samedi 29 août 2020

On ne sait pas si Mr MACRON est un hypocrite incurable ou un président qui continue à se moquer ouvertement des français par ces discours ou bavardages creux sur ces problèmes de violences et insécurité de notre société?!


Macron : « La violence s'est banalisée »

Le président de la République a déploré « une banalisation de la violence » qui s'est, selon lui, « durcie » à la sortie du confinement.


« Quelque chose se passe dans notre société qui n'est pas neuf, mais qui sans doute s'est accéléré à la sortie du confinement, qui s'est durci : une forme de banalisation de la violence », a expliqué Emmanuel Macron lors d'une rencontre à Paris avec l'Association de la presse présidentielle. Il a appelé à « remettre une vraie politique éducative, c'est-à-dire une politique de prévention ; mais aussi une réponse républicaine – respectant les droits individuels – mais qui soit rapide et intelligible aussi bien pour la victime que pour » l'auteur présumé des faits. Le président de la République a indiqué qu'il s'exprimerait sur le sujet la semaine prochaine, à l'occasion des 150 ans de la République.
Les questions de sécurité et de justice figurent également parmi les « priorités » du séminaire gouvernemental de rentrée le 9 septembre. Pour l'occasion, Emmanuel Macron a dit avoir demandé aux ministres de l'Intérieur et de la Justice « quelques éléments additionnels à la stratégie à la fois pour l'accélérer et pour répondre plus efficacement ». « Les violences qu'on évoque ont plusieurs formes : il y a celle qu'on connaît depuis 2016 à l'occasion de manifestations publiques qui est le fait de groupes plutôt organisés, extrémistes, qui ont une approche opportuniste, qui se greffent dans les manifestations pour avoir des gestes de violence ; on a ensuite la violence liée à la drogue – le Covid a déstabilisé beaucoup de réseaux – et puis il y a la violence du quotidien », a énuméré le chef de l'État.
Ceux qui attirent notre attention sont ceux qui ont réduit les moyens de la police et de la gendarmerie…
La droite monte au créneau depuis plusieurs jours sur l'insécurité, devenue, selon elle, le « trou noir » du quinquennat d'Emmanuel Macron, plaçant ainsi le curseur sur un sujet régalien qu'elle veut mettre au cœur de la présidentielle de 2022 alors que les récits de faits divers ont rythmé tout l'été. « Ceux qui attirent notre attention sont ceux qui ont réduit les moyens de la police et de la gendarmerie… », a ironisé Emmanuel Macron en visant implicitement Nicolas Sarkozy et Les Républicains, tout en rappelant l'augmentation des moyens alloués aux forces de l'ordre et l'embauche de 10 000 policiers et gendarmes depuis le début de son quinquennat.
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« Changement anthropologique »

Devant la presse présidentielle, Emmanuel a encore souligné « la difficulté à répondre le plus vite possible à toutes les formes de violence » en relevant qu'il s'agissait d'un « symptôme ou d'un malaise de notre société, qui est un problème d'éducation, un problème d'intégration, un problème de modèle économique ». Selon le président, il s'agit également « sans doute d'un changement anthropologique ». « La violence s'est banalisée. D'abord sur les réseaux sociaux, puis elle se transcrit très rapidement sur le plan réel et physique », a-t-il considéré en appelant à « retrouver le sel du patriotisme républicain ».
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Face à des violences largement reprises sur les réseaux sociaux, l'exécutif a fait plusieurs gestes, comme l'octroi d'une indemnité spécifique pour les policiers travaillant de nuit. « Oui, on y met les moyens », a insisté Emmanuel Macron en appelant à « remettre des moyens sur notre justice, en embauchant partout là où c'est nécessaire davantage de juges et de greffiers ». « Quand un délinquant est appelé devant le juge six ou huit mois (après les faits qui lui sont reprochés) et qu'il purge sa peine douze ou dix-huit mois après, ça n'a aucune vertu et, pour la victime, c'est insupportable », a-t-il encore fait valoir, mettant toutefois en garde contre toute « solution magique ».
Interrogé sur l'emploi du terme « ensauvagement » par son ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, ce qui avait irrité une partie de la majorité, Emmanuel Macron a indiqué qu'il parlerait davantage d'une « banalisation de la violence » que « rien ne légitime ».
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Si monsieur le président s’étonne de ces fait divers violents qui se succède depuis le début de son quinquennat, mais qui remonte en fait aux quinquennats de ses prédécesseurs, pour autant, il n’a rien fait pour aplanir cette situation qui quelquefois devient insurrectionnelle, mais dérive surtout vers une anarchie de plus en plus bien présente inutile d’énumérer ces actes que l’on nomme simplement faits divers et qui ravage périodiquement nos villes !

Chaque manifestation quel qu’elles soient déclenchent des heurts et actes violent dangereux !

L’état régalien police/justice/ et les responsables ministres et préfet de police sont aux abonnés absents et se mettent à l’écart, car présents mais n’agissant pas rigoureusement contre cette voyoucratie délinquante et violente !

Si Mr le président ne veux pas le voir, çà le regarde, mais qu’il ne rejette pas cela sur l’après confinement et cette crise sanitaire, car depuis les quinquennats passés ces exactions barbares ou sauvages comme disent certains de ses ministres et 1er ministre voient qu’elles empirent, pour autant ils ne font rien à part, comme d’habitude pérorer c’est tout !?

Le risque augmente et même des français lambda de cette majorité silencieuse risquent de se défendre et prendre leur sécurité en main, puisque l’état est absent depuis des décennies et laisse faire ces trublions dangereux et prospérer comme par exemple dans ces 800 zones de non droit impunément !

Pour résumer avoir un président avec de nombreux pouvoirs qui ne fait rien dans ce domaine préoccupant ne sert à rien, ni son gouvernement de ministres médiocres, alors en 2022, il ne mérite pas sa réélection !

On est dans un pays de bien-pensant donneur de leçons bavards qui s’écoutent parler on n’a pas besoin d’eux pour simplement mieux vivre au quotidien en sécurité !

Jdeclef 29/08/2020 11h01LP

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