mercredi 6 mars 2013

ET SI ON LES ÉCHANGEAIT CONTRE NOS CONCITOYENS OTAGES, UTOPIQUE BIEN SUR...!

Des soldats français près de Douentza (Mali), le 7 février

La France fait ses premiers prisonniers au Mali

INFOS 20 MINUTES – Une «demi-dizaine» de combattants ont été arrêtés par les soldats…

La situation est inédite depuis le début de l’opération Serval: l’armée française a fait ses premiers prisonniers lundi et dans la nuit de lundi à ce mardi. L’information a été confirmée à 20 Minutes par l’état-major des armées. Une «demi-dizaine» de combattants ennemis se sont soit rendus spontanément aux soldats français, «les mains en l’air», soit après avoir été découverts. Ces arrestations se sont déroulées dans la vallée d’Ametettaï, contrôlée par les forces franco-tchadiennes et dans laquelle se déroulent des opérations de fouille. Jusqu’alors, les combattants djihadistes ne se rendaient pas et préféraient mourir au combat, voire se suicider.
Les prisonniers sont actuellement débriefés à Tessalit: leur identité est en train d’être déterminée. Une vérification qui peut prendre du temps car il faut recouper les informations. Reste à définir leur statut. Même si l’opération Serval n’est pas juridiquement parlant une guerre, l’armée française dit appliquer le droit des prisonniers de guerre aux détenus. L’objectif est de les «transférer le plus vite possible» aux mains de la justice malienne.

TRANSFERT VERS LA JUSTICE MALIENNE ? 

Parfait : Mais on parle aussi d’extradition (vers où??)

De plus, peut être la seule chose utile serait d'obtenir des renseignements sur les otages (mais sans garantie, car on ne va pas les bousculer "on est le pays des droits de l'homme n'est ce pas... ? Bien sur...)

L'opération Serval "n'est pas juridiquement une guerre"?!
 
(Comme si le coté juridique international effleurait simplement ces terroristes fanatiques et notamment leurs chefs mafieux TERRORISTES bandits de grands chemins sans foi ni lois)

On peut noter que ces combattants se sont rendus gentiment (peut être que simplement leurs chefs n'ont pas eut le temps de les droguer avant de les envoyer au contact des soldats français ou africains!)

Ceci étant, il aurait  mieux fallu, les voire morts que vivants étant donné leur dangerosité, maintenant c'est des boulets à trainer et à gérer, on ferait mieux de les jeter dans («un cul de basse fosse ") n'en déplaisent à tous les biens pensants moralistes de tous poils


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