Radicalisation
dans la police : 27 agents signalés depuis l’attentat à la préfecture de
police
SIGNALEMENT Selon une
information de BFMTV, 27 fonctionnaires de police ont été signalés pour
radicalisation depuis l'attentat au sein de la préfecture de police à Paris, le
3 octobre dernier
De plus en plus de signalements pour « radicalisation » au sein de
la police sont recensés. Selon BFMTV, 27 fonctionnaires de la préfecture de police de
Paris ont été signalés depuis l'attaque
perpetrée au sein des locaux, le 3 octobre dernier.Parmi ces 27 policiers signalés, trois font l’objet de demandes de suspension par le Préfet de police, et deux ont été désarmés. L’un d’entre eux était affecté à la Direction régionale de la police judiciaire et l’autre travaillait comme gardien de la paix à Villeneuve-la-Garenne (Hauts-de-Seine). Les profils des fonctionnaires de police signalés sont plutôt similaires : il s’agit majoritairement d’hommes au grade de Gardien de la paix ou d’officiers.
Une note interne envoyée le 7 octobre
Le ministre de l’Intérieur Christophe
Castaner avait déclaré le 10 octobre devant la Commission des Lois du
Sénat qu’il y avait « une quarantaine de cas de radicalisation »,
avant l’attaque, un maximum stable, selon lui. A la suite de l’attentat à la
préfecture de police de Paris, Emmanuel Macron
avait appelé de ses vœux à « une société de vigilance » demandant aux
Français de repérer autour d’eux les personnes radicalisées et « les
relâchements, les déviations, ces petits gestes qui signalent un éloignement
avec les lois et les valeurs de la République (…) des petits riens qui deviennent
de grandes tragédies ». Le préfet de police a envoyé une note de service le 7 octobre, indiquant qu'en « cas de détection de signes d’une possible radicalisation d’un agent, il appartient de la signaler immédiatement et directement à sa hiérarchie ». Dans la gendarmerie, ce sont une vingtaine de personnes qui ont été signalées pour des signes de radicalisation depuis 2013.
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Comme par hasard, il
fallait attendre un attentat pour s'occuper de ce problème de radicalisation
dans la police, ce laxisme, c'est typiquement français dans nos administrations
ou même dans la gouvernance de bienpensant de nos dirigeants
Il ne faut plus
s’étonner si notre pays va mal, si l'on croit que « tout le monde est
beau et gentil » en France et dans le monde, tendons l'autre joue pour
ce faire battre, ce sera plus simple et c'est plus politiquement correct et moral
?!
Désespérant à
constater...
Jdeclef 21/10/2019 13h15