dimanche 8 septembre 2013

LES DIRIGEANTS OCCIDENTAUX PAR LEUR INERTIES ET MANQUE DE DÉCISIONS SONT LA HONTE DES PEUPLES QU’ILS SONT CENSÉS GOUVERNER, CE G20 EN SERA UNE PREUVE DE PLUS !

Le sommet du G20 de Saint-Pétersbourg, en Russie, le 5 septembre 2013. 

Au G20, les partisans des frappes en Syrie isolés


Les leaders du G20 immergés dans la crise syrienne (ou carrément noyés?)

SYRIE - Au premier jour du G20 de Saint-Pétersbourg, le dossier syrien fait de l'ombre aux traditionnels sujets économiques...

Chaude ambiance à Saint-Pétersbourg. Les leaders des pays du G20 sont entrés de plain-pied dans la crise syrienne, abordée de manière officielle lors d'un dîner de gala ce jeudi soir qui promettait d'être très tendu entre Barack Obama et Vladimir Poutine.
Le président américain, promoteur d'une intervention militaire contre le régime syrien de Bachar al-Assad qu'il accuse d'utiliser des armes chimiques, est arrivé seul à ce dîner protocolaire au somptueux palais de Peterhof, paré pour l'occasion d'un impressionnant habit de lumière bleu. Ce repas devait être l'occasion d'aborder la crise syrienne, source de très vives tensions diplomatiques entre les Etats-Unis et la Russie depuis plusieurs jours, Moscou soutenant Damas et s'opposant à l'option militaire américaine.

La Syrie plutôt que l'économie

Dès l'ouverture officielle du sommet ce jeudi après-midi sous les ors du palais de Constantin, Poutine a proposé que cette guerre soit abordée au dîner de travail du G20, enceinte habituellement consacrée aux problèmes économiques, cette fois totalement écrasés par le dossier syrien.
A Saint-Pétersbourg, lors d'une rencontre avec le Premier ministre japonais, Shinzo Abe, Obama a déclaré jeudi que les leaders mondiaux réunis devraient «admettre que l'utilisation d'armes chimiques en Syrie n'était pas seulement une tragédie mais aussi une violation du droit international qui devait être réglée».
Le président français François Hollande, également dans le camp des bellicistes, s'est notamment entretenu avec le Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, également favorable à l'option militaire et dont les troupes se renforcent à la frontière syrienne, selon les médias turcs. L'autre verrou onusien à une opération militaire, la Chine, a fait savoir jeudi que, selon elle, «la situation actuelle montre que la solution politique est la seule voie» possible pour régler la crise.

Visite impromptue de Merkel à Hollande

Les leaders européens tentaient jeudi d'accorder leurs violons. Angela Merkel a rendu une visite impromptue à François Hollande. Peu avant le dîner, les représentants des cinq pays européens présents (France, Allemagne, Grande-Bretagne, Italie et Espagne) se sont réunis avec ceux de l'UE, pour tenter de trouver une position commune, selon une source française. Et les leaders européens ont aussi tenu un aparté avec Barack Obama dans la salle du dîner, juste avant de prendre place, selon les images télévisées.
Sur le terrain, la chef des opérations humanitaires des Nations unies, Valerie Amos, est arrivée jeudi à Damas pour des entretiens avec des responsables syriens. A l'ouest de Damas, quatre personnes ont été tuées et six blessées par l'explosion d'une voiture piégée.

A ce G20 il ne faut pas attendre grand chose de positif sur le problème syrien et sa guerre civile, des parlotes stériles comme d'habitude… 

Pendant ce temps là, Bachar et Hassad continue sa logique qui est d'écraser le peuple qui est en opposition à sa dictature, il ne s'en n'est pas caché d'ailleurs et il le fait!

En ce qui concerne ces gaz toxiques on est sur maintenant qu'ils ont été utilisé, c'est flagrant!

Maintenant, pour les "fameuses preuves" d'utilisation par tel ou tel camps" et même, si les deux ont utilisés ces armes chimiques, cela ne change pas grand chose (car les victimes sont des femmes et enfants innocents au final!)

Si nos gouvernants d'une hypocrisie remarquable s'en tiennent à l'interdiction de ses armes chimiques et à chercher des coupables avérés en effet dans cette guerre civile, ils perdent leur  temps!

Je dirais prosaïquement, qu'il faudrait marquer le coup en effet par des frappes pas seulement punitives à court terme pour envoyer aux belligérants un message fort et surtout essayer d'annihiler la puissance de feu et les armes diverses de Bachar el Hassad qui est la cause première de ce conflit!

Sans quoi ce n'est pas la peine, Bachar el Hassad comme tout dictateur ne négociera jamais, alors hélas, faute de cela, on peut laisser le peuple syrien à son triste sort ?

Mais attention surtout de permettre à d'autres dictatures d'utiliser par la suite ce type d'armes chimiques!

(On a bien attendu plus de deux ans...C'est une honte, mais qui n'empêche pas de dormir nos dirigeants et d'autres, car comme beaucoup le dise, cela ne nous concerne pas...Cette Syrie et ces problèmes arabo-musulmans…)

JD194706.09.2013 -


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