mardi 8 octobre 2019

Sur le principe on ne peut être que d'accord bien sûr, mais il faut accepter de dire la vérité telle qu’elle est !


Tuerie à la préfecture de police : Macron appelle à se mobiliser face à « l'hydre islamiste »

Dans son discours à la préfecture de police, Emmanuel Macron a promis qu'un « combat sans relâche » serait mené « face au terrorisme islamiste ».


HEMANUEL MACRON a rendu hommage ce mardi 8 octobre aux quatre fonctionnaires de la préfecture de police de Paris tués par leur collègue radicalisé, une attaque sans précédent qui continue de susciter questions et critiques envers le ministre de l'Intérieur. Le chef de l'État, accompagné du Premier ministre Édouard Philippe et des ministres de la Justice Nicole Belloubet et des Armées Florence Parly, a prononcé un discours aux alentours de 11 heures dans la cour de la préfecture, où a été abattu Mickaël Harpon, employé en tant qu'informaticien à la préfecture. Emmanuel Macron a alors appelé « la nation toute entière » à « se mobiliser » face à « l'hydre islamiste » et a promis qu'un « combat sans relâche » serait mené « face au terrorisme islamiste ».
Auparavant, le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner a remis la Légion d'honneur, à titre posthume, aux quatre victimes : Damien Ernest, major responsable d'une unité de locale de police (28 ans de service), Anthony Lancelot, gardien de la paix (11 ans), Brice Le Mescam, adjoint administratif principal (6 ans), et Aurélia Trifiro, gardienne de la paix (17 ans). Le policier stagiaire qui a tué l'assaillant de 45 ans sera également décoré, mais à une date ultérieure. Juste avant la cérémonie, le silence était pesant dans la cour de la préfecture, où des centaines de personnes étaient rassemblées sous la pluie. Les quatre cercueils recouverts du drapeau français y ont été installés devant le monument aux morts. Les personnels étaient invités à se recueillir devant à la fin de la cérémonie. Emmanuel Macron s'entretiendra ensuite avec les familles.
Cet hommage solennel n'offre qu'un court répit à Christophe Castaner, qui a été auditionné à huis clos avant la cérémonie par la délégation parlementaire au renseignement sur d'éventuels « dysfonctionnements » ayant permis l'attaque. Le ministre de l'Intérieur et son secrétaire d'État Laurent Nuñez y ont répondu avec « un souci de précision », a déclaré à la presse le président de la délégation parlementaire, Christian Cambon. Christophe Castaner devait enchaîner dans l'après-midi avec la commission des Lois de l'Assemblée nationale, cette fois devant la presse. Il sera également interrogé jeudi par la commission des Lois du Sénat. Le président de l'Assemblée nationale Richard Ferrand a annoncé mardi qu'il allait accepter la demande des Républicains de création d'une commission d'enquête sur l'attaque, et que celle-ci se mettrait au travail « dès la semaine prochaine ».
Depuis l'attaque, de nombreuses voix dénoncent l'incurie des autorités et cherchent à comprendre comment Mickaël Harpon a pu passer sous les radars alors qu'il avait donné des signes de radicalisation au sein même de la direction du renseignement de la PP (DRPP) où il était employé. L'opposition, à droite et l'extrême droite, crie au « scandale d'État » et exige le départ du locataire de la place Beauvau. Une démission qu'a exclue Christophe Castaner tout en reconnaissant un « dysfonctionnement d'État ».

Absence de signalement

Selon un rapport interne de la DRPP, Mickaël Harpon, qui était habilité secret défense, aurait déclaré à deux collègues « c'est bien fait » au sujet de l'attentat en janvier 2015 contre Charlie Hebdo, mais ces derniers n'ont pas transmis de signalement écrit à leur hiérarchie. « Il n'y a pas eu d'alerte au bon niveau, au bon moment », a accusé le ministre, ajoutant que « les signaux d'alerte auraient dû être suffisants pour déclencher une enquête en profondeur », alors que l'assaillant était converti à l'islam depuis une dizaine d'années et fréquentait des membres de la mouvance « islamiste salafiste ».
 Le Fol – Tuerie à la préfecture de police : cet islamisme qu'on refuse de voir
Deux enquêtes administratives confiées à l'Inspection générale du renseignement ont été ouvertes par le Premier ministre Édouard Philippe pour comprendre ces failles dans le suivi de Mickaël Harpon. Sans attendre les conclusions, espérées pour la fin octobre, Christophe Castaner a tenté d'éteindre la polémique en demandant que toute alerte liée à la radicalisation fasse désormais « l'objet d'un signalement automatique », sans plus de précisions.
Sur le front de l'enquête menée par les services antiterroristes, l'épouse de Mickaël Harpon a été relâchée dimanche soir à l'issue de trois jours de garde à vue, sans être poursuivie à ce stade. Les enquêteurs cherchaient d'éventuels éléments incriminants cette mère de deux enfants qui s'était inquiétée « du comportement inhabituel et agité » de son époux la veille de l'attaque et avait échangé avec lui 33 SMS le matin des faits.
Outre la recherche d'éventuels complices dans les milieux radicaux, les enquêteurs tentent d'éclaircir la nature des informations auxquelles l'assaillant a pu avoir accès à la préfecture, où il travaillait depuis 2003 comme informaticien. Le secrétaire d'État à l'Intérieur Laurent Nuñez a écarté « à ce stade » l'hypothèse selon laquelle il aurait fait partie d'une cellule djihadiste.
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Mais de la parole aux actes, il y a encore un fossé à combler !

Car depuis 2001 et cet attentat monstrueux du Trade center à NEW-YORK et tous ceux qui ont suivis en FRANCE en 2015 jusqu'à ce jour, et dans le monde, on a palabré chez nos dirigeants de tous bords, comme d'habitude sans vouloir désigner ouvertement simplement que DAESH ou tous les autres mouvements djihadistes divers se recommande de cette religion pour justifier leurs crimes ou exactions terroristes diverses !

Et il faut que nos dirigeants ne pratiquent plus le politiquement correct hypocrite, alors que pourtant ce fléau ne vient donc pas que de l’extérieur, mais est bien parmi nous, comme le président l'a admis (enfin) donc il faut crever l’abcès qui mûri toujours sans états d’âmes de bien-pensant si possible, pour améliorer simplement la sécurité des français, car cela s'ajoute à la délinquance ordinaire qui elle augmente aussi !

Les autorités religieuses des Musulmans devraient faire le ménage dans leur religion, car toutes les autres religions qui cohabitent dans notre pays depuis très longtemps n’ont pas ces problèmes alors qu’ils se posent la question ...?!

S’ils veulent s’intégrer au mieux dans notre société française, ils seront bien mieux acceptés sans problèmes par nos concitoyens sans leur imposer des dogmes contraires à la culture et aux valeurs de notre pays !

Donc il faut parler moins, mais surtout en disant la vérité et en appelant « un chat un chat » et agir plus et plus vite, c'est tout, en allant au fond du problème dans notre pays et en faisant respecter les lois de notre république laïque !

Jdeclef 08/10/2019 13h45 CLP

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