lundi 14 octobre 2019

La droite n'a pas réussi à se rénover aux niveaux des cadres de son parti car elle n'arrive pas à se passer de cette ancienne classe politique sclérosée !


Les Républicains : Christian Jacob largement élu à la tête du parti

Grand favori, le président du groupe LR à l'Assemblée nationale a été élu ce dimanche dès le premier tour (62,58 %), devant Julien Aubert.


Une victoire sans surprise. Christian Jacob a été élu dimanche président des Républicains, devenant à cinq mois des municipales le patron d'un parti en crise profonde après deux années de délitement. Le chef de file des députés LR, qui faisait figure de grand favori, l'a emporté dès le premier tour avec 62,58 % des voix contre 21,28 % au député souverainiste du Vaucluse Julien Aubert et 16,14 % au plus libéral Guillaume Larrivé, député de l'Yonne.
La participation a été plus forte que prévu puisque 62 401 adhérents à jour de leur cotisation ont voté, soit 47 % de participation. À titre de comparaison, en 2017, la participation avait atteint 42,46 % lorsque Laurent Wauquiez avait été élu avec près de 75 % des voix. LR comptait alors 235 000 adhérents, 100 000 de plus qu'aujourd'hui. Cette mobilisation devrait asseoir la légitimité de M. Jacob, même s'il est déjà acquis qu'il ne se présentera pas à la présidentielle de 2022.
Une victoire sans surprise. Christian Jacob a été élu dimanche président des Républicains, devenant à cinq mois des municipales le patron d'un parti en crise profonde après deux années de délitement. Le chef de file des députés LR, qui faisait figure de grand favori, l'a emporté dès le premier tour avec 62,58 % des voix contre 21,28 % au député souverainiste du Vaucluse Julien Aubert et 16,14 % au plus libéral Guillaume Larrivé, député de l'Yonne.
La participation a été plus forte que prévu puisque 62 401 adhérents à jour de leur cotisation ont voté, soit 47 % de participation. À titre de comparaison, en 2017, la participation avait atteint 42,46 % lorsque Laurent Wauquiez avait été élu avec près de 75 % des voix. LR comptait alors 235 000 adhérents, 100 000 de plus qu'aujourd'hui. Cette mobilisation devrait asseoir la légitimité de M. Jacob, même s'il est déjà acquis qu'il ne se présentera pas à la présidentielle de 2022.
« Les Républicains ne reprendront leur place de grand parti de droite populaire et ouvert que s'ils renouent avec la promesse du rassemblement », a assuré M. Jacob. Opposé au système des primaires, il a, depuis le siège du parti à Paris, appelé sa famille politique à mettre « de côté » les querelles d'ego. Félicitant ses concurrents, M. Jacob a assuré qu'ils auraient « évidemment toute leur place dans l'équipe dirigeante » à venir. « Je continuerai, au sein des Républicains et à Oser La France, à défendre nos valeurs pour une droite patriote, républicaine et sociale. L'aventure continue ! » a réagi M. Aubert sur Twitter, tandis que M. Larrivé promettait de continuer « à tracer une voie, en homme libre de défendre (ses) convictions »

« Et maintenant, au travail ! »

La victoire de M. Jacob a été saluée dans les rangs républicains qui n'ont pas caché l'ampleur de la tâche : « Victoire du rassemblement dans la clarté et la fidélité à nos valeurs », a estimé le député Éric Ciotti, tandis que Bruno Retailleau lançait : « Et maintenant, au travail ! » « La tâche est immense, nous serons à ses côtés pour engager le redressement de notre mouvement », a assuré le président du Sénat Gérard Larcher. M. Jacob, 59 ans, trois fois ministre, et qui revendique de son passé d'agriculteur un « bon sens paysan », devra en effet reconstruire un parti, héritier de l'UMP, mais qui a accumulé les revers : défaite de Nicolas Sarkozy à la présidentielle de 2012, éviction historique du deuxième tour à celle de 2017, jusqu'à la gifle de 8,5 % aux européennes de mai, qui a provoqué la démission de Laurent Wauquiez et précipité cette élection interne.
Christian Jacob, la saison des labours
Le nouveau président devra trouver une voie dans un espace politique réduit : d'un côté La République en marche, qui s'attaque à des thèmes régaliens marqueurs de la droite, et de l'autre, l'extrême droite où l'on prône le rapprochement. M. Jacob a promis un « projet d'alternance au macronisme » autour de « quelques valeurs fortes », telles que « restaurer l'autorité de l'État », « lutter contre une forme de délitement de la cohésion nationale et le poison du communautarisme et de l'immigration incontrôlée », et « combattre la paupérisation des classes moyennes et des retraités ».
Pour le parti, le premier rendez-vous sera les municipales de mars, « moment de vérité entre le lepénisme et le macronisme d'un côté, et nous de l'autre », a ajouté M. Jacob, en promettant que cela se ferait « dans la clarté et sans compromission, en étant fiers de nos valeurs ». Pour LR, il faut aussi, à l'approche des municipales, stopper l'hémorragie qui a vu partir Valérie Pécresse et Xavier Bertrand. « Christian Jacob est celui qui peut, par sa personnalité, par une certaine sagesse, mais aussi une certaine hauteur de vue, convaincre Valérie Pécresse, Xavier Bertrand, des gens qui ont énormément de valeur, de revenir travailler avec nous pour reconstruire le parti », a estimé, avant la clôture du scrutin, le maire de Saint-Étienne Gaël Perdriau. Il y a urgence. Dimanche, l'ancien Premier ministre Jean-Pierre Raffarin a affirmé qu'il allait « évidemment » quitter LR. Et vendredi, c'est le sénateur de l'Hérault Jean-Pierre Grand qui avait claqué la porte du parti.
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Ils prennent C.JACOB ce politicien médiocre aboyeur de foire comme on le voit souvent à l'assemblée, car il ne leur reste plus de candidats en magasin avec des idées nouvelles pour rénover cette droite !

Car il est vrai qu’elle ne peut pas faire du neuf avec des vieux !

Elle ressemble à l'autre ex grand parti le PS à gauche qui n'arrive pas à ressusciter après sa déconfiture de 2017 !

Cela confirme que le pays avec ses partis politique ringards, les français n'en veulent plus, ils l'avaient pourtant souligné en 2017 avec les législatives et confirmés aux élections européennes, mais ces politiciens bornés ne l'ont pas compris ou pas voulu le comprendre !

Car la France des partis politique ne convient plus aux français à juste titre, comme notre V eme république obsolète avec sa fausse démocratie ayant à sa tête un président qui se comporte comme un monarque de l’ancien régime avec trop de pouvoir !

La France va mal, mais E.MACRON pour autant ne réussit pas vraiment à unir les français, car depuis le début de son quinquennat, il a fait de multiples erreurs dont certaines impardonnables que certains lui rappellerons dans les urnes en 2022 !

On n’est pas sorti de ce marasme continuel dans notre pays et surtout on ne voit pas de solutions dans notre monde politique français de bien-pensant qui se regarde le nombril se croyant les meilleurs et en fait ne pensant qu’à eux !

Jdeclef 14/10/2019 09h07 LP

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