Le chef égyptien des armées al-Sissi annonce
à la télévision la destitution du président Morsi, le 3 juillet 2013.
24 juin. Le ministre de la Défense déclare que «les forces armées ont le devoir d'intervenir pour empêcher l'Égypte de plonger» dans un conflit, à la veille du 1er anniversaire de l'élection de M. Morsi, dont les chefs de file de l'opposition réclament la démission.
1er juillet. L'armée donne 48 heures à Mohamed Morsi pour «satisfaire les revendications du peuple», dont une grande partie manifeste en masse pour exiger son départ.
3 juillet. Expiration de l'ultimatum de l'armée menaçant d'imposer sa propre «feuille de route» à Mohamed Morsi.
Dans la soirée, l'armée renverse le président Morsi, le remplaçant par le président du Conseil constitutionnel jusqu'à la tenue d'une présidentielle anticipée. La Constitution est en outre suspendue, annonce le chef de l'armée Abdel Fattah al-Sissi, dans une allocution télévisée. Mohamed Morsi, confronté durant sa présidence à une contestation populaire qui a atteint son apogée ces derniers jours, dénonce un «coup d'État complet».
Égypte: Retour sur le rôle de l'armée depuis le départ de Moubarak
MONDE - Elle continue de jouer un rôle capital dans la politique égyptienne, après la destitution du président Mohamed Morsi ce mercredi soir...
L'armée égyptienne, qui a renversé ce mercredi soir le président islamiste Mohamed Morsi, le remplaçant par le président du Conseil constitutionnel, s'est impliquée directement à plusieurs reprises dans la gestion du pays depuis la chute de l'ancien président Hosni Moubarak en février 2011. Retour sur une corporation particulièrement puissante.24 juin. Le ministre de la Défense déclare que «les forces armées ont le devoir d'intervenir pour empêcher l'Égypte de plonger» dans un conflit, à la veille du 1er anniversaire de l'élection de M. Morsi, dont les chefs de file de l'opposition réclament la démission.
1er juillet. L'armée donne 48 heures à Mohamed Morsi pour «satisfaire les revendications du peuple», dont une grande partie manifeste en masse pour exiger son départ.
3 juillet. Expiration de l'ultimatum de l'armée menaçant d'imposer sa propre «feuille de route» à Mohamed Morsi.
Dans la soirée, l'armée renverse le président Morsi, le remplaçant par le président du Conseil constitutionnel jusqu'à la tenue d'une présidentielle anticipée. La Constitution est en outre suspendue, annonce le chef de l'armée Abdel Fattah al-Sissi, dans une allocution télévisée. Mohamed Morsi, confronté durant sa présidence à une contestation populaire qui a atteint son apogée ces derniers jours, dénonce un «coup d'État complet».
En fait les peuples de ces pays arabisants de la
méditerranée musulmans ont besoin d'être tenus en laisse fermement puisqu'ils
reviennent immanquablement à des formes similaires de dictatures!
Soit par un pouvoir religieux islamiste radical
Soit par un homme fort dictateur
Soit par une dictature militaire
En fait on est bien loin des démocraties à l’occidentale
avec ses libertés, les derniers pays des "printemps dit arabes" l'ont
montré!
Tunisie, Libye, Égypte, Syrie et même la grande Turquie
qui glisse dangereusement vers moins de liberté et d'autres en gestation le Liban,
l'Algérie et le Maroc etc…
Mais dans tout cela, c'est l'islamisme grandissant qui en
est la cause, pour autant en Égypte le peuple semble-t-il ne l'a pas accepté,
car les promesses de ce mouvement n'ont pas été tenues, mais ils ne sont pas
encore libres loin de là!
Et puis il y a le continent africain ou l'islamisme gagne
du terrain, on a vu avec le MALI mais il est toujours là, dans les pays voisins!
Il faut vraiment que la France et l'Europe
occidentale se protège de ce fléau rampant!
jdeclef04.07.2013 -
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