Marseille, rue Enco de Botte (12ème). Un
homme a été blessé gravement tandis qu'il braquait un bar-tabac. Un buraliste
aurait ouvert le feu avec un fusil
Le commerçant, qui avait déjà été attaqué il y a deux mois, a tiré à trois reprises avec un fusil à pompe chargé de gomme et non pas de cartouches classiques, blessant légèrement à la jambe l'un des hommes cagoulés. Le blessé âgé de 17 ans, «connu de la police» a été interpellé. Son état n'inspirait «aucune inquiétude», a précisé la même source.
Sa femme, Martine, a estimé de son côté que «vendre des cigarettes [était] plus difficile que tenir une banque». «Va-t-il falloir qu'on ouvre avec un gilet pare-balles?», s'est-elle demandé, assurant que l'employé qui avait tiré sur le braqueur s'était «senti en danger».
Marseille: Un buraliste blesse un braqueur de 17 ans
FAITS DIVERS - Le gérant du bar-tabac qui a ouvert le feu à coups de gomme-cogne a été placé en garde à vue...
Un employé d'un bureau de tabac des quartiers sud de Marseille, a été placé en garde à vue lundi matin, après avoir blessé avec un gomme-cogne l'un des trois malfaiteurs cagoulés et armés, qui tentaient de le braquer, a-t-on appris de source proche de l'enquête, confirmant une information de La Provence.Le commerçant, qui avait déjà été attaqué il y a deux mois, a tiré à trois reprises avec un fusil à pompe chargé de gomme et non pas de cartouches classiques, blessant légèrement à la jambe l'un des hommes cagoulés. Le blessé âgé de 17 ans, «connu de la police» a été interpellé. Son état n'inspirait «aucune inquiétude», a précisé la même source.
«Ouvrir avec un gilet pare-balles?»
Selon les informations recueillies le propriétaire de ce bureau de tabac avait installé un sas de sécurité, pour un coût de 5.000€. Le père du gérant de ce tabac, Jean-Luc, s'est dit «écœuré». «Si c'est pour mourir derrière un comptoir, ce n'est pas la peine», a-t-il confiéSa femme, Martine, a estimé de son côté que «vendre des cigarettes [était] plus difficile que tenir une banque». «Va-t-il falloir qu'on ouvre avec un gilet pare-balles?», s'est-elle demandé, assurant que l'employé qui avait tiré sur le braqueur s'était «senti en danger».
Le commerçant avait déjà été attaqué,
cela explique sa réaction, il n'a pas voulu encore se laisser faire sans réagir,
il a tiré avec une arme défensive adaptée non létale (ce qui prouve qu'il ne voulait que se défendre rien d'autre!)
En terme clair, il s'est défendu (en légitime défense) étant donné que
la police ne peut être partout et la justice hélas forte compatissante avec ces
délinquants dangereux on peut comprendre...
Depuis qu'il y a de plus en plus
d'agression de ce style, ce qui est arrivé aujourd'hui se reproduira les
commerçants s'armeront et se défendront pour ne pas être pris comme des moutons
à l’abattoir...
Conséquences du traitement par la
justice de cette délinquance ou l'on voit des voyous quelques fois multi
récidivistes être toujours en liberté (et
cela se termine en drame comme pour le bijoutier de NICE !)
DJMAI30.09.2013 -
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