jeudi 17 octobre 2019

Bon travail de police, mais peut être un pétard mouillé à cause de notre justice !


Des mineurs suspectés dans 136 cambriolages en garde à vue

Selon la police, les onze mineurs sévissaient depuis janvier à Paris et en banlieue, avec l'aide de deux adultes. Le préjudice est estimé à 500 000 euros.

Le bélier a remplacé le réveil mardi matin à 6 heures pour onze jeunes. Ils ont été délogés de leur domicile à Paris, dans le Val-de-Marne, les Hauts-de-Seine et les Yvelines par 90 policiers de la sûreté territoriale et départementale. Ces onze mineurs sont soupçonnés d'avoir commis 136 cambriolages depuis le mois de janvier. Lors des perquisitions, les enquêteurs ont retrouvé une partie de leur butin qui s'élève depuis janvier à 500 000 euros. Des vêtements, plus de 3 000 euros et des cartes magnétiques ont été retrouvés.
L'enquête avait démarré en mars après un vol par effraction commis dans un appartement du 20e arrondissement de Paris. C'est le groupe d'atteinte aux biens du commissariat local qui a levé le lièvre grâce aux recoupements des bornes téléphoniques et de la vidéoprotection dans le secteur. Les liens sont alors établis entre des jeunes du 12e arrondissement qui fréquentent un fournisseur de « Vigik », les « clés » magnétiques qui permettent de pénétrer les immeubles sans effraction. L'équipe dispose également d'un receleur pour écouler le fruit de ces vols. Les exploitations de la police scientifique et les antécédents judiciaires des mineurs ont permis de rapidement cerner l'équipe.

Technique du « trou d'homme »

Toutes les techniques d'enquête ont été utilisées. Les rapprochements entre les numéros de téléphone les plus fréquemment utilisés dans les zones de commission des faits ont permis de mettre au jour une équipe à tiroirs de onze jeunes de 16 à 17 ans en contact régulier avec le revendeur de Vigik et le receleur.
Le mode opératoire était toujours le même depuis le début de l'année : plusieurs fois par semaine, l'un des cambrioleurs achetait un Vigik avant de rejoindre ses complices à Paris ou en petite couronne pour commettre des cambriolages dans des immeubles toujours situés à proximité d'une station de métro. Ils ouvraient les appartements selon la technique dite du « trou d'homme », les jambes exercent une forte pression sur la porte qui finit par céder. Une fois leur forfait accompli, ils contactaient leur receleur par téléphone pour convenir d'un rendez-vous dans le 10e arrondissement et lui remettre le butin.
Selon un recensement établi par les enquêteurs, le receleur a été appelé 867 fois depuis janvier et le fournisseur de Vigik à 793 reprises. Les deux adultes sont rapidement passés à table.
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Car laxiste faite pour les mineurs avec un code pénal inadapté inefficace dans notre pays de bienpensant donneur de leçon qui se regarde le nombril !

Car quand il s'agit de faire le ménage dans des citées de non droit gangrenées par la voyoucratie et les trafics de drogues et autres etc.il n'y a plus personne de notre état dit régalien, mais surtout des bavards qui s'écoutent parler pour ne rien dire !

Jdeclef 17/10/2019 09h24

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