vendredi 7 août 2020

On ne peut empêcher les jeunes de vivre et même jeunes adultes surtout avec des flots de paroles contradictoires des scientifiques et médias qui jettent de l'huile sur le feu !


Coronavirus : les jeunes, une population difficilement raisonnable

VIDÉO. Alors que la période estivale est propice aux fêtes et aux rassemblements, les jeunes peuvent être les vecteurs de la contamination.


Difficile de faire convaincre les jeunes de respecter les gestes barrières… L'Organisation mondiale de la santé en a remis une couche, jeudi 6 août, par la voix de son directeur des urgences sanitaires, Michael Ryan, en faisant appel à leur sens des « responsabilités ». Début juillet, l'organisation les avait directement mis en cause, les considérant comme en partie responsables du rebond de l'épidémie, alors que les fêtes de l'été battent leur plein. L'arrivée des vacances et la levée des restrictions ont entraîné un tourbillon de sorties pour les 15-25 ans, impatients de faire la fête.
Les boîtes de nuit sont ainsi accusées par les autorités sanitaires d'être des nids à Covid-19. La Suisse, un des premiers pays à avoir rouvert ses discothèques, en a fait l'expérience. À Genève, entre 40 % et 50 % des cas détectés la dernière semaine de juillet « étaient liés à des gens ayant fréquenté des discothèques et des bars, des endroits où on danse et où on s'embrasse », a déploré le professeur Didier Pittet, chef du service de prévention de l'infection des hôpitaux universitaires de Genève. Dans d'autres pays, les discothèques sont fermées ou réduites à de simples bars à la piste de danse interdite, comme à Ibiza, dans l'archipel espagnol des Baléares, l'une des capitales mondiales de la fête.

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Des fêtes sauvages

Qu'à cela ne tienne pour les fêtards qui vont désormais dans les rues, les bois ou sur les plages. Près de Manchester, des « raves » ont réuni entre 2 000 et 4 000 personnes. À Londres, la police interrompt régulièrement des fêtes sauvages et, à Paris, le bois de Vincennes est devenu un haut lieu de la free party. Pour les organisateurs de ces fêtes techno clandestines, sans masque ni distanciation, comme Antoine Calvino, « la fête est vitale (…) C'est un exutoire et une zone de tolérance sans égal ».

L'Allemagne aussi s'alarme de ce que le chef de l'institut de référence Robert-Koch, Lothar Wieler, appelle « d'imprudentes (…) fêtes sauvages ». « Même s'il s'agit de jeunes gens, statistiquement moins susceptibles d'être gravement malades, ils peuvent infecter leurs familles », dit-il. Le nombre de contaminations, souvent asymptomatiques, flambe. Au Canada, les moins de 39 ans constituent une nette majorité des nouveaux cas. Mais ils « ne sont pas invincibles » face à la maladie, a mis en garde la direction de la Santé publique.
Partout, les pouvoirs publics tentent d'enrayer le phénomène. L'Espagne veut prendre le problème à bras-le-corps : « Les jeunes constituent, selon l'épidémiologiste du ministère de la Santé Fernando Simon, un groupe plus difficile à contrôler », avec « un style de vie, des envies de vivre très différentes ». Il suggère de « punir » si nécessaire mais sans « diaboliser ».
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« Laissons les jeunes s'infecter »

Pas simple pourtant de trouver la bonne manière de s'adresser à eux. « Quelle information ont retenu les jeunes ? demande le sociologue Mariano Urraco. D'abord, c'est le confinement [puis] c'est la liberté. Pour eux, il ne s'agit pas d'une liberté surveillée mais totale. » Après une campagne de mise en garde sur les risques des botellones, une pratique consistant à boire de l'alcool dans les lieux publics, la mairie de Madrid a distribué une vidéo sur l'importance du port du masque, même s'il est inconfortable.
Elle montre un groupe de jeunes buvant des bières, puis une discothèque, une unité de soins intensifs et enfin une crémation, avec la légende : « Il y a des choses qui donnent plus chaud qu'un masque. Protège-toi, protégeons-nous. » Devant l'impuissance des autorités, certains proposent d'être pragmatiques.
« Laissons les jeunes s'infecter, on ne va pas leur envoyer l'armée », suggère l'infectiologue Éric Caumes de l'hôpital Pitié-Salpêtrière à Paris. Puisque « les jeunes ne respectent de toute façon pas les gestes barrières », il propose d'en tirer profit : « Cette tranche d'âge pourrait acquérir plus rapidement une immunité collective. Mais il faut protéger les anciens avec le masque à l'intérieur du foyer. » « L'idéal serait que tous les moins de 30 ans soient immunisés naturellement et qu'on protège les plus de 50 ans jusqu'à l'arrivée d'un vaccin ou d'un traitement efficace », conclut-il.
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Car depuis le début de cette pandémie mondiale et par le fait que tous les pays agissent de façons différentes sans vraiment s'unir pour lutter contre ce virus avec peu ou pas de résultat probant !

La jeunesse n'est pas patiente et comme nos scientifiques si émérites ont jugés que cela touchait les plus âgés, ils croient échapper à la contamination bien que de jeunes adultes et quadras aient été aussi touchés!

A part cela et ces mesures barrières auxquels beaucoup ne croient plus, même chez ceux qui les appliques, car le matraquage indigeste des médias et du gouvernement et nos dirigeants ne passent plus, car le trop c'est trop d'incertitude, car eux vivent normalement et se déplacent même à l’extérieur de la FRANCE comme notre président et ministres, alors même certains français âgés n'y croient plus !

Et en plus par ces statistiques alarmantes qui augmente en nombre de cas ne peuvent rassurer car cela ne produit que l'effet contraire donc une catégorie de ces jeunes qui préfèrent s'amuser pour profiter de la vie, car l'avenir est sombre et semble sans progrès !?

Si nos autorités ne peuvent donner d'espoir, le chacun pour soi déjà présent avant va augmenter c'est humain !

Jdeclef 07/09/2020 17h29

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