dimanche 27 octobre 2013

LA TURQUIE N’EST PAS MURE POUR ENTRER DANS L’EUROPE ET NE LE SERA JAMAIS SURTOUT AVEC SON DIRIGEANT TOTALITAIRE ACTUEL!

Affrontement entre manifestants et policiers, samedi 26 octobre 2013, à Ankara (Turquie).

Turquie: Échauffourées entre policiers et manifestants à Ankara

MONDE - Les forces de l'ordre ont sorti les gaz lacrymogènes et les canons à eau...

La police turque a utilisé des gaz lacrymogènes samedi à Ankara pour disperser deux manifestations visant à dénoncer l'arrachage d'arbres sur un campus universitaire de cette ville, et elle a procédé à des interpellations. Une première manifestation a eu lieu avec la participation d'une centaine d'étudiants dans le centre-ville.
Les manifestants voulaient planter des arbres
Selon le mouvement d'étudiants de gauche Genç-Der qui avait organisé le rassemblement sur la place centrale de Kizilay, 26 manifestants ont été interpellés par la police anti-émeutes, présente en nombre sur les lieux. Les manifestants voulaient marcher dans le centre-ville et planter ensuite des arbres dans le jardin d'un bâtiment public, a expliqué à l'AFP une porte-parole de Genç-Der. Plus tard, en début de soirée, 200 manifestants sont entrés sur le chantier de la route qui passe maintenant au beau milieu de cet établissement universitaire, narguant les ouvriers et provoquant une intervention musclée de la police, indique l'agence de presse Dogan. Les policiers ont une nouvelle fois recouru à des grenades lacrymogènes, et aussi à des canons à eau, selon l'agence.
Le Premier ministre accusé de vouloir islamiser la Turquie
Depuis des semaines, des manifestations sporadiques sont organisées à Ankara et dans d'autres villes de Turquie pour protester contre le passage d'une route au milieu du campus de l'Université technique du Moyen-Orient (ODTU), un projet municipal très controversé qui vise à désengorger la circulation automobile dans la capitale turque. Recep Tayyip Erdogan, le Premier ministre islamo-conservateur contesté lors d'une vague de mobilisation sans précédent en juin, lancée dans la foulée d'un projet urbain semblable à Istanbul, a qualifié la semaine dernière de «bandits modernes» ceux qui s'opposent à son projet urbanistique à Ankara.


Faire entrer la Turquie dans l'Europe, quand ce pays glisse vers le totalitarisme à cause de son dirigeant et d'une radicalisation rampante vers un islamiste extrême et par la même régresser à terme, alors que c'est encore un grand pays laïc!

Ce serait faire entrer "le loup dans la bergerie" et une décision irraisonnée, que l'Europe se méfie, il y a eut déjà des erreurs de faites dans l'acceptation de nouvelles candidatures à l'U.E. et celle là, si elle se faisait serait de taille!

Prions que ce pays d’Asie mineure aux frontières de l'Europe avec un petit pied géographique dedans, n'entre pas dans l'U.E. et surtout ne laissons pas nos dirigeants actuels décider sans avoir consulté le peuple français!

jdeclef 27.10.2013 -

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