lundi 2 octobre 2017

On a le sentiment en FRANCE que nos gouvernements depuis 2015 et même avant :

Attaque de Marseille : des victimes âgées de 20 et 21 ans

L'homme qui a poignardé deux jeunes filles gare Saint-Charles était connu pour des faits de droit commun. Selon l'EI, il s'agit de l'un de ses "soldats".


Une attaque au couteau a eu lieu dimanche à Marseille. Deux jeunes femmes ont été tuées sur le parvis de la gare Saint-Charles, en début d'après-midi, par un homme âgé d'une trentaine d'années, qui, selon des témoins, aurait crié «  Allah Akbar  », avant d'être abattu par des militaires. Selon une source proche du dossier, les deux victimes sont deux cousines de 20 et 21 ans originaires de la région lyonnaise. L'une d'entre elles faisait ses études de médecine à Marseille et l'autre était venue lui rendre visite pour le week-end.
Le groupe État islamique a revendiqué l'attaque dès dimanche soir dans un communiqué diffusé par son agence de propagande Amaq et relayé par le centre américain de surveillance des sites djihadistes, SITE. «  L'auteur [...] provient des soldats de l'État islamique  », assure une «  source de sécurité  » citée par l'organe de propagande.
Pour les services de renseignements, cette revendication est «  opportuniste  ». Daech veut profiter de «  l'attentat  », mais n'apparaît pas à ce stade comme le commanditaire de l'action de Marseille. Pour preuve, dans le communiqué de revendication, l'EI ne donne aucun élément identifiant celui qu'il définit comme un de ses «  soldats  ». À ce stade des investigations, le seul élément qui penche en faveur du terrorisme islamiste, ce sont des témoins très affirmatifs sur le fait qu'ils ont entendu crier «  Allah Akbar  ». La police judiciaire et les renseignements, à qui le parquet a confié l'enquête, restent prudents. L'enquête a été ouverte pour assassinat et pour tentative d'assassinat sur personne dépositaire de l'autorité publique.

Connu pour des faits de droit commun

Les investigations menées sous l'autorité du parquet antiterroriste de Paris doivent permettre de préciser le profil et l'itinéraire de l'auteur de l'attaque. Une dizaine d'auditions de témoins ont été menées dès dimanche et plusieurs ont rapporté avoir entendu l'assaillant crier «  Allah Akbar  ». «  J'ai entendu crier et une personne s'est effondrée  », a décrit Mélanie Petit, une étudiante de 18 ans qui attendait une correspondance sur cette esplanade dominant la cité phocéenne. «  J'ai entendu crier Allah Akbar et j'ai vu un homme vêtu tout en noir, il me semble  », a raconté cette étudiante à l'école des Mines d'Alès (Gard), contactée par téléphone.
Marseille : des témoins racontent l'attaque
Connu pour des faits de droit commun, sous plusieurs identités, l'assaillant n'avait «  pas de papiers sur lui  », mais il a été identifié grâce à ses empreintes digitales, selon une source proche de l'enquête. L'homme était en situation irrégulière. Il a rapidement été abattu par des militaires de l'opération Sentinelle, après les sommations.
Marseille : deux morts gare Saint-Charles
Son comportement a été qualifié d'« étrange  » par le ministre de l'Intérieur, au vu des bandes de vidéosurveillance : il «  commence par commettre [son] crime sur une première personne, s'enfuit, puis revient sur ses pas pour tuer la seconde personne  ». «  C'est un élément d'interrogation  », a souligné Gérard Collomb.

Réactions

«  Pour moi, c'est un attentat  », a déclaré le maire LR de Marseille, Jean-Claude Gaudin. «  Profondément indigné par cet acte barbare, en peine avec les familles et les proches des victimes de Marseille  », a tweeté le président de la République, Emmanuel Macron. La ministre des Armées, Florence Parly, a salué le «  professionnalisme  » des militaires qui ont abattu l'agresseur.
Le président LR de la région Paca, Renaud Muselier, a déploré sur Twitter «  un acte barbare  ». «  #Marseille pleure avec ses pauvres victimes. L'assassin aussi répugnant que ses motifs  », a écrit le député de Marseille et chef de file de La France insoumise, Jean-Luc Mélenchon. Marine Le Pen, présidente du Front national, a dénoncé «  le terrorisme  », qui est «  un acte de guerre contre notre pays  ».
C'est dans ce contexte de menace terroriste élevée que s'ouvre lundi à Paris le procès du frère de Mohammed Merah, l'auteur des tueries de mars 2012 qui avait fait sept morts à Montauban et à Toulouse, avant d'être abattu par les policiers.
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Quel que soit leurs bords politiques qu’ils ne traitent pas les problèmes (qui ne sont pas que ceux de la France) avec une extrême rigueur loin de là !

On le voit bien, car ils perdurent et sont même en augmentation !

Car on continue à palabrer à couper les cheveux en quatre et à écouter les bienpensants ou le politiquement correct hypocrite !

Nos dirigeants se taisent et jouent comme d’habitude les offusqués pleurnichards même le président MACRON si jeune et soit disant dynamique est dépassé ou ne veut pas entendre les français qui réclament plus de sécurité avec une justice plus ferme et des moyens policiers et renseignements plus efficaces !

Car il y a bien sur le terrorisme islamique, mais aussi l’immigration galopante et le ver déjà dans le fruit depuis trente ans qui sont des virus qui s’étendent et que l’on n’arrive pas à éradiquer, voir même à contrôler !

Mais le pire peut être, c’est que l’on arrive à nous dire, qu’il faut apprendre à vivre avec !?

Un peu, comme à MARSEILLE (qui vit avec les règlements de comptes de truands sur fond de trafics de drogue) et qui vient d’être touché par un attentat terroriste barbare dont il n’avait pas l’habitude !


Jdeclef 02/10/2017 09h57 LP

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