lundi 7 octobre 2019

De toute façon on est coincé au niveau de nos autorités jusqu'au plus haut de l'état en matière de terrorisme ou de religions liées indirectement à celui-ci !


Le Fol - Tuerie à la préfecture de police : cet islamisme qu'on refuse de voir

ÉDITO. La tuerie à la préfecture de police de Paris marque un tournant en matière de terrorisme islamiste. La complaisance et la lâcheté ont-elles gagné, comme l'écrit Riss ?

Ainsi, le terroriste qui a commis l'attentat à la préfecture de police, au sein même des services luttant contre le djihadisme, « n'avait jamais présenté de signe d'alerte ni de difficulté comportementale ». C'est le ministre de l'Intérieur, Christophe Castaner, qui l'a affirmé quelques heures après l'attaque d'un ton bonhomme. Le premier flic de France ignorait donc qu'un informaticien dans une structure ô combien sensible et symbolique, la direction du renseignement de la préfecture de police (DRPP), s'était réjoui devant ses collègues de l'attentat de Charlie Hebdo, en 2015. Le ministre ne savait pas non plus que cet homme, converti à l'islam depuis une dizaine d'années, ne serrait plus la main de ses collègues femmes et fréquentait une mosquée salafiste du Val-d'Oise dirigée de février à décembre 2017 par un imam fiché pour son « fondamentalisme religieux ». L'enquête dira comment le terroriste a bien pu passer entre les mailles du filet policier. Pourquoi n'a-t-il pas été détecté ? À quelles informations sensibles sa fonction lui a-t-elle donné accès ? L'enquête nous l'apprendra. Il n'empêche, cet attentat, qui touche l'État français, restera « comme un tournant majeur en matière de terrorisme islamiste », selon la formule de Gilles Kepel. C'est le symbole de l'ordre public dans notre pays qui a été mortellement blessé.
- Le boulet Castaner
Ce n'est pas tout. Lors de cette tragédie, la machine à déni s'est emballée. Une nouvelle fois, on nous a joué le coup du « déséquilibré ». Tout juste nous a-t-on épargné les « couteaux fous », comme on parlait de « camion fou » pour désigner les terroristes de Berlin et de Nice. Mais on a bien pris soin de ne pas utiliser les mots trop sensibles : attentat, terroriste, islamiste… Comme les parents évitent de prononcer des gros mots devant leurs enfants. De quoi donner raison à Riss. Dans son livre Une minute quarante-neuf secondes (Actes Sud/Charlie Hebdo), le directeur de la rédaction de Charlie Hebdo dresse un bilan implacable des quatre années qui se sont écoulées depuis l'attentat qui a touché le journal. Beaucoup de gens dans ce pays, journalistes, sociologues, magistrats, politiques…, refusent toujours de se pencher sur les causes du 7 janvier : la publication des caricatures de Mahomet.

« Esprit collabo »

Pour quelles raisons ? « 2015, écrit Riss, me fit comprendre ce qu'avait été la collaboration, car je pus observer à quel point le confort intellectuel copulant avec l'instinct de survie pousse les esprits les plus brillants vers la complaisance et la lâcheté. » Riss emploie une expression saisissante pour désigner le confort intellectuel qui aveugle certains face à l'islamisme : il appelle cela « l'esprit collabo ». À chaque attentat, ses représentants se déclenchent comme des répondeurs automatiques. Les mêmes messages préenregistrés sortent de leur bouche, cherchant des excuses à l'assassin et jetant la suspicion sur ses victimes. Les plus violents d'entre eux contre Charlie estiment que « critiquer l'islam reviendrait à critiquer les immigrés des classes laborieuses, dont ils pensent qu'ils pratiquent cette religion ».
Charlie hebdo : quatre ans et demi après l'attentat, Riss se confie
Qui écoutera Riss ? Qui veut seulement entendre la force de ses propos ? Dans les émissions de radio et de télé où il est invité, on s'étonne de voir à quel point les animateurs prennent des gants sémantiques. Ils s'adressent à lui comme à un rescapé d'une avalanche dans les Alpes et non à la cible d'un « crime politique ». Ils évoquent la violence qu'il a subie sans en désigner les auteurs et la matrice religieuse. Pour eux, seule la souffrance de Charlie a le droit de s'exprimer. Pas ses idées.
Sur France Inter, Riss n'a pas eu les honneurs de la matinale d'information animée par Léa Salamé et Nicolas Demorand, mais deBoomerang, le programme culturel d'Augustin Trapenard. La page Internet de l'émission présente ainsi son ouvrage : « Dans Une minute quarante-neuf secondes, il revient sur un événement qui a changé le visage des médias français. » On a bien lu : l'attentat du 7 janvier 2015 a juste « changé le visage des médias français »…
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Car on ne veut pas dire la vérité et on passe son temps à édulcorer les faits quand on le peut exemple l'emploi systématique du mot déséquilibré pour désigner les auteurs de ce faits criminels alors que ce sont des terroristes islamiques avérés !

Comme si c'était une honte de dire la vérité quand des faits similaires se produisent?!

Nos dirigeants de tous bords quel que soit nos gouvernements se comporte de la même façon minimisant les faits quand ils le pouvaient et pleurnichant après pour plaindre les pauvres victimes innocentes avec des larmes de crocodile
Car c'est le terrorisme islamique qui se recommande de cette religion et la réalité n'en déplaise à tous ces bienpensants de tous poils donneurs de leçons !

Il faut arrêter cette hypocrisie du politiquement correct, car cette religion à qui on a accordé des dérogations diverses s'infiltre de plus en plus dans la vie de nos concitoyens français par des dogmes moyenâgeux ne respectant pas le domaine public dans divers domaines, tenues, nourriture etc ne respecte pas la liberté des femmes les prenant comme des êtres inférieurs dans notre pays qui prône l'égalité entre les femmes et les hommes et les valeurs et lois de la république française !

Des extrémistes de cette religion qui lave le cerveau des plus faibles veulent l'avilissement et l’abêtissement des êtres humains même ceux qui ne croient à rien au profit de cette religion obscurantiste très anti judéo chrétien la culture ancestrale de notre pays!

Dans notre pays laïque tout le monde peut croire à ce qu'il veut même la majorité des musulmans modérés mais leurs communautés sont infiltrées par ses extrémistes et ils ne font rien pour s'en défaire ou ils en ont peur ?!

Doit-on revenir aux guerres de religions moyenâgeuses il faut que ce soit enfin l'état qui prenne en charge en prenant ses responsabilités et règle ce problème avec rigueur pour la paix civile avant qu'il ne soit trop tard !

Jdeclef 07/10/2019 16h32

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