mercredi 15 décembre 2021

En fait MACRON était un pétard qui a fait pschitt comme d'autres avant lui ! Rien de nouveau sur le fond par rapport à ses prédécesseurs...

 

Coignard – Qu’il semble loin le nouveau monde promis par Emmanuel Macron !

CHRONIQUE. Une interview au statut ambigu, une realpolitik assumée au nom des intérêts nationaux, une distribution de cadeaux… Rien de neuf !

La promesse était celle de la rupture avec l’« ancien monde », celui qu’Emmanuel Macron a atomisé avec son entrée à l’Élysée et l’élection d’une majorité parlementaire aux effectifs très largement venus d’ailleurs. Pourtant, si l’on observe plusieurs signaux, la nouvelle ère qui devait advenir en 2017 s’inspire de vieilles ficelles éprouvées pendant toute la Ve République.

Le président, donc, s’exprime ce soir à l’occasion d’une interview fleuve enregistrée dimanche dernier. Ses opposants hurlent à la supercherie. Ils en appellent au CSA pour que son temps de parole soit décompté de celui imparti au futur candidat Macron. Aussitôt, en riposte, plusieurs voix – celles du porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, et du garde des Sceaux, Éric Dupond-Moretti, notamment – s’élèvent au sein de l’exécutif pour cibler Valérie Pécresse. La candidate LR dénonce en effet une pratique qu’elle défendait quand, ministre de Nicolas Sarkozy, elle justifiait début 2012 l’interview que celui-ci accordait à plusieurs chaînes de télévision avant d’avoir officialisé sa candidature.

Pourquoi Emmanuel Macron s’exprime mercredi

Piètre défense, digne d’une cour… de récréation ! Se comporter comme ses prédécesseurs suffirait à légitimer la stratégie de communication adoptée par Emmanuel Macron ? À quoi bon, alors, s’être réclamé de la « transformation », voire de la « révolution » ?

L’évaporation des grands principes

Les dernières initiatives de politique étrangère n’exhalent pas vraiment un parfum de nouveauté non plus. La « realpolitik » l’emporte quand le président prend la responsabilité de réintégrer, par sa visite officielle, Mohammed ben Salmane dans le concert des nations dont il était exclu depuis l’assassinat téléguidé d’un opposant au consulat d’Arabie saoudite en Turquie. Même tonalité quand il refuse de s’associer au boycott de la cérémonie d’ouverture des JO de Pékin décidé par plusieurs pays anglo-saxons, parce que cela ne serait pas efficace. Et puis, lundi, lors de sa visite à Budapest, le chef de l’État a acté ses « désaccords politiques » avec son meilleur ennemi européen, le Premier ministre hongrois Viktor Orban. « Désaccords politiques » ? La formule ressemble à un aimable euphémisme quand elle est adressée à un dirigeant qui foule aux pieds l’État de droit. Les grands principes semblent tout à coup envolés.

Macron et l’Europe, le rendez-vous crucial

Sur le front budgétaire, la hausse du taux du livret A, l’indemnité inflation, le chèque énergie complémentaire, la prime de Noël, entre autres, alimentent le soupçon d’« arrosage automatique » souvent pratiqué à quelques mois de l’échéance présidentielle. Un faux procès que celui de « cramer la caisse » alors que l’inflation grignote le pouvoir d’achat ? Peut-être. Mais le président, ce soir, en défendant son bilan, devra aussi dissiper l’idée qu’avec lui aussi, tout change pour que rien ne change.

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Un grand bavard à discours alambiqués qui s'est trouvé confronté à la réalité de la politique et des Français qu'il ne connaissait pas, car n'étant pas de son monde de petits bourgeois parvenus et qu'il a eu tort de dénigrer en les traitant de gens de peu !

Dont le quinquennat à mal débuté en 2018 avec cet incident regrettable de l’affaire BENALLA une relation douteuse ce qui s’est suivi du déclenchement de commissions parlementaires qui ont stoppé un temps la marche du pays et dont le retentissement n’est d’ailleurs pas terminé totalement, l’intéressé étant encore en garde à vue actuellement pour une autre affaire douteuse !

Le président n’a pas été inquiété par cet épisode de son quinquennat car protégé par son immunité présidentielle, mais montre quand même les mauvais choix de ses collaborateurs !

Et depuis il a réussi à mettre les Français dans la rue par leurs mécontentements nombreux voire des manifestations houleuses voire violentes comme celle des gilets jaunes pendant des semaines et multiples grèves et autres échauffourées diverses pour divers motifs !

Ne parlons pas de la crise sanitaire de cette Covid mal gérée et cette vaccination bâclée constellée de ces fumeux conseils de défense bavardages inefficaces et de ces indécisions ou lâché de lest trop tôt sur des mesures de protections sanitaire au fil des différentes vagues de virus et bien sur la venue de ce pass sanitaire pas inutile mais mal présenté aux français dont on voit les limites logiques jusqu’à en supprimer 460000 pour les patients non vaccinés au 15/12/2021 ou n’ayant pas fait leur 3eme dose de rappel etc…

Certaines bonnes âmes diront que ce n’est pas sa faute grand bien leur fasse mais gouverner c’est décider et agir, lui a toujours un retard dans ces décisions !

Pour sa réélection les Français décideront, mais qu’ils réfléchissent çà changera avant d'en reprendre pour 5 ans !?

Jdeclef 15/12/2021 14h36


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