mardi 3 octobre 2017

« Qui sent morveux se mouche » Mr le ministre de l'intérieur, car ce n'est pas la 1ere fois !

(C’est qui ce monsieur à l’air renfrogné.. ?(lol)

Marseille : la remise en liberté de l'assaillant au cœur d'une enquête administrative

L'homme qui a tué deux jeunes filles dimanche avait été interpellé à Lyon vendredi pour vol à l'étalage, mais n'avait pas pu être placé en centre de rétention.


Le ministère de l'Intérieur a annoncé lundi qu'une enquête administrative va être menée pour « faire toute la lumière » sur les conditions dans lesquelles l'auteur de l'attaque de dimanche à Marseille avait été remis en liberté, la veille à Lyon, où il avait été placé en garde à vue. Le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb a décidé de saisir l'Inspection générale de l'administration (IGA), qui devra rendre ses conclusions « sous une semaine », a souligné le ministère de l'Intérieur dans un communiqué.
L'homme qui a tué deux jeunes femmes dimanche à la gare de Marseille, un étranger en situation irrégulière détenteur d'un passeport tunisien, avait été interpellé vendredi à Lyon pour vol à l'étalage. Il n'avait pas pu être placé en centre de rétention après cette arrestation, car la préfecture du Rhône n'avait pas été en mesure de donner son feu vert, selon des sources proches de l'enquête judiciaire. L'une de ses sources a expliqué que « la personne de permanence à la préfecture du Rhône, ayant autorité pour signer l'obligation de quitter le territoire (OQTF) et le placement en centre de rétention de l'assaillant de Marseille, était absente », ce qui a empêché la procédure d'arriver à son terme. Une autre source proche du dossier a cependant fait valoir qu'il y avait « un problème de disponibilité de places en rétention le samedi matin ».

Un long séjour en Italie

Selon l'Intérieur, l'enquête de l'IGA « vise à faire toute la lumière sur l'action des services de l'État et à être en mesure d'en tirer, si nécessaire, les enseignements ». Le meurtrier était connu depuis 2005 par les services de police, sous sept identités différentes pour des faits de droit commun, a indiqué le procureur de la République de Paris François Molins. Selon une source proche du dossier, l'homme, qui a déclaré être entré en France en 2003, avait déjà fait l'objet en 2005 d'un arrêté de reconduite à la frontière par le préfet du Var, avant d'être remis en liberté au bout de deux jours, en raison du manque de places en centre de rétention administrative (CRA) et faute de documents d'identité. Il a ensuite séjourné en Italie où, de 2009 à 2017, il a bénéficié d'un titre de séjour, avant que celui-ci n'expire en janvier. Il en avait demandé le renouvellement.

Quand on veut des polémiques sur bien des sujets sur nos administrations d’état justice, police etc…

Il suffit d’ouvrir sa télé/radio ou son journal chaque matin pour en trouver des plus « abracabrantextes » comme disait un de nos anciens présidents !

Le problème de ce manque de rigueur a fait que cet individu aux multiples identités ce qui était déjà anormal, en situation déjà irrégulière avérée a été relâché après une garde à vue pour s’en débarrasser (à supposer) et de plus que « la personne de permanence à la préfecture du Rhône, ayant autorité pour signer l'obligation de quitter le territoire (OQTF) et le placement en centre de rétention de l'assaillant de Marseille, était absente » !

L’exemple parfait d’un fonctionnarisme d’état borné dont la France souffre comme d’une maladie incurable et qui a mené indirectement au drame et à la mort de deux innocentes !

Alors Mr le ministre G.COLOMB peut toujours demander maintenant une enquête administrative avec la kyrielle de manquement de gestion de simplement de bon sens du cas de cet individu, que l’on a abattu heureusement, mais sans vraiment savoir ses motivations et qui a causé ce drame !


Jdeclef 03/10/2017 10h16 LP

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