mardi 29 octobre 2019

L'Angleterre c'est « mise cul par-dessus tête » avec ce brexit qui souligne leurs divisions entre le peuple et leurs députés empêcheurs de tourner en rond !


Brexit : les députés rejettent la tenue d'élections le 12 décembre

VIDÉO. Le Premier ministre, Boris Johnson, a immédiatement annoncé qu'il présenterait dans la soirée un projet de loi pour la tenue d'un tel scrutin.

C'est un pari raté pour Boris Johnson. Lundi 28 octobre, les députés britanniques ont rejeté la tenue d'élections anticipées le 12 décembre, voulues par le Premier ministre Boris Johnson pour sortir le Brexit de l'impasse.
La motion du gouvernement a échoué, avec 299 voix, à recueillir les deux tiers des voix requises, soit 434. Mais Boris Johnson a, dans la foulée, annoncé qu'il présenterait dans la soirée un projet de loi pour la tenue d'un tel scrutin, soumis au vote des députés mardi. Une telle loi requiert une majorité simple pour être adoptée.
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Une sortie « coûte que coûte »

Alors qu'il avait promis une sortie de l'UE « coûte que coûte » le 31 octobre et assuré préférer être « mort au fond d'un fossé » plutôt que demander un nouveau report, les 27 autres membres de l'UE ont donné lundi, à trois jours de la date fatidique, leur feu vert à une prolongation jusqu'au 31 janvier, à moins que l'accord de divorce conclu il y a une dizaine de jours à Bruxelles ne soit ratifié d'ici là.
Les travaillistes, première formation d'opposition, ont bloqué le texte en s'abstenant, expliquant vouloir d'abord écarter le risque d'une sortie sans accord et se disant réticents à un vote à l'approche de Noël, à une période où les étudiants rendent visite à leurs familles. « Nous ne permettrons pas à cette paralysie de continuer, a assuré le Premier ministre après ce vote. Cette assemblée ne peut plus retenir le pays en otage. Des millions de familles et d'entreprises ne peuvent pas faire de projet pour l'avenir. »

Nouvelle procédure

Son gouvernement va déposer dès ce soir, a-t-il ajouté, un projet de loi permettant par une autre procédure de convoquer des élections, par le biais d'une loi, avec une majorité simple, à la date du 12 décembre ou une autre. Un vote est attendu mardi. Un tel texte pourrait obtenir le soutien de certains partis d'opposition, comme les formations europhiles d'opposition, le parti national écossais (SNP) et les libéraux-démocrates.
Si « le Parlement résiste » et bloque la tenue d'élections, « je voudrais exhorter les États membres de l'Union européenne à indiquer clairement qu'un autre report (du Brexit) après le 31 janvier n'est pas possible », a écrit Boris Johnson au président du Conseil européen, Donald Tusk, prenant acte de la décision européenne. Il s'agit du troisième report du Brexit, plus de trois ans après le vote de 52 % des Britanniques, en juin 2016, pour quitter l'Union européenne. D'abord prévu le 29 mars, le Brexit a été repoussé au 12 avril puis au 31 octobre.
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Réticence de la France

Le report accordé lundi prévoit une date butoir au 31 janvier mais avec la possibilité pour le Royaume-Uni de quitter l'UE au 30 novembre ou au 31 décembre en cas de ratification de l'accord de sortie avant ces échéances, selon un document vu par l'Agence France-Presse.
La France, pays le plus réticent à un report long, a donné son accord à cette nouvelle prolongation en l'assortissant de conditions. La décision s'accompagne d'une déclaration politique dans laquelle l'UE exclut toute renégociation de l'accord conclu avec le Premier ministre britannique Boris Johnson et demande à Londres de proposer un candidat britannique comme commissaire européen. La formalisation du report devrait intervenir d'« ici mardi ou mercredi » à l'issue d'une consultation des dirigeants des 27 par une procédure écrite, selon une source européenne.
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Le négociateur en chef de l'UE pour le Brexit Michel Barnier s'est dit lundi « très content qu'une décision ait été prise », à l'issue de la réunion des ambassadeurs qualifiée de « courte et efficace ». Le président du Parlement européen David Sassoli a estimé que cette prolongation donnait « du temps au Royaume-Uni pour clarifier ce qu'il veut ». « Dans le même temps, le Parlement européen continuera à examiner minutieusement l'accord de retrait », qu'il doit lui aussi ratifier, a-t-il ajouté.
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En 1973 en fait ils n'ont jamais voulu être vraiment européens dans cette union européenne trop attachés à leur indépendance royaliste et leur ancien empire victorien ou ils étaient les maîtres du monde au 19 eme siècle n'ayant rien compris sur la mondialisation à venir en matière économique, mais ils ont accepté après multiples dérogations en leur faveur, car ils ne veulent rien partager car pas habitués à le faire et voulant toujours le beurre et l'argent du beurre !

Ce brexit n'a fait que ressortir leurs traditions désuètes qui leur reviennent dans la face, car ils sont incurables, déjà incapables de se mettre d'accord entre eux, car divisés dans leur pays britannique avec ces régions différentes Angleterre, pays de Galles, Écosse, Irlande du nord et république d'Irlande, et leurs peuples qui se supportent difficilement, mais encore parce qu'attaché à leur monarchie constitutionnelle et leur reine aussi gouverneur suprême de l'Église d'Angleterre, sans oublier leur Commonwealth encore très présent dans leurs anciennes colonies britanniques dans le monde entier  !

Ce qui explique, s'il le fallait qu'ils veuillent quitter l'Europe ou plutôt l'union européenne, car il faut qu'ils se plient à des multiples règlements qu'ils ne supportent plus, donc que l'U.E. s'en sépare, même si cela abouti à un no deal, ils l'ont voulu, alors qu'ils l'assument, cela n'a que trop duré, c'est même étonnant, qu'ils ne les pas fait avant !

De toute façon ce n'est pas encore en changeant de 1er ministre qui n'a pas assez de pouvoir sur leur parlement que cela changera, ça fait 3 ans qu'ils tergiversent mais leur démocratie ne fonctionne plus et le peuple n’a plus la parole !

En fait ils ne savent que dire non à tout !

Jdeclef 29/10/2019 12h07LP

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