jeudi 24 octobre 2019

Le 1er ministre ne fait pas mieux que le président pour ses mauvais choix ?!


Pris dans la polémique maltaise, Sandro Gozi a démissionné de Matignon

Le conseiller d'Édouard Philippe était soupçonné d'avoir collaboré avec Malte tout en travaillant à Matignon. Il a dénoncé de « viles attaques ».


Cela suffira-t-il à mettre fin à la polémique ? L'ancien secrétaire d'État italien devenu conseiller d'Édouard Philippe, Sandro Gozi, a annoncé mercredi dans un courrier transmis à l'Agence France-Presse sa démission. Il avait été soupçonné d'avoir collaboré avec le gouvernement maltais tout en étant à Matignon.
Dénonçant de « viles attaques », l'Italien a décidé de démissionner pour « retrouver la pleine liberté de parole » afin de se défendre et « éviter toute instrumentalisation politique qui pourrait porter préjudice au chef du gouvernement ». Lundi, Le Monde et le quotidien maltais Times of Malta ont affirmé que Sandro Gozi travaillait également pour le Premier ministre maltais Joseph Muscat.
« Le contrat maltais mentionné dans la presse régit légalement une mission de conseil effectuée en tant que consultant externe auprès des autorités maltaises », s'est-il défendu dans le courrier. Cette collaboration « a cessé à (sa) demande après le résultat des élections européennes en France », poursuit-il, assurant avoir remis des preuves de ses affirmations.
 Le trouble passé d'extrême droite d'un conseiller italien d'Édouard Philippe

Sandro Gozi se défend

Après son embauche au cabinet du Premier ministre le 1er août, l'Italien avait réalisé ses « obligations déclaratives en tant que conseiller ministériel auprès de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique » (HATVP), assure-t-il dans sa lettre. Il ajoute qu'il a ensuite effectué « un complément déclaratif après avoir réalisé que la législation française exigeait la déclaration non seulement des activités publiques, mais également des activités professionnelles privées ». Promettant que « ses activités professionnelles n'ont jamais été dissimulées », Sandro Gozi assure « que la HATVP n'a pas encore rendu de résultat conclusif de l'examen de sa déclaration ».
Mardi, lors de la séance des questions au gouvernement à l'Assemblée nationale, le député LR Pierre-Henri Dumont avait sommé le Premier ministre de répondre à cette question : « Pour qui travaille réellement votre conseiller ? » « M. Gozi a été invité (lundi) par le directeur du cabinet du Premier ministre à produire des explications », avait répondu Édouard Philippe. « Le chef du gouvernement exige (de ceux qui travaillent au gouvernement) une parfaite probité et le respect de toutes les règles qui s'imposent à tous ceux qui ont l'honneur de servir la France », avait-il ajouté. Sandro Gozi avait confirmé lors de son embauche « que son emploi de cabinet à Matignon était exclusif de toute autre activité professionnelle, a fortiori pour un autre gouvernement », avait assuré mardi Matignon.
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Ou alors, il est trop influencé par son patron, au point de faire les mêmes erreurs ?!

Heureusement ce personnage a démissionné, ils auraient été capable de le défendre en plus, ce qu'ils savent faire si bien !

A croire que nos dirigeants ne savent plus quoi inventer pour se faire remarquer en accumulant leurs erreurs communes, c'est vraiment préoccupant !

Et montre que cette nouvelle classe politique et ses dirigeants ne font pas mieux que les précédents !

Mais alors pour qui voter, ils vont bien réussir à amener les français lambda à voter encore pour les extrêmes et donc il ne faut pas s'étonner la progression du RN, d'ailleurs sa leader reprend du poil de la bête !?

Mais surtout on n'en sort pas des configurations des élections à venir jusqu'en 2022 qui seront habituelles, et on ne risque pas de faire avancer le pays qui végète toujours n’en déplaise à nos dirigeants bienpensant donneur de leçons qui nous soûlent de discours alambiqués !

Jdeclef 24/10/2019 09h21

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