jeudi 24 octobre 2013

F.HOLLANDE UN PRÉSIDENT DÉPASSÉ « CUL PAR-DESSUS TÊTE » QUI RÉAGIT DE MOINS EN MOINS BIEN AUX ÉVÉNEMENTS DE SON QUINQUENNAT POUR Y REMÉDIER!

L'allocution de François Hollande au sujet du retour de Leonarda le 19 octobre 2013

L'affaire Leonarda, un «traquenard médiatique» dans lequel Hollande «a sauté à pieds joints», selon les internautes

Les sympathisants socialistes internautes commentent les récents écueils de communication du chef de l'État, notamment dans l'affaire Leonarda...

On savait que le chef de l’État avait une fâcheuse tendance à attirer la pluie lors de ses déplacements. Avec l’affaire Leonarda, c’est un véritable déluge qui s’est abattu sur lui. Et les assauts sont venus de sa propre famille politique. Le président a-t-il commis une (nouvelle) bévue de communication? A-t-il opté pour la bonne attitude? Devrait-il faire preuve de davantage d’autorité? Nous avons posé ces questions à des internautes de 20 Minutes qui ont voté pour lui en 2012 et qui se revendiquent «de gauche».

François Hollande aurait dû «laisser passer l’orage»

Pour la plupart, le Président s’est fait avoir. Hervé aurait aimé entendre à ce moment la ministre des Affaires sociales, Marisol Touraine, par exemple, en plus de Manuel Valls. Il s’étonne que le Premier ministre ait pris part au débat; «c’était déjà trop», nous dit-il. 
La goutte d’eau qui a fait déborder le vase, pour d’autres, c’est l’intervention du Président. Le cas de cette jeune Kosovare expulsée de France «ne devait pas être le problème» du chef de l’État, selon Jean.
François Hollande a en effet choisi de prendre la parole lors d’une allocution télévisée, demandant à Leonarda de revenir en France, mais sans ses parents. Il a «sauté à pieds joints» dans un «traquenard médiatique», écrit un internaute dans les commentaires, au lieu de «laisser passer l’orage», soumet Jean. 
«Le Président devait-il intervenir? interroge Bastien, militant PS de 22 ans. Peut-être, l'affaire prenant une ampleur démesurée. Mais certainement pas comme cela.» 
Le jeune militant voit dans ce choix «plus qu’une maladresse de communication. En faire une affaire d’Etat, c’est donner du crédit à ces détracteurs, c’est une erreur de jugement.»

Pour Hervé, «Hollande a essayé de faire dans la compassion, mais tend vers la naïveté». Il s’explique: «Hollande est un manager par la persuasion. Il essaie de convaincre, plutôt que d’imposer. 
Mais ménager la chèvre et le chou en fixant un cap, c’est compliqué.» En menant une politique de «centre gauche», comme l’écrit Hervé, encaisser des critiques de la droite et de l’extrême gauche, «c’est normal». 
Là où les gifles deviennent «inquiétantes», c’est quand elles viennent de son camp.

Ce n'est pas la 1ere fois qu'il se fait piéger sur des sujets embarrassants voire sérieux!


C'est bien facile de dire qu'il a peut être de mauvais conseillers (ou alors qu’ils ne les écoutent peut être pas ?) 

Ou bien alors, c'est son caractère gnian-gnian toujours jovial ou un manque pathologique à ne pas  vouloir décider ou bien croire que tout le monde est beau et gentil dans le monde?

Ou alors il n'était pas fait pour commander ou diriger notre pays (ce qui est bien plus différent que de diriger un parti politique qui même en ce moment le désavoue partiellement dans ses rangs)

Il faudrait qu'il redescende sur terre (il n'est pas le pape François pour porter la bonne parole, bien que celui-ci en comparaison est bien plus dynamique que lui!)

On en arrive maintenant à penser en fait qu'il n'était pas fait pour être président de notre république et çà c'est bien sur préoccupant pour la France et les français, car même avec les événements récents, il ne fait rien pour améliorer son attitude et ne change rien dans sa politique que nos concitoyens ne comprennent pas et qui se rendent compte que le pays va de plus en plus mal à veau l'eau dans trop de domaines!

JDECLEF24.10.2013 -

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