Les forces
de l'ordre confrontées à un refus d'obtempérer toutes les demi-heures
Policiers
et gendarmes ont dû faire face à près de 24 000 refus d'obtempérer en
2019, révèlent nos confrères du « Figaro » ce jeudi
Ainsi, l'an dernier, ce sont près de 24 000 refus d'obtempérer qui ont été constatés par les policiers et gendarmes, avancent nos confrères du Figaro ce jeudi. Un rapide calcul permet de saisir l'ampleur du phénomène : les forces de l'ordre sont confrontées à la désobéissance des Français toutes les 30 minutes en moyenne. Le nombre d'outrages a également bondi de 5,3 % par rapport à 2018 : les agents ont essuyé 28 558 noms d'oiseaux. 36 043 faits de violences à l'égard d'hommes et de femmes en uniforme ont aussi été enregistrés en 2019, indique Le Figaro.
Sécurité, terrorisme, présomption d'innocence… Gérald Darmanin dit tout
30 blessés par jour
L'année 2019, riche en mouvements de contestation sociale, notamment avec les manifestations de Gilets jaunes, a vu un grand nombre de policiers et gendarmes passer par la case hôpital. Ainsi, 11 217 ont été blessés au cours d'une mission (7 399 policiers et 3 818 gendarmes), soit 30 par jour.
Et le cru 2020 s'annonce tout aussi impitoyable. « Même si l'année 2020 doit être analysée au regard de la crise sanitaire et de la période de confinement, nous avons à déplorer 3 844 blessés en mission lors du premier semestre », se désole le ministère de l'Intérieur dans les colonnes du Figaro. Place Beauvau assure suivre de très près cette « tendance préoccupante ».
Adresse électronique dédiée, numéro vert… Le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, a annoncé lundi 3 août la création d'un « dispositif d'assistance » visant à « répondre aux attentes des policiers et de leurs familles face à ces situations difficiles ». « Des agents de tous les corps de la police nationale composent l'équipe chargée de répondre aux appels et aux demandes. Le policier victime doit pouvoir avoir recours très rapidement à un interlocuteur qui l'écoute, le conseille et l'oriente dans ses démarches », développe Beauvau.
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Mais une
certaine délinquance et voyoucratie n'accepte pas cela, car voulant faire sa
loi !
Alors forcément,
ça ne se passe quelque fois pas sans heurts ou mal, mais quand la ou les
personnes interpellées protestent avec véhémence en vienne même à des violences
verbales ou autres envers la police/gendarmerie cela s'appelle au mieux à des
outrages et peut se terminer en garde à vue !
Et quand
c'est les forces de l'ordre riposte vigoureusement cela s’appelle des violences
policières (sans compter d'autres qualificatifs insultants...)
Mais
certains trublions casseurs ou autres voyous se chargent de faire exprès de
s'en prendre aux forces de l'ordre (là cela s'appelle « casser du flic » !)
Mais dans
notre société certains pratiquent le « il est interdit d'interdire »
soixante-huitard qu'ils n'ont pas connus d'ailleurs !?
Mais il faut
que ces illuminés sachent qu'aucun pays ne peut vivre sans police ni gardiens
de la paix car notre société glisse de plus en plus dans la violence gratuite
quotidienne et donc vers une anarchie rampante !
Il en va
simplement de la sécurité des français lambda qui s’érode par trop de libertés
mal encadrées et une justice laxiste de bien-pensant !
Alors pour
les fâcheux qui n’aiment pas la police, il faut savoir ce qu’on veut, car le désordre
et indiscipline est déjà bien présent en France, nous ne sommes pas dans un
monde de bisounours !?
Jdeclef 07/08/2020
09h51
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