mardi 29 octobre 2019

Notre justice est différente que l'on soit gueux ou nanti ce n'est pas nouveau !


Patrick Balkany : la première de ses deux demandes de mise en liberté acceptée

VIDÉO. La demande de remise en liberté sur la condamnation pour fraude fiscale a été accordée ce lundi. Mais Patrick Balkany reste détenu pour blanchiment.

C'est une première étape pour ce qu'il espère être le chemin du retour à la liberté. Incarcéré depuis six semaines après deux condamnations, le maire LR de Levallois-Perret Patrick Balkany a vu lundi après-midi sa première demande de mise en liberté acceptée, étape déterminante pour espérer sortir de prison. La cour d'appel de Paris a fait droit à la première des deux demandes de mise en liberté du maire, qui reste cependant détenu dans l'attente de l'examen d'un second recours après ses deux condamnations.
Ni le baron des Hauts-de-Seine, qui a refusé d'être extrait de sa cellule de la maison d'arrêt de la Santé, ni ses avocats n'étaient présents au délibéré. Pour que l'élu de 71 ans, condamné pour fraude fiscale puis pour blanchiment aggravé, sorte de prison, les juges doivent accepter une deuxième demande de libération, dont la date d'audience n'est pas encore fixée.



Patrick Balkany condamné à 5 ans de prison ferme pour blanchiment
Incarcéré depuis six semaines après avoir été condamné à quatre ans de prison pour fraude fiscale, l'élu de 71 ans demandait sa libération et « un peu d'humanité » aux juges, en raison de son « âge » et de son « état de santé ». Pour qu'il puisse sortir de prison, les juges doivent accepter une deuxième demande de mise en liberté, formée par l'ancien député après sa seconde condamnation, à cinq d'emprisonnement cette fois, pour blanchiment aggravé. La date d'audience pour cette autre requête n'a pas encore été fixée. Lundi, la cour d'appel a considéré comme « fondée » la demande de libération de Patrick Balkany, une décision qui devrait donner le ton de la deuxième, les deux affaires étant très liées.


 Et les policiers emmenèrent Patrick Balkany à la Santé…
Les juges ont ordonné le placement sous contrôle judiciaire de l'élu, avec obligation de ne pas sortir du territoire, de fixer sa résidence à Giverny (Eure), de ne pas se rendre à Paris et en région parisienne, de remettre son passeport, « sous réserve » du paiement d'un cautionnement de 500 000 euros et « sauf s'il est détenu pour une autre cause », ce qui est le cas de Patrick Balkany. L'avocat général Serge Roques, qui avait requis l'incarcération de Patrick Balkany lors du procès devant le tribunal correctionnel, s'était dit « fermement opposé » à la mise en liberté du maire, « sous réserve d'une expertise médicale ». Le représentant de l'accusation avait évoqué le 22 octobre un « risque de fuite » et la « propension certaine » de Patrick Balkany à « fuir ses responsabilités », estimant qu'il est « important de garantir sa représentation au procès en appel », prévu du 11 au 18 décembre pour la fraude fiscale. Des questions « légitimes » se poseront ensuite, celle de la confusion des peines ou de la « libération conditionnelle d'un homme de plus de 70 ans », « mais ce n'est pas aujourd'hui le débat », avait-il insisté.
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Mais elle s'applique souvent à minima pour nos chers politiciens élus de tous bords et çà c'est encore plus inadmissible, car peut être en fait parce que c'est nous pauvres gogos qui les avons élus en leur faisant trop confiance !

Et surtout que leurs fonctions leur apportent avantages et protections juridiques diverses !

Mais dans le cas de ce couple BALKANY et sa famille, car le fils ne vaut pas mieux, car peut-être à bonne école de ses parents sans oublier leurs arrogances au-dessus de la moyenne envers cette justice qui a beaucoup trainé pour enfin les juger et les condamner correctement et comme disait P.BALKANY qui n'avait pas peur de la prison et qui fustigeait en passant son avocat de renom !

La seule erreur de notre code de justice pénale, c'est que suite à leur appel, leur peine d'inéligibilité de 10 ans soit suspendue permettant à Mme BALKANY de prendre la place de son mari à la mairie de LEVALLOIS est inconcevable, car cela aurait permis enfin de ne plus les entendre, seule sanction efficace pour de tels personnages !

Pour le reste et les sommes qu'ils doivent l'état peut se servir sur leurs biens et la prison une bonne leçon qui nivellera peut-être leur arrogance impardonnable !

Jdeclef 29/10/2019 09h41LP

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