On peut ne pas être contre l'art contemporain, car l'art n'est pas figé mais :

Le "Domestikator" : que représente cette mystérieuse sculpture exposée à Beaubourg ?

Installée depuis le 17 octobre sur le parvis du Centre Pompidou, l'immense sculpture de 12 mètres de haut constituée de briquettes façon Lego fait sourire les passants. Ils sont nombreux à s'arrêter pour la photographier. Certains sont venus spécialement pour contempler l'œuvre après avoir lu un article dans la presse ou entendu une chronique à la radio. Pour d'autres, c'est un lieu de passage obligé avant de se rendre à la Foire internationale d'art contemporain.
Mais que représente vraiment cette sculpture ? Pour la majorité des passants, c'est la représentation géométrique d'un acte sexuel entre un homme et un chien. Certaines personnes affirment toutefois que le « Domestikator » leur évoque une maison. D'autres n'y voient aucune allusion : « Pour moi, c'est une abstraction », déclare Philippe, 81 ans.
Construite à partir de matériaux de récupération, cette œuvre devait à l'origine figurer dans le parcours « Hors les murs » de la Fiac, au jardin des Tuileries, mais elle avait été refusée par le musée du Louvre. Ce « viol de la nature par l'homme », selon son créateur Joep Van Lieshout, était aux yeux de Jean-Luc Martinez, président du Louvre, « une vision trop brutale qui risqu[ait] d'être mal perçue par notre public traditionnel du jardin des Tuileries ».

Sécurité

Le « domestikator » semble avoir trouvé sa place ici. Pour de nombreux passants, cette installation n'est pas provocante. « Beaubourg est un lieu artistique, nous sommes dans un quartier populaire, voir ce type d'œuvre dans l'espace public ne me choque pas », lance Sarah, une étudiante en art venue visiter l'exposition Hockney actuellement proposée par le centre culturel.
Un dispositif de sécurité a toutefois été mis en place afin d'éviter que la sculpture ne soit vandalisée au même titre que le « Dirty Corner » d'Anish Kapoor, à Versailles en 2015 ou que le « Tree », de Paul McCarthy, place Vendôme en 2014.

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Car on le voit bien dans la peinture ou la sculpture, ou fil du temps, il y a de belles œuvres contemporaines !

Mais là, ce « bidule » que l’on peut être interpréter comme on veut qui choque et peut laisser divaguer une imagination torturée est sans intérêt, si ce n’est que déranger !

Il est laid et n’apporte rien, si ce n’est que plaire aux bobos qui pullule et pollue dans notre société malade !

C’est une escroquerie qui se veut intellectuelle, on comprend que d’autres lieux ou musées en n’avait refusé d’exposer son installation dans leurs murs !

Jdeclef 22/10/2017 09h36