Des fourgons de CRS, à Trappes, le 20 juillet
2013
Les renforts seront maintenus dans le quartier des Merisiers, classé zone urbaine sensible (Zus), «tant que nous sentirons des menaces», a souligné le préfet Erard Corbin de Mangoux, en appelant les habitants «au calme».
Le lendemain, un groupe d'une trentaine d'individus s'est présenté au commissariat pour réclamer sa remise en liberté. A la suite du refus de la police, ils ont rameuté d'autres habitants par SMS ou par les réseaux sociaux, selon des sources concordantes.
Le préfet a fait état d'un "siège" du commissariat pendant un peu plus d'une heure.
Les policiers de Trappes restent vigilants après une nuit de violences
FAITS DIVERS - Les policiers de Trappes restaient vigilants samedi soir au lendemain d'affrontements avec des centaines d'habitants qui réclamaient la libération d'un homme, arrêté pour s'être violemment opposé au contrôle de sa femme intégralement voilée...
Les abords du commissariat de Trappes (Yvelines) restaient déserts dans la soirée de samedi, mais une trentaine de fourgons de CRS étaient toujours postés sur place.Les renforts seront maintenus dans le quartier des Merisiers, classé zone urbaine sensible (Zus), «tant que nous sentirons des menaces», a souligné le préfet Erard Corbin de Mangoux, en appelant les habitants «au calme».
Le mari de la femme voilée a tenté d'étrangler un policier
L'origine des troubles, qui ont fait un blessé grave et quatre légers, remonte à jeudi. Lors du contrôle de son épouse voilée, le mari a agressé un policier et tenté de l'étrangler, selon le procureur de la République de Versailles Vincent Lesclous. Il a donc été placé en garde à vue à Trappes. Ce Français concerti à l'Islam a éré remis en liberté dans la journée et placé sous contrôle judiciaire. Il sera convoqué prochainement devant un tribunal.Le lendemain, un groupe d'une trentaine d'individus s'est présenté au commissariat pour réclamer sa remise en liberté. A la suite du refus de la police, ils ont rameuté d'autres habitants par SMS ou par les réseaux sociaux, selon des sources concordantes.
Une foule de 250 personnes
Une compagnie de CRS a été appelée en renfort pour protéger le commissariat, alors que la foule avait atteint environ 250 personnes devant le bâtiment et 400 au total dans le quartier. Les manifestants ont lancé des pierres, incendié des poubelles et vandalisé des abris-bus. Les forces de l'ordre ont répondu avec des grenades de dispersion et des gaz lacrymogènes.Le préfet a fait état d'un "siège" du commissariat pendant un peu plus d'une heure.
Ceci étant, c'est encore un incident
de plus du à un problème de religion dont une particulièrement qui ne veut pas
se plier à la règle de laïcité de notre pays et ne pas respecter les lois de
notre république!
Les religions que l'on
le veuille ou non sont la plaie des peuples!
Alors nous en France qui
avons encore la chance d'être dans un pays laïc ne nous laissons pas déborder
par celles-ci car nous y perdront notre liberté!
JD194721.07.2013 -
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire