Un soldat français patrouille dans les rues
de Gao, au Mali, le 9 février 2013.
«Des islamistes se sont infiltrés dans la nuit et ça tirait de partout», a raconté par téléphone le maire de Gao, Sadou Harouna Diallo, précisant qu'il ne se trouvait pas à ce moment-là à son bureau. Un soldat malien se faisant appeler sergent Assak dit avoir aperçu au moins sept islamistes armés. «Ce sont des noirs et deux étaient déguisés en femmes», a-t-il ajouté lors d'une pause dans les tirs nourris échangés aux abords de la place de l'Indépendance. Gao, dans la boucle du fleuve Niger, a été reprise fin janvier aux rebelles islamistes par les forces françaises de l'opération «Serval» et les troupes maliennes. Un envoyé spécial de Reuters sur place a vu six pick-up de l'armée malienne équipés de mitrailleuses lourdes se déployer sur la place proche de la mairie et ouvrir le feu.
Les islamistes ont ciblé la grande place de Gao, rebaptisé place de la charia lors de l'occupation de Gao
Mali: Combats violents à Gao, explosion à Kidal
MONDE - Dans le nord du pays, les militaires français et maliens sont harcelés par les djihadistes...
La résistance est de plus en plus forte dans le nord du Mali. Les forces françaises et maliennes ont affronté jeudi des islamistes présumés dans les rues de Gao, la plus grande ville du nord du Mali, tandis qu'une voiture piégée explosait à Kidal. Selon des journalistes de Reuters, des soldats français et maliens ont ouvert le feu à la mitrailleuse sur la mairie de Gao pour en déloger des combattants islamistes. Ces derniers se seraient infiltrés dans cette localité bordée par le fleuve Niger durant une nuit ponctuée par des explosions et des fusillades.«Des islamistes se sont infiltrés dans la nuit et ça tirait de partout», a raconté par téléphone le maire de Gao, Sadou Harouna Diallo, précisant qu'il ne se trouvait pas à ce moment-là à son bureau. Un soldat malien se faisant appeler sergent Assak dit avoir aperçu au moins sept islamistes armés. «Ce sont des noirs et deux étaient déguisés en femmes», a-t-il ajouté lors d'une pause dans les tirs nourris échangés aux abords de la place de l'Indépendance. Gao, dans la boucle du fleuve Niger, a été reprise fin janvier aux rebelles islamistes par les forces françaises de l'opération «Serval» et les troupes maliennes. Un envoyé spécial de Reuters sur place a vu six pick-up de l'armée malienne équipés de mitrailleuses lourdes se déployer sur la place proche de la mairie et ouvrir le feu.
Attentats à la voiture piégée
Et on ne nous dit pas tout!
Comme le disait une humoriste célèbre!
Mais maintenant, on est entré dans une
guerre de plus au Mali, après l'Afghanistan, la Cote d'ivoire, la Libye et les
interventions maritimes contre les pirateries diverses dans l'océan indien ou
le golfe d'Aden, sans compter les participations sous l'égide de l'ONU dans un
passé pas si lointain à des opérations militaires diverses etc.
Il semble que cela fait beaucoup pour
un pays comme la France (qui n'a
semble-t-il pas avoir vocation à jouer les gendarmes du monde) selon nos
dirigeants?
F.HOLLANDE a annoncé un peu vite! Le
retrait de nos soldats au Mali en mars, un vœu pieux de plus?
Ces interventions militaires fort
couteuses (çà on le sait) vont finir
de ruiner la France qui n'a pas besoin de çà, avec notre gouvernement qui racle
les fonds de tiroirs pour trouver un peu d'argent …
(Mais si l'on continue à
ce rythme on pourra toujours intensifier nos usines d'armements et permettre de
relancer nos fonderies et production d'acier, ou nos chaines de fabrication en
fabriquant des chars, cela donnera du travail à nos industriels, ingénieurs et
ouvriers utopique bien sur?!)
Pitoyables gouvernants que nous avons,
quelques soit leurs bords politique!
jdeclef22.02.2013 -
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire