mercredi 18 octobre 2017

De toute façon E.MACRON ne semble pas s'inquiéter de ses opposants politiques !

Budget 2018 : tous contre Macron !

Le débat qui démarre à l'Assemblée est l'occasion pour tous de marquer leur opposition : La France insoumise, Nouvelle Gauche, Les Républicains et même le MoDem.


La bataille a démarré mardi 17 octobre, à 16 heures, dans l'hémicycle. Elle se terminera à la fin du mois de novembre. L'examen du budget 2018 – et d'une loi de programmation des finances publiques jusqu'en 2022 – est le premier épisode législatif d'importance de ce quinquennat. Au-delà des débats techniques, c'est lui qui va cristalliser les oppositions politiques pour les mois, voire les années, à venir. Plus de mille amendements ont été annoncés pour le seul examen du premier volet, celui qui concerne les ressources.
La France insoumise a d'ores et déjà annoncé qu'elle présenterait un « contre-budget »… Mais ce sera bien tard, le 2 novembre seulement, soit neuf jours après le vote solennel sur les recettes, programmé pour le 24 octobre, qui actera pourtant des mesures aussi sensibles que la suppression de l'ISF ou la hausse de la CSG.
Nouvelle Gauche, emmené par Valérie Rabault, ex-rapporteur générale socialiste du budget entre 2014 et 2017, a déjà fourbi ses armes, sous la forme de 111 amendements qui constituent un contre-projet proposant, entre autres, le maintien de l'ISF, la suppression de la « flat tax » ou le maintien des aides personnalisées au logement (APL). Une liste qui permet à ses adversaires, à sa droite comme à sa gauche, d'ironiser sur cette tentative de poursuivre la politique de François Hollande par d'autres moyens…
Même le MoDem, pourtant rallié à la majorité présidentielle, va faire parler de lui. Le groupe centriste va défendre un amendement qui propose le maintien de l'ISF, mais la modification de son périmètre, dont serait exclue la détention de titres, afin d'éviter d'exonérer l'argent dormant.

La polarisation dangereuse

La droite aussi tente de se positionner. Dans une interview accordée au Monde ce mercredi 18 octobre, Éric Woerth, président de la commission des Finances à l'Assemblée nationale, annonce que le groupe LR votera contre le budget, qui ne trouve guère grâce à ses yeux : pas assez tourné vers la compétitivité des entreprises, injuste envers certaines catégories de Français tels les retraités, inutilement complexe avec la réforme de la taxe d'habitation, trop timoré sur la réduction de la dépense… Mais c'est l'impôt sur la fortune immobilière (IFI) qu'il dénonce en premier : « À travers cette mesure, on déclenche un très mauvais débat sur les signes extérieurs de richesse. Cela avive l'idée qu'il y a une France des riches et une France des pauvres. Or vous êtes toujours le riche et le pauvre de quelqu'un. Avec cela, le nouveau monde, c'est l'ancien monde en pire. »
La droite, plus encore que la gauche, a intérêt à présenter Emmanuel Macron et son budget comme les symboles d'une polarisation politique qui ne dit pas son nom : injuste envers les « petits riches » et les retraités, trop dépensier donc annonciateur d'une fiscalité persistante, autrement dit pénalisant pour les classes moyennes, principales cibles politiques de tous ces messages.
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Et même pas du peuple lambda aussi !

Il poursuit envers et contre tous, sa marche en avant, car il ne veut pas briser cet élan qu’il met dans ses réformes ou transformations, comme il les a nommées !

Il fait çà, à marche forcée pour ne pas commettre les erreurs de ses prédécesseurs qui n’ont rien fait ou hésités, alors que c’est au début du quinquennat qu’il fallait les faire pour espérer en voir les résultats plus rapidement ?!

Raison entre autre pour laquelle, il gouverne sur ordonnance, mais attention il avait prévenu de cela et l’a confirmé en disant qu’il ferait ce qu’il avait dit !

Certains « pisses vinaigres » disent qu’il n’a pas la manière (peut-être) mais il en a cure, il a été élu pour le changement et sait très bien que son parcours ne sera pas « un chemin ou il n’y aura pas de pierres » !

Et pour ceux qui disent qu’il n’a pas une vraie majorité, ils n’ont qu’à s’en prendre au système électoral de cette V eme république (peut être obsolète) mais toujours là, il faudrait en changer, mais ce n’est pas pour tout de suite !

Ce qui confirme, s’il le fallait que l’on a voté pour un homme (qui lui a su saisir la balle au bond) de la déconfiture de cette ancienne politique et ses politiciens médiocres que les français ont rejetés en masse en le confirmant en plus aux législatives !

La nouveauté c’est bien, mais peut-être pas suffisant, une leçon à méditer, on va vite s’en rendre compte dans l’avenir pour le peuple !


Jdeclef 18/10/2017 15h06

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