Le cercueil de Mohamed Brahmi salué par les
militaires le 27 juillet 2013 à Tunis
«Par notre âme, par notre sang, nous te vengerons», criait la foule. Le défunt était accompagné d'une foule estimée à 10.000 personnes selon une source policière et entre 15.000 et 20.000 selon des journalistes présents, alors que les autorités ont déployé un très important dispositif de sécurité, dans Tunis et aux alentours du cimetière.
Tunisie: Marée humaine pour les funérailles du député Brahmi
MONDE - Plusieurs milliers de personnes ont fait le déplacement pour le député opposant assassiné...
Une marée humaine de plusieurs milliers de personnes venues de tout le pays a participé samedi aux funérailles du député opposant assassiné Mohamed Brahmi, dans un climat tendu à Tunis où l'enterrement a terminé en manifestations anti-gouvernementales. La tristesse mais aussi la colère se lisaient sur les visages lors de la procession funèbre, partie sous escorte militaire samedi matin du domicile du défunt dans la banlieue de l'Ariana, 10 km au nord de Tunis. Mohamed Brahmi, 58 ans, tué jeudi, a été mis en terre à la mi-journée au cimetière d'El-Jellaz dans «le carré des martyrs» au côté de Chokri Belaïd, un autre opposant de gauche assassiné en février dernier. Le cortège a traversé le centre de Tunis, tandis qu'un hélicoptère militaire survolait la capitale, a constaté une journaliste de l'AFP.«Par notre âme, par notre sang, nous te vengerons», criait la foule. Le défunt était accompagné d'une foule estimée à 10.000 personnes selon une source policière et entre 15.000 et 20.000 selon des journalistes présents, alors que les autorités ont déployé un très important dispositif de sécurité, dans Tunis et aux alentours du cimetière.
Logique
hélas :
Ces
printemps arabes et leurs fiascos pour l'instant ce confirment et deviennent
bien sur par des considérations
religieuses qui empêchent ces pays de se relever de dictatures, mais qui
veulent les faire basculer dans l'islamisme radical plus ou moins prononcé
comme un cancer qui se répand inexorablement !
Car avant,
les Tunisiens étaient plus heureux que maintenant ou comme les autres, qui les
ont imités, ils ont tout perdu pour l'instant en matière économique et
touristique bien sur!
Bourguiba président de la République tunisienne entre 1957 et 1987 qui
avait fait de ce pays un pays moderne et peut être le plus libre du Maghreb
doit se retourner dans sa tombe, depuis sa destitution en 1987 par Ben Ali le
dictateur renversé par "le printemps arabe" Après 23 ans d’une
présidence autoritaire et policière, caractérisée par l’importance de la
corruption, Ben Ali est chassé le 14 janvier 2011
JD1947 28.07.2013 -
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