mardi 1 septembre 2020

Oui ! Et alors que font les ministères de l'intérieur et leurs ministres qui se sont succèdes depuis 2015, dates des grands attentats qui ont touché la France !?


Lutte contre le terrorisme : plus de 8 000 personnes fichées pour radicalisation

Ce lundi 31 août, Gérald Darmanin a fait savoir que « le risque terroriste d'origine sunnite » demeurait la principale menace pour la France.


La menace terroriste reste élevée. Ce lundi 31 août, Gérald Darmanin, le ministre de l'Intérieur, a fait savoir que plus de 8 000 personnes (8 132) sont à ce jour inscrites au fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste (FSPRT). Des chiffres annoncés lors du déplacement du ministre au siège de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI). Il a également fait savoir que la menace terroriste « demeurait extrêmement élevée sur le territoire », en précisant que le « risque terroriste d'origine sunnite demeur[ait] la principale menace à laquelle est confronté notre pays ».
Deux jours avant l'ouverture du procès des attentats de Charlie Hebdo et de l'Hyper Cacher, en janvier 2015, le ministre de l'Intérieur a assuré que « la lutte contre le terrorisme islamiste était une grande priorité du gouvernement ». « Nous mènerons un combat sans relâche […], nous ne renoncerons jamais à traquer sans relâche ces ennemis de la République », a-t-il insisté. Détaillant les formes de la menace terroriste, Gérald Darmanin a estimé que « malgré la défaite militaire de l'État islamique […], la composante extérieure de la menace [action terroriste élaborée à l'étranger et projetée en France, NDLR], même si elle a diminué, devait continuer à faire l'objet de toute notre attention ».

« Un défi croissant »

Néanmoins, pour lui, c'est la menace endogène (projets d'actes terroristes élaborés sur le territoire, NDLR) qui est « la plus prégnante et la plus forte ». « Elle est nourrie par la propagande des groupes terroristes, inspirée des vétérans du djihad, mais également par l'emprise que les tenants d'un islam radical s'efforcent d'avoir dans certains de nos quartiers », a-t-il ajouté. Le ministre a estimé que « la menace représentée par des individus adeptes de l'islam radical […] deven[ait] un défi croissant pour les services de renseignements, qui assurent aujourd'hui le suivi de 8 132 individus inscrits au FSPRT ».
Face à l'ampleur des défis dans la lutte contre le terrorisme, Gérald Darmanin a mis l'accent sur les moyens supplémentaires alloués à la DGSI, qui verra ses effectifs augmenter de « 1 260 agents dans tout le quinquennat ». Il a confirmé que cette direction déménagerait prochainement à Saint-Ouen, grâce à l'achat effectué en début d'année des terrains auparavant occupés par le journal Le Parisien. L'opération « se chiffre à plus d'un milliard d'euros », a-t-il dit.

Comment l'État islamique utiliserait le Covid-19 pour sa propagande
Abordant la question de la libération prochaine des « 505 détenus terroristes islamistes en lien avec la mouvance islamiste », auxquels il a ajouté « 702 détenus de droit commun susceptibles de radicalisation », il a fait valoir qu'il s'agissait d'un « défi sécuritaire majeur ». « En 2020, a-t-il dit, les prévisions de libération sont évaluées à 45 détenus pour des faits d'association de malfaiteurs terroristes », et en 2021 à « 63 terroristes islamistes condamnés ». Gérald Darmanin a appelé en outre à la vigilance concernant « d'autres formes d'action » émanant « de groupuscules radicaux ou d'individus isolés partisans du recours à la violence ». Il a cité à cet égard l'arrestation en mai dernier à Limoges d'un « suprémaciste », qui voulait s'en prendre à des lieux de culte juifs.
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A part des statistiques et cela concerne aussi notre justice laxiste qui n'est pas d'exception pour ce type de crimes et donc pas assez rigoriste en matière de peine pour éviter si possible que ces attentats lâches aveugles donc impardonnables ne perdurent, car pas assez réprimés !

Car nous sommes dans une société de droit dirigée et gouvernée par des bien-pensant donneurs de leçons pratiquant le politiquement correct hypocrite pernicieux et se drapant dans leur manteau des droits de l’homme que bien sur ces criminels illuminés de ne respectent pas, ni le respect de la vie humaine !

Faire comprendre cela à nos dirigeants de tous bords qui ne savent que faire des discours édifiants habituels en versant des armes de crocodiles, quand des faits criminels terroristes se produisent en honorant les victimes aux invalides, c’est mission impossible !?

Jusqu’à certain ex 1er ministre de dire qu’il faut vivre avec ces attentats terroristes islamiques (comme les accidents de la route bien plus nombreux sans vouloir être cynique !?)

Et notre président qui dit entre autres que l’on banalise la violence et délinquance, il se moque de qui, une fois de plus, car c’est lui dirige la politique du pays !?

Jdeclef 01/09/2020 11h12LP

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