Voile dans
l'espace public : « pas mon affaire », déclare Macron
Le chef de
l'État a également pointé du doigt le communautarisme en déclarant
« avoir un problème avec une revendication qui devient
politique ».
Depuis La Réunion, le chef de l'État a tranché. « Le port du
voile dans l'espace public n'est pas mon affaire. Dans les services publics, à
l'école, c'est mon affaire », a-t-il annoncé, intervenant dans une
polémique qui divise même au sein de son gouvernement. « Dans les services
publics, il y a un devoir de neutralité. Quand on éduque nos enfants, on
demande qu'il n'y ait pas de signe religieux ostentatoire. » « Après,
ce qui se passe dans l'espace public, ce n'est pas l'affaire de l'État ou du
président de la République », a-t-il assuré sur la chaîne Réunion la 1ère.Laïcité : quand la macronie se prend les pieds dans le voile
Le chef de l'État intervient dans les débats qui agitent depuis plusieurs semaines la classe politique sur le port du voile chez les mères accompagnantes de sorties scolaires, et par extension à la question du port du voile dans la société. Il répond à la présidente du RN Marine Le Pen qui demande l'interdiction du voile et des signes religieux ostentatoires dans « tout l'espace public », mais aussi à son ministre de l'Éducation Jean-Michel Blanquer, qui avait déclaré que le voile n'était « pas souhaitable dans notre société », car contraire aux valeurs de l'égalité hommes-femmes.
Macron vent debout contre le communautarisme
En revanche, Emmanuel
Macron s'en est pris de nouveau au « communautarisme ». « Le
voile est utilisé dans certaines circonstances, certains quartiers, par
certains, comme instrument de revendication et de séparatisme dans la
République, qu'on appelle communautarisme ». « Il y a aujourd'hui des
femmes et des hommes qui disent "de par ma religion, je n'adhère plus aux
valeurs de la République". Et ça, c'est un problème pour moi, j'ai un problème
avec une revendication qui devient politique. » « Je demande à nos
concitoyens de respecter toutes les lois de la République, mais je n'ai rien à
dire sur leur vie spirituelle », a-t-il conclu, ajoutant :
« C'est ça, la laïcité. » Mais « si on confond les sujets, on ne
peut régler le cœur du problème de la République française, qui est le
communautarisme », a-t-il répété.
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On disait de F.HOLLANDE
qu’on disait, pleutre et incapable de prendre des décisions fortes, il est
pareil, c’est une honte, mais il était à bonne école semble-t-il !
On est perdu, car à
terme cette religion hégémonique rampante déjà trop présente par de multiples
dérogations déjà accordées par notre état faible, de par ces dirigeants
bienpensants hypocrites donneurs de leçons, s’ingénie insidieusement dans notre
vie courante de plus en plus et va prendre encore plus d'ampleur !
Je plains de tout mon
cœur les français qui ne croient à rien car et il y en a, et ceux qui se
laissent prendre dans les filets de l'islamisme !
Je suis âgé en fin de
vie, je ne sais pas si je verrais la suite, mais je sais ce que je ferais en
2022 je n’irais pas voter, car là, le trop c'est trop, car le président parle de
communautarisme que l'on a laissé monter depuis plus de trente ans sous tous
les gouvernements de quelque bord qu'il soit dans notre pays et on sait pourquoi
!
Mais, il ne veut déjà
pas s'interposer pour simplement déjà lutter contre tous ces signes extérieurs
de cette religion, et il faudrait le croire pour éradiquer le communautarisme qui
perdure et augmente, mais tout est lié ?!
Mr MACRON est un « Ponce
Pilate » qui s'ignore et soûle les français par ses discours alambiqués,
hélas on croyait avoir trouvé le changement avec lui, mais on s'est trompé
encore, on n'en sortira pas, car il s'enferme dans son palais étatique du à sa
fonction et veut ignorer les français lambda qui eux vivent justement dans le
domaine public bien plus important, car c’est leurs vies au quotidien, et c'est
la France !
Jdeclef 25/10/2019 09h38