lundi 11 mars 2013

TOUT EST À REVOIR DANS NOTRE PAYS QUI A ÉTÉ CASSÉ PAR NOS ÉLUS QUI SE SONT SUCCÉDÉS DEPUIS DES DÉCENNIES


le 5 fevrier 2013. Direction centrale du renseignement interieur

Un an après l'affaire Merah, le renseignement français est en crise


SECURITE – Pointées du doigt, les méthodes de travail de la DCRI n'ont pas évolué…

Interpellations prématurées dans l’affaire de Tarnac, trop tardives pour le dossier Merah. Un an après le premier des sept meurtres du tueur toulousain, les services de renseignement  sont «hantés par l’idée de louper quelque chose», à en croire le député PS Jean-Jacques Urvoas, chargé par Manuel Valls de conduire une mission d’évaluation du renseignement.
La direction centrale du renseignement intérieur (DCRI), mise en cause dans l’affaire, n’a pas relevé la tête. Manque de communication, suspicions entre agents, rétention d’informations avec les services territoriaux… Les écueils de l’affaire Merah, mis en lumière par un rapport de l’inspection générale de la police nationale (IGPN) en octobre 2012, n’ont pas véritablement eu d’effets concrets au sein de la «Centrale», si ce n’est le limogeage de son patron, Bernard Squarcini. «En interne, ça ne fonctionne toujours pas. Ils ne discutent pas entre eux. Tout le monde a peur de tout le monde», s’inquiète Yanick Danio, délégué national du syndicat Unité Police (SGP-FO) et ancien officier des renseignements généraux.
Ces tensions, exacerbées avec l'affaire Merah, s'étaient cristallisées lors de la création de la DCRI en 2008 par décret, née de la fusion de la direction de la surveillance du territoire (DST) et de la direction centrale des renseignements généraux (DCRG). «La culture de la DST a pris le pas sur les RG. Les services sont encore beaucoup trop cloisonnés, trop hiérarchisés», alarme Yannick Danio. «Toutes les polices du monde sont confrontées à ces problèmes structurels d’échanges d’informations», relativise Fabien Jobard, chercheur au CNRS et directeur du Centre de recherche sociologique sur le droit et les institutions pénales (Cesdip).
Réforme du renseignement à venir..?
Je crois surtout que ce qu'il faut ce demander :

C'est : Qu'est ce qui n'est pas en crise en France ?

Depuis 30 ans et  l'aire sarkozienne, mais avec la venue de l'aire hollandaise, ce n'est pas mieux cela s'amplifie au fil du temps!

Mais ce n'est pas une nouveauté, ni une surprise, car les français élisent des politiciens incapables ne pensant qu'à eux depuis décennies et en reprenant à peu près toujours les mêmes!

Nous sommes dans un pays à gouvernance « monarchique » (qui s'appelle république…)
Il faudrait vraiment changer en une vraie (6 eme) république vraiment démocratique, mais nos concitoyens, mous et apathiques (râleurs, mais c'est tout) subissent sans réagir!

Quelques centaines de politiciens manœuvrent (ou manipulent) 65 millions de moutons (ou de veaux, comme disant de Gaulle)

Pauvre France et ses Français  peuple d'en bas !

jdeclef11.03.2013 - 

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