dimanche 21 juillet 2013

OU L’ON VOIT M. LE PEN DIRE TOUT HAUT, CE QUE BEAUCOUP PENSE TOUT BAS HYPOCRITEMENT SANS OSER LE DIRE!

La présidente du Front national, Marine Le Pen, le 3 avril 2013, à Charleville-Mézières (Ardennes)

Échauffourées à Trappes: «La seule loi en France est la loi française, non la loi islamiste» pour Le Pen...

RÉACTIONS - Les politiques sont nombreux à réagir après les violences de la nuit de vendredi à ce samedi...

Après la nuit de violences devant le commissariat du quartier des Merisiers, à Trappes (Yvalines), les politiques ont été nombreux à réagir.
Manuel Valls. Le ministre de l'Intérieur a expliqué qu'«il n'y a aucune raison valable pour que des violences urbaines se justifient. S'en prendre aux forces de l'ordre, à un commissariat, est inacceptable dans un Etat de droit. J'en appelle au calme.» Il a également ajouté que «s'en prendre à des institutions ou à des biens publics, tout cela n'a aucun sens, ne règle aucun problème, est inadmissible. Aucun élément ne peut justifier la moindre violence. L'ordre républicain sera rétabli à Trappes».

Benoît Hamon.
Le ministre de l'Economie sociale et solidaire et député des Yvelines s'est exprimé ce samedi: «Ces agressions contre les policiers et les actes de dégradation des biens privés ou publics sont inacceptables.»

Harlem Désir (PS). Le secrétaire national du parti socialiste dénonce «la dérisoire tentative d'instrumentalisation de ces violences urbaines par la droite, qui devrait s'en tenir à un discours de reponsabilité et non d'exploitation politicienne, et par l'extrême droite». Il ajoute: «Le Parti socialiste appelle chacun au calme et au respect de la loi républicaine.»


A droite, Eric Ciotti (UMP), est également revenu sur les faits de la veille dans un communiqué. «La République se doit d'être implacable contre la violence communautariste plutôt que d'être dissimulée», écrit le député des Alpes-Maritimes. «Cette violence appelle de lourdes sanctions», poursuit-il, affirmant qu'«il faut que tous les Républicains réagissent de façon unanime face à ces menaces qui minent notre pacte national». Selon lui, «rien ne saurait excuser cette violence, inouïe et inédite, dans l'histoire de notre pays, contre les symboles de la République, à savoir la police nationale». «La loi de la République doit s'appliquer avec la même force et la même sévérité sur tout le territoire de la République», ajoute-t-il.

Même si le titre qui reprend une réflexion de M. LE PEN est un peu à "l'emporte pièce" et bien que je ne sois pas frontiste, il faut bien admettre quelle appelle "un chat un chat" et que l'on est obligé de lui donner raison!

Depuis ces dernières années on favorise cette religion par des dérogations ou aménagements divers pour ses pratiquants, ce n'est pas normal dans un pays laïc(en regard des autres religions) et maintenant ils en abusent en ne respectant même plus les lois de la république!

Cela suffit, il faut les "recadrer" pour employer un terme diplomatique avec fermeté sans états d’âmes et surtout sans se laisser influencer par ces kyrielles de bien pensants donneurs de leçons!

Car on arrivera sans cela, en dehors des troubles à l'ordre public, a un déséquilibre dans l'unité de notre pays déjà fragile et cela serait trop grave!

Il ne faut pas laisser notre pays sombrer dans l'obscurantisme religieux prendre le pas sur notre laïcité la politique de la France et sa liberté!

Cet incident est une alarme de plus à prendre sérieusement en compte par notre gouvernement et ceux à venir!

JD194721.07.2013 -

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