, de la défense européenne ou des investissements.

Ce déplacement, le premier d’un chef d’État français depuis 2007, s’effectue dans le cadre d’un sommet des pays du groupe de Visegrad (Hongrie, Pologne, République tchèque, Slovaquie). « C’est un adversaire politique, mais un partenaire européen », a souligné jeudi M. Macron, qui boucle ainsi sa tournée des 26 autres capitales de l’Union européenne. « Quels que soient nos sensibilités politiques, nos choix, nous devons travailler ensemble pour notre Europe. »

« Il est très clair que sur le sujet de l’État de droit, il y aura des désaccords, mais je pense que sur les sujets de souveraineté, sur le sujet du modèle de croissance et sur des sujets multiples, il peut y avoir aussi une capacité à trouver des compromis utiles », a-t-il ajouté. Viktor Orban a pourtant souvent été cité par Emmanuel Macron comme le chef de file d’un camp nationaliste et souverainiste dans l’UE, auquel il oppose celui des europhiles « progressistes ».

Viktor Orban dans sa version « non censurée »

Terrains d’entente

Avec la Pologne, la Hongrie a adopté plusieurs lois contestées à Bruxelles, notamment un texte interdisant la représentation de l’homosexualité auprès des moins de 18 ans. Et comme Varsovie, elle conteste la suprématie du droit européen sur le droit national. En riposte, la Commission a lancé plusieurs procédures à leur encontre pour atteinte à l’État de droit et aux valeurs de l’UE, en particulier un mécanisme de « conditionnalité » des aides européennes, qui bloque le versement de subventions à la relance.

Mais ces sujets « ne sont pas nécessairement liés » aux accords qui peuvent être trouvés sur la souveraineté numérique, le renforcement de l’Europe de la défense, un budget européen d’investissements ou encore des alliances industrielles, a fait valoir la présidence française. Les deux dirigeants avaient déjà trouvé des terrains d’entente lorsqu’Emmanuel Macron avait reçu Viktor Orban en octobre 2019, en particulier sur la protection des frontières et la nécessité d’une défense européenne.

L’Élysée assure cependant que le président français parlera des points de désaccord et n’a « pas l’habitude d’esquiver », alors que la communauté LGBT+ hongroise l’a appelé à évoquer la question lors de sa rencontre avec M. Orban, dans une lettre ouverte au magazine français Têtu. Dès son arrivée à Budapest prévue à 11 h 30 heure locale (10 h 30 GMT), Emmanuel Macron ira d’ailleurs se recueillir sur la tombe de la philosophe Agnes Heller, décédée en 2019, une figure de l’opposition qu’il avait reçue à Paris en 2018.

Dumping fiscal : la Pologne et la Hongrie font de la résistance

À la rencontre de l’opposition

Il rencontrera en outre Gergely Karacsony, le maire de Budapest, ainsi que d’autres représentants des partis anti-Orban, dont Peter Marki-Zay, candidat unique de l’opposition qui espère aux législatives d’avril 2022 renverser le Premier ministre hongrois, au pouvoir depuis 2010. Ce qui fait de lui le plus ancien dirigeant de l’UE en exercice depuis le départ d’Angela Merkel.

« Monsieur Macron, la Hongrie que vous vous apprêtez à visiter est bien un pays gouverné par l’extrême droite », l’a interpellé le maire d’un arrondissement de Budapest, le sociologue Gabor Eross, dénonçant « la corruption généralisée, la campagne anti-LGBT+, la fraude électorale, l’oligarchisassions de l’économie et la répression massive de la société civile ».

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Nouvelle mode dans cette U.E. pas si unie que çà en fait, qui érige des murs de barbelés hermétiques de plus en plus présents aux frontières nationales de certains pays états de cette U.E. !

Car sclérosée par l'immigration galopante que lui ORBAN ne veut pas et que la Hongrie stoppe fermement dans son pays !?

Et dont le sujet brulant réclamé par le peuple de France (par coïncidence) vient de s'inviter dans la campagne présidentielle française reprise par certains de ses candidats dans leurs programmes !

Alors notre président pseudo monarque sans couronne futur président de cette union européenne va-t-il donner des leçons à ce président ou en prendre de celui-ci qui risque de lui dire de se mêler de ses affaires d’état (qu’il gère si mal en France !?)

Il est à douter que le président Hongrois ne supporte pas notre donneur de leçons moraliste de bienpensant que subissent au quotidien les Français lambda jusqu’à en avoir une indigestion !?

Jdeclef 13/12/2021 12h14


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