mercredi 25 octobre 2017

Ce n'est pas parce qu'on est un député LREM qu'on est blanc comme neige !?

Un député LREM visé par une enquête préliminaire pour agression sexuelle

Christophe Arend, député de Moselle, est accusé par son ex-assistante parlementaire de harcèlement et d'agression sexuelle. Il dément fermement ces accusations.


L'information a été confirmée par le procureur de la République Jean-Luc Jaeg ce mardi. Une enquête préliminaire visant le député LREM de Moselle Christophe Arend a été ouverte par le parquet de Sarreguemines lundi pour « harcèlement et agression sexuelle ». Cette enquête fait suite à un dépôt de plainte venant de l'ex-assistante parlementaire de Christophe Arend qui l'accuse d'avoir multiplié « les remarques sexistes » et les gestes déplacés, et d'avoir « tout fait pour [la] faire craquer ». « Par exemple, il passe et essaie de dégrafer mon soutien-gorge, de me toucher les seins. Moi, j'ai compris. Dès qu'il arrive par-derrière, je sais qu'il va essayer donc je me protège systématiquement les seins », a-t-elle assuré, dans un témoignage recueilli vendredi par Franceinfo. « Une fois, il arrive et m'enfonce un doigt dans la bouche en mimant une fellation et en me disant : T'as une jolie bouche, fais voir ce qu'elle sait faire et toc, voilà », a également ajouté celle qui fut également directrice de campagne de Christophe Arend lors de la campagne des législatives.

« Des affabulations »

« Je dénonce avec la plus grande fermeté des affabulations qui n'ont aucune autre limite que celles recelées par l'imagination de la plaignante », a pour sa part réagi l'avocat de Christophe Arend, Bertrand Cohen-Sabban, en dénonçant « le glissement d'un dangereux opportunisme médiatique vers un ô combien condamnable opportunisme judiciaire ». Selon Bertrand Cohen-Sabban, Christophe Arend a déposé une plainte ce vendredi pour dénonciation calomnieuse au commissariat de Freyming-Merlebach. La plaignante est pour sa part épaulée par la Confédération des marcheurs de la République, un collectif d'adhérents de La République en marche en désaccord avec la gestion et la direction du parti présidentiel, qui a affirmé mardi lui apporter une assistance juridique. « Il a fallu des semaines avant que l'ancienne assistante parlementaire de Christophe Arend se décide à parler », a assuré mardi Tiphaine Beaulieu, porte-parole de ce collectif.
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L’étiquette politique n’a rien à faire ou voir avec ces pratiques et  ne protège en rien les déviances d’individus soupçonnés de tels actes ?!

Car on savait bien depuis longtemps que « la promotion canapé » dont les pratiques connues existaient, mais on n’en parlait peu, car les femmes ayant subi cela avaient peur de représailles des auteurs de par leurs autorités !

Mais surtout grâce à ces événements très médiatisés dernièrement dans le monde du show byz, cinéma US et aussi dans la classe politique ou professionnel, voir privé, les langues des femmes se sont déliées ayant subi ces actes de ces messieurs libidineux et elles en parlent enfin !

Et on se rend de compte d’un mal qui n’est pas marginal qui n’est pas à l’honneur des hommes qui se croyaient des machos intouchables et créer des débats sur le harcèlement sexuel qui est logique, et qu’il faut faire cesser en le punissant !


Jdeclef 25/10/2017 08h59 LP

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