Niger :
Macron annonce un renforcement de la sécurité des Français au Sahel
Macron a
rendu hommage aux six Français membres de l'ONG Acted morts au Niger qui
« témoignaient d'un engagement remarquable pour les populations. »
« Nous mettons tout en œuvre pour soutenir les familles des victimes et répondre à l'attaque qui a coûté la vie à six de nos compatriotes et à deux Nigériens », a également assuré Emmanuel Macron. « Membres de l'ONG Acted, ces six jeunes témoignaient d'un engagement remarquable pour les populations », a-t-il ajouté.
Emmanuel Macron a également rendu hommage, mardi, aux six jeunes humanitaires français tués dimanche au Niger au début d'un conseil de défense consacré aux conséquences judiciaires, militaires et diplomatiques de cette attaque. « Je veux commencer ce conseil par une pensée pour leurs familles, leurs proches, eux-mêmes et pour tout ce qu'ils représentent de l'engagement de notre jeunesse », a-t-il ajouté.
Un second conseil de défense consacré au Covid-19
Durant cette réunion, « il est important qu'on puisse faire
le point sur la situation au Niger, les éléments qui sont en notre possession,
les avancées de l'enquête, les démarches diplomatiques qu'on doit effectuer,
évidemment les conséquences militaires qu'on doit en tirer, les conséquences
sur l'ensemble de nos dispositifs dans la région » du Sahel, a précisé le
président. Le gouvernement doit également examiner l'hommage qui sera
rendu aux six victimes françaises et les opérations du « retour des
corps », a précisé Emmanuel Macron.Mais où va la France au Sahel ?
Ce conseil de défense réunit le Premier ministre Jean Castex et les ministres des Armées Florence Parly, de l'Intérieur Gérald Darmanin et de la Justice Éric Dupond-Moretti tandis que celui des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, est représenté en son absence.
Au total, sept personnes
travaillant pour l'ONG Acted (Agence d'aide à la coopération technique et au
développement) ont été tuées dimanche avec leur guide nigérien par des hommes
armés, à Kouré, à 60 kilomètres au sud-est de Niamey, lors d'une excursion
touristique. Dans la foulée de cette réunion, le chef de l'État présidera
un second conseil de défense, consacré à la situation sanitaire sur le
Covid-19.
Mais à part constituer une force spéciale utopique pour protéger ces ONG ou associations diverses humanitaires, employant des français ou occidentaux dans leurs rangs, en recommandant à nos ressortissants de ne pas s’écarter exclusivement de leur travail humanitaire, sans surtout croire qu’ils ne risquent rien, et surtout ne pas faire du tourisme, car ils ne sont pas là pour çà pour éviter dans la mesure du possible ces types d’agressions terroristes visant des blancs occidentaux, même s’ils viennent aider les populations autochtones !
Sans quoi, cela continuera, car ces régions sont infestées de groupuscules terroristes ou simplement brigands de grand chemin, car en plus les occidentaux sont leurs cibles pour assassinats ou enlèvements contre rançon ou de vengeance contre l’armée française qui leur font la chasse !
Ces régions d’Afrique sahélienne sont dangereuses on ne le dira jamais assez et cette ONG qui avait amené ces pauvres personnes travaillent pour eux en excursion touristique a fait une erreur irresponsable (et maintenant ne trouve rien de mieux que demander qu’on les protège) d’accord, mais il ne faut pas tenter le diable !
Et si nos ressortissants ne sont pas indispensables, car ce ne sont pas des militaires pour risquer leurs vies, il ne faut pas qu’ils restent, il faut que les africains puissent seuls se prendre en charge !
Jdeclef 12/08/2020 14h15
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