Cécile Bourgeon, la mère de la petite Fiona,
devant les journalistes.
«Au cours de la semaine entre le 7 au 12 mai», date de la disparition de Fiona, la fillette avait un hématome sur la tempe gauche «dès le mardi» et elle était sortie le mercredi après-midi avec un bandeau sur la tête «pour cacher» ce bleu, selon le procureur qui rapportait les propos de la mère, Cécile Bourgeon.
Le vendredi, «Fiona n'allait pas bien» et ce jour-là, «l'hématome était descendu sur l'œil», a précisé M. Sennès qui parle donc d'une fillette «en mauvaise santé» au moment de sa disparition.
Il en va de même pour la disparition du corps le dimanche matin, a-t-il dit. «L'objectif prioritaire est de retrouver le corps», a-t-il ajouté «pour les necessités de l'enquête mais aussi pour offrir une sépulture décente» à l'enfant.
Fiona: La fillette était blessée une semaine avant sa disparition
JUSTICE - Le procureur envisage une confrontation entre la mère et le beau-père...
La petite Fiona, dont le corps n'a pas encore été retrouvé, avait déjà un hématome à la tête une semaine avant sa disparition, a révélé mardi le procureur de la République Pierre Sennès, lors d'une conférence de presse au tribunal de Clermont-Ferrand.«Au cours de la semaine entre le 7 au 12 mai», date de la disparition de Fiona, la fillette avait un hématome sur la tempe gauche «dès le mardi» et elle était sortie le mercredi après-midi avec un bandeau sur la tête «pour cacher» ce bleu, selon le procureur qui rapportait les propos de la mère, Cécile Bourgeon.
Le vendredi, «Fiona n'allait pas bien» et ce jour-là, «l'hématome était descendu sur l'œil», a précisé M. Sennès qui parle donc d'une fillette «en mauvaise santé» au moment de sa disparition.
Confrontation
«Tout ceci s'est passé dans un huis clos familial» avec la présence de deux adultes qui sont les seuls à pouvoir dire ce qui s'est passé, a ajouté le procureur, justifiant ainsi les deux mises en examen pour «coups mortels aggravés» pour la mère et son compagnon, Berkhane Makhlouf.Il en va de même pour la disparition du corps le dimanche matin, a-t-il dit. «L'objectif prioritaire est de retrouver le corps», a-t-il ajouté «pour les necessités de l'enquête mais aussi pour offrir une sépulture décente» à l'enfant.
Ces parents infanticides (s'ils ont droit d'ailleurs encore au titre
de parents) sont des monstres, il n'y a rien de plus à dire, rien que le
fait qu’ils ne veulent pas dire où le corps de l'enfant se trouve, prouve leur
lâcheté et leur complicité avérée dans ce crime odieux !
Il y a assez de charge
pour les envoyer en prison pour perpette que la justice passe rapidement c'est
tout, sans mansuétude si possible… (Comme
on le voit trop souvent hélas avec notre justice taubirienne)
jacques declef 23/10/2013
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