Il faut cesser d’être hypocrite et admettre que ces populations nomades gênent beaucoup de français sédentaires qui n’aiment pas se voir imposer les camps de « gens du voyage »….

Manuel Valls, le 3 juin à Bastia

Gens du voyage: Manuel Valls veut forcer les maires à créer des aires

SOCIÉTÉ - Mais il a critiqué l’idée de Christian Estrosi qui a récemment publié un guide pratique pour «expulser» les gens du voyage….

Manuel Valls a soutenu mercredi l'idée de mécanismes coercitifs pour forcer les maires à créer des aires d'accueil pour les gens du voyage et a vivement critiqué le «guide pratique» récemment publié par le député UMP Christian Estrosi.
«Nous ne pouvons plus accepter, treize ans après sa publication, (...) que la loi Besson demeure en grande partie lettres mortes», a déclaré le ministre de l'Intérieur en référence à une loi de 2000 qui impose à toute commune de plus de 5.000 habitants de créer des aires d'accueil pour les populations itinérantes.
«Le taux de réalisation des aires d'accueil est à peine de 52%, il est de 29% pour les aires de grand passage», a ajouté Manuel Valls en marge d'un colloque sur les gens du voyage à l'Assemblée nationale.

«Nous nous garderons de tout systématisme»

La diversité : une sourde et aveugle hypocrisie pour cette catégorie que je baptiserais "bien pensants" empêcheurs de tourner en rond, fer de lance de ces associations diverses que l'on connait bien et qui sème la discorde au lieu de régler les problèmes!

Qui veulent bien ouvrir les portes de la France et de ces divers lieux à tout le monde, peut importe, si cela cause quelque fois de grosses difficultés et des contraintes diverses aux villes et communes,

(et bien sur pas seulement pour "les gens du voyage» comme on les appelle...)

Mais aussi qui n'en voudrait pas chez eux, mais les verrait bien chez les autres, du moment que cela ne les dérange pas bien sur !

Car il y a d'autres catégories à prendre en compte, être maire d'une ville concernée devient vraiment pas facile et un "casse tête chinois!

Quand on pense que certaines communes n'ont déjà pas assez de logements sociaux, faute de financement et terrains pour faire construire et on leur impose des infrastructures viabilisées pour des populations nomades?!

Et en période de crise, ce qui n'arrange pas les choses, ce n'est forcement pas la priorité dans le budget des communes souvent serré, voire déjà en déficit!

(Alors comme dit le proverbe, charité bien ordonnée commence par soi-même!)

Parallèlement les populations habitantes sédentaires des villes concernées n'aiment pas qu’on leur impose ces gens du voyage, qu'elles considèrent souvent comme des étrangers à tort peut être, parce que pas sédentarisés dans leur commune!

JD194718.07.2013 -