François Hollande à Paris le 3 septembre
2013.
Syrie: François Hollande en première ligne
POLITIQUE – L’opinion française est majoritairement contre une intervention militaire en Syrie et la classe politique apparaît divisée sur le sujet. Pourtant, le chef de l’État a réaffirmé mardi sa détermination à punir le régime de Damas…
François Hollande a une nouvelle fois enfilé l’uniforme. Mardi, à l’issue d’une rencontre avec le président allemand, Joachim Gauck, il s’est déclaré toujours aussi «déterminé» à sanctionner le régime de Bachar al-Assad, qu'il tient pour responsable du massacre chimique du 21 août dans la banlieue de Damas.
Surtout après l’interview du dirigeant syrien qui menace les
intérêts français de «répercussions négatives» dans Le Figaro de mardi. Avec ses déclarations, François Hollande se
place en première ligne face à Bachar al-Assad. Une position qui n’est pas sans
risque.
Les français lambda ont de plus en
plus de mal à comprendre des présidents qui veulent jouer « les chevaliers
sans peur et sans reproches » dans ces affaires extérieures à la France!
Alors que dans notre pays, la violence
ne cesse d'augmenter, l'insécurité et les délinquances crimes et délits divers
par exemple!
Bien sur que BACHAR EL HASSAD est un
criminel comme d'autres dictateurs et que l'emploi d'armes chimiques est
horrible, mais au final c'est une façon de tuer parmi plein d'autres qu'a
inventé l'homme!
Alors s'il faut le punir, il faut
l’arrêter,voire l'éliminer, car il continuera (mais plus grave il risque de donner des idées du même genre à d'autres
dictatures)
Il faut simplement faire un choix (peut être pas facile justement) y aller
et y mettre vraiment fin ou laisser les syriens s'entretuer comme ils le font
depuis 2 ans déjà!
Mais cela ne regarde pas que la France?
Car elle ne pourra jamais régler cela
toute seule et c'est ce qui fait la force de ces dictateurs, la division des
états occidentaux entre autres pays
indirectement impliqués!
JD194704.09.2013 -
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