La ministre française de la Justice
Christiane Taubira et la commissaire européenne à la Justice, Viviane Reding,
le 6 juin 2013 à Luxembourg
Face au déluge de documents communiqués via l'ancien consultant américain de la NSA, Edward Snowden, au cœur d'un imbroglio mondial digne des meilleurs romans d'espionnage, Bruxelles a averti même de possibles conséquences sur la négociation d'une zone de libre-échange transatlantique.
«Entre partenaires, on n'espionne pas!», a lancé dimanche au Luxembourg la commissaire européenne à la Justice, Viviane Reding.«On ne peut pas négocier sur un grand marché transatlantique s'il y a le moindre doute que nos partenaires ciblent des écoutes vers les bureaux des négociateurs européens», a-t-elle estimé, en réclamant que les Etats-Unis «dissipent ces doutes très rapidemen
Hollande demande aux États-Unis que l'espionnage de l'UE «cesse
immédiatement»
François Hollande a demandé aujourd'hui aux Etats-Unis que l'espionnage de l'Union Européenne "cesse immédiatement." "Nous ne pouvons pas accepter ce type de comportements" a-t-il aussi affirmé.
Selon le quotidien britannique The Guardian, la France, l'Italie et la Grèce figuraient parmi les 38 "cibles" surveillées par l'Agence nationale de sécurité américaine (NSA), selon les documents communiqués par l'ancien consultant de cette agence, Edward Snowden.
Un peu plus tôt, l'Allemagne avait estimé que les Etats-Unis auraient un comportement "inacceptable" et digne de la guerre froide, s'il était avéré que l'Agence nationale de sécurité (NSA) avait mené un vaste programme d'écoute de l'Union européenne (UE).
Espionnage: Les Européens réclament des explications à Washington
DIPLOMATIE - Après les révélations d'Edward Snowden...
Les Européens ont exigé des explications sur le programme d'espionnage américain, qui aurait visé les institutions de l'UE et des millions de citoyens européens, alors que, dernier épisode en date, le quotidien britannique The Guardian a affirmé dimanche que la France, l'Italie et la Grèce figuraient parmi les 38 «cibles» surveillées par l'Agence nationale de sécurité (NSA) américaine.Face au déluge de documents communiqués via l'ancien consultant américain de la NSA, Edward Snowden, au cœur d'un imbroglio mondial digne des meilleurs romans d'espionnage, Bruxelles a averti même de possibles conséquences sur la négociation d'une zone de libre-échange transatlantique.
«Entre partenaires, on n'espionne pas!», a lancé dimanche au Luxembourg la commissaire européenne à la Justice, Viviane Reding.«On ne peut pas négocier sur un grand marché transatlantique s'il y a le moindre doute que nos partenaires ciblent des écoutes vers les bureaux des négociateurs européens», a-t-elle estimé, en réclamant que les Etats-Unis «dissipent ces doutes très rapidemen
La France a elle aussi demandé des explications «dans les plus brefs
délais». «Ces faits, s'ils étaient confirmés, seraient tout à fait inacceptables»,
a déclaré le chef de sa diplomatie, Laurent Fabius. La ministre française de la
Justice, Christiane Taubira, est allée plus loin, en estimant que si Washington
avait bel et bien mené les opérations d'espionnage décrites par le Spiegel, ce
serait «un acte d'hostilité inqualifiable».
François Hollande a demandé aujourd'hui aux Etats-Unis que l'espionnage de l'Union Européenne "cesse immédiatement." "Nous ne pouvons pas accepter ce type de comportements" a-t-il aussi affirmé.
Selon le quotidien britannique The Guardian, la France, l'Italie et la Grèce figuraient parmi les 38 "cibles" surveillées par l'Agence nationale de sécurité américaine (NSA), selon les documents communiqués par l'ancien consultant de cette agence, Edward Snowden.
Un peu plus tôt, l'Allemagne avait estimé que les Etats-Unis auraient un comportement "inacceptable" et digne de la guerre froide, s'il était avéré que l'Agence nationale de sécurité (NSA) avait mené un vaste programme d'écoute de l'Union européenne (UE).
Et pour certains, qui voudraient accueillir SNOWDEN, ce serait
le meilleur moyen de se fâcher définitivement avec l'administration américaine et OBAMA bien
sur!
De plus, il n'est pas sur que Poutine, qui aime jeter de
l'huile sur le feu, le laisse partir de Russie si facilement!
En tout état de cause se serait de la mauvaise politique
auquel la France ne devrait pas trop se mêler et surtout pas C.TAUBIRA!
On se demande ce qu'elle fait encore là, c'est vraiment
une plaie!
Mais qu’attendent J.M. AYRAULT et le PRÉSIDENT pour la
mettre en voie de garage!
C'est au président de régler les futures relations avec
les USA, de toute façon le mal est fait depuis longtemps et on ne risque pas
d'intimider les américains (qui de toute
façon feront ce qu'ils voudront et ce même s'ils disent qu'ils ne le feront
plus…)
La voix de la France ne porte plus depuis
longtemps surtout avec des ministres et dirigeants comme l'on a actuellement…
jdeclef01.07.2013 -
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