mardi 30 juin 2020

Pitoyable Ségolène ROYAL....


Présidentielle 2022 : Ségolène Royal se dit "prête pour cette bataille"

VU DANS LA PRESSE - Ségolène Royal a appelé à un rassemblement des écologistes et des socialistes en vue des élections présidentielles de 2022. "Je serais prête pour cette bataille", a-t-elle déclaré.

L'ex-ministre de l'Environnement Ségolène Royal a appelé à un rassemblement des écologistes et des socialistes en vue des élections présidentielles de 2022. "J'ai dit que le moment venu, si l'on était prêts à se rassembler, je serais prête pour cette bataille", a-t-elle déclaré. 
Au lendemain de la percée historique des partis écologistes au second tour des municipales, Ségolène Royal a fait savoir qu'elle pourrait se présenter aux prochaines élections présidentielles. Objectif : rassembler les forces socialistes et écologistes. "Si l'on veut qu'il y ait une alternative, un choix au second tour de l'élection présidentielle, il faut une union de la gauche et des écologistes", a-t-elle indiqué.
Elle a par ailleurs alerté d'un double enjeu, "car à la prise en compte de l'urgence écologique s'ajoute le risque d'une victoire de la candidate du Rassemblement national, Marine Le Pen", explique-t-on sur BFM TV. 
"Je ne veux pas être devant mon poste de télévision le soir où Marine Le Pen sera élue, première femme présidente en plus, et me dire 'je n'ai pas bougé'", explique la socialiste-écologiste, qui n'a pas manqué de tacler la gestion environnementale du président et du Premier ministre. D'après elle, ces derniers "pensent que c'est marginal". Et de renchérir : "ils n'ont pas compris l'enjeu économique. Ils n'ont pas cette sensibilité là."
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La pire des annonces de cette médiocre politicienne qui ne comprend pas que l'on ne veut plus d'elle, personne n'a le courage dans ses relations pour lui dire que ça suffit, pour son bien et le nôtre ou lui dire de faire une thérapie pour ce guérir de son obsession, car la politique est une drogue qui rend malade ceux qui en font à outrance, comme une addiction !

Le défaut de certains qui se croient indispensables ?!

Quelle prenne sa retraite elle a l’âge et s'occupe de ses enfants ou petits enfants !

jdeclef 30/06/2020 17h35

Si le PNF est vraiment indépendant comme devrait l'être notre justice par rapport au pouvoir en place, il serait utile ?!


Nicole Belloubet prend la défense du Parquet national financier

Du point de vue de la garde des Sceaux, le PNF, au cœur de plusieurs controverses durant ces derniers jours, a une « véritable utilité ».


Nicole Belloubet n'est pas en faveur d'une dissolution du Parquet national financier (PNF). Au micro de France Inter, mardi 30 juin, la ministre de la Justice a défendu « l'utilité » de l'institution, au cœur de plusieurs controverses ces derniers jours qui ont amené la droite à remettre en cause son existence même. « Le PNF, c'est surtout les jugements sur des affaires de délinquance économique et financière et de fraude fiscale », a-t-elle souligné, citant notamment l'amende record (2,1 milliards d'euros) infligée en janvier à Airbus après une « négociation » avec la justice américaine. « Peut-être faut-il se réinterroger sur un périmètre » de ce parquet spécialisé créé en 2014 dans le sillage du scandale Cahuzac, a toutefois ajouté la ministre.
Il y a trois semaines, les propos de l'ancienne cheffe du PNF Éliane Houlette sur des « pressions » procédurales de sa hiérarchie dans la conduite de l'affaire Fillon ont ravivé les accusations d'instrumentalisation de la justice et poussé Emmanuel Macron à saisir pour avis le Conseil supérieur de la magistrature. « Les propos d'Éliane Houlette ont jeté un trouble », a reconnu Nicole Belloubet.

Gernelle – Faut-il dissoudre le Parquet national financier ?
Lundi, le tribunal correctionnel de Paris a rejeté une demande de réouverture des débats formulée par la défense de l'ancien Premier ministre et a condamné François Fillon à de la prison ferme et à dix ans d'inéligibilité pour les emplois fictifs de son épouse. « Le tribunal a considéré que les débats avaient pu avoir eu lieu normalement et que ces propos-là (de Mme Houlette) n'influençaient pas (…) le délibéré », a commenté la garde des Sceaux, ajoutant qu'elle n'avait « pas de jugement à porter sur la manière dont le tribunal a apprécié cela ».

« Si je constate qu'il y a des dysfonctionnements, je saisis l'Inspection générale de la justice »

Le PNF est également sous le feu des critiques pour avoir demandé à éplucher les factures téléphoniques d'une dizaine de ténors du barreau afin de trouver la « taupe » éventuelle qui aurait pu informer Nicolas Sarkozy et son avocat Thierry Herzog qu'ils étaient sur écoutes dans une autre affaire. La révélation de l'ampleur de ces écoutes a suscité un vif émoi chez les avocats, « raison pour laquelle » la ministre de la Justice a demandé un rapport à la procureure générale de Paris sur cette enquête du PNF. « Je devrais avoir ce rapport très rapidement, sans doute, je l'espère en tout cas, aujourd'hui, car c'est urgent », a indiqué Nicole Belloubet. « Si je constate qu'il y a des dysfonctionnements, je saisis l'Inspection générale de la justice », a-t-elle ajouté.
Affaire Fillon : l'ex-procureur national financier assure avoir subi des « pressions »
Les avocats de Nicolas Sarkozy et de Thierry Herzog ont annoncé avoir remis lundi après-midi à la ministre « une liste de questions précises sur les graves dysfonctionnements ayant émaillé cette enquête ». « Il va de soi qu'à défaut de répondre à ces questions », listées dans un document de six pages non dévoilé, « le rapport attendu serait dénué de sens et de portée », mettent en garde Mes Paul-Albert Iweins, Hervé Témime et Jacqueline Laffont dans un communiqué commun. Dans cette affaire, pour laquelle le PNF assure avoir respecté la loi, le bâtonnier de Paris, Me Olivier Cousi, a fustigé une enquête « hors norme et inquiétante » et a annoncé une prochaine action en justice.
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Mais s'il gêne tant nos élus politiciens de tous bords de moins en moins nets dans notre V eme république pour dénoncer certaines affaires douteuses et surtout s'il déclenche une levée une de boucliers de ces politiciens élus de tous bords, rien que pour ça, il faut le garder, car s'il ne servait à rien, cela ne les générait pas !?

Dans l'Antiquité, au temps des Romains : L'Académie Française nous dit qu'en ces temps-là, une levée de boucliers était une démonstration par laquelle les soldats romains manifestaient leur opposition aux volontés de leur général.

Car il est vrai depuis trente ans au moins que l'on enchaine des affaires de toutes sortes douteuses pour ne pas dire autre chose surtout depuis les derniers quinquennats qui méritent éclaircissements et sanctions s'il y a lieu en cas de fautes ou malversations prévarications diverses qui se résument souvent à des avantages indus ou financiers !

On se moque assez des français lambda qui eux ne sont pas assez protégés autant que nos élus par des arguties juridiques et immunités diverses liées à leurs fonctions sans compter leurs kyrielles d'avocats qui s'engraissent avec ce type d'affaires qui traînent en longueur en justice quelque fois étouffées ou oubliées à dessein !

Surtout quand elles remontent jusqu'au sommet de l'état!

On a besoin de reformer notre justice en profondeur dans notre V eme république obsolète plus au fait d'un monde qui a changé, les français devraient insister pour obtenir cela !

Car nos concitoyens sont trop à être des moutons près à ce faire tondre, ce qui ne change rien, mais trop divisés et individualistes !

Jdeclef 30/06/2020 15h14

Le titre est amusant roi du pétrole candidat naturel au sein d'un parti aux nombreux égos surtout de gogos utopiques et cette énergie hautement polluante qui met les gens dans la rue quand son prix augmente !

Yannick Jadot, roi du pétrole

PORTRAIT. Après la vague verte des municipales, l'écologiste rêve de 2022. Encore doit-il s'imposer comme le candidat naturel au sein d'un parti aux nombreux egos.


Le TGV fend l'air des plaines des Hauts-de-France. Direction Lille, à toute berzingue, comme on dit ici. 120, 130, 160 et bientôt 200. Enfoncé dans son siège en première classe, Yannick Jadot contemple les paysages qui défilent. « Disons-le franchement, à 110 sur l'autoroute, on va s'emmerder, lâche-t-il dans un sourire en évoquant l'une des propositions de la Convention citoyenne pour le climat. Qui n'aime pas aller vite, très vite ? Moi, j'adore ! » Une vieille passion. Jadot l'ado s'exalte déjà devant le Stéphanois Dominique Rocheteau, un autre « Vert », gavé de succès, lui, qui affole les défenses adverses ballon au pied.
En 2005, l'ex-activiste de Greenpeace fonce pleins gaz en Zodiac dans la base de sous-marins nucléaires de l'île Longue, dans le Finistère. Des faits d'armes qui lui valent une condamnation par un tribunal militaire pour « atteinte aux intérêts supérieurs de la nation ». « Vous en connaissez beaucoup des présidentiables déjà condamnés par un tribunal militaire ? » feint-il d'interroger avant qu'on ne lui offre la réponse sur un plateau d'argent : le général de Gaulle en 1940, par Vichy. D'une lampée, il termine son fond de café et exulte, plein d'ironie : « Ah, voilà ! Macron, Le Pen… Tout le monde se dit gaulliste, mais le seul qui a un point commun avec lui, c'est moi. »

« T'es devenu une cible maintenant »

Yannick Jadot veut croire que les municipales sont une rampe pour 2022. © Blondet Eliot / ABACA
À l'entendre fanfaronner sur ses similitudes avec le Général, dont il dit avoir relu les Mémoires de guerre ces derniers mois, on repense à cette blague de Nicolas Hulot. Devant quelques amis qu'il a réunis à dîner un soir de 2019, de ces agapes où l'on cancane en toute liberté, l'ancienne vedette du petit écran torpille : « Vous savez si les travaux au siège d'EELV avancent ? Ils élargissent les portes parce que la tête de Yannick ne passe plus. » La joyeuse bande en hurle de rire tout en saluant le bon score (13,5 %) obtenu aux élections européennes par le candidat d'Europe Écologie-Les Verts. Un autre invité d'embrayer, larmes aux yeux : « Monsieur Melon veut en plus conquérir et exercer le pouvoir, pardonnez du peu. » De plus belle, les convives se tordent de rire. « On s'est bien marrés ce soir-là, se souvient aujourd'hui l'un des participants. Tout le monde en a pris pour son grade, Yannick le premier. On s'est moqués de lui, mais personne n'est dupe : il joue sa partition et cela marche plutôt bien. »
L'autre vague qui contrarie Emmanuel Macron
Tous ces médisants, ceux qui potinent sur « le melon de Jadot », l'intéressé s'en moque. Fut un temps où il s'en serait ému et même agacé, mais c'est son vieil ami Jean-Louis Borloo qui lui a conseillé de « laisser faire ». « T'es devenu une cible maintenant. T'encaisses, tu décoches, t'encaisses, tu décoches, et ainsi de suite », lui a sobrement préconisé l'ancien ministre de l'Écologie, qui s'est lié « d'une amitié profonde » pour Yannick Jadot depuis 2007 et le Grenelle de l'environnement. « À l'époque, il était le porte-voix des ONG à la table des négociations, se souvient Borloo. J'ai cru voir un de ces radicaux de Greenpeace, mais je faisais erreur : c'est un travailleur acharné, quelqu'un avec qui j'ai eu plus de convergences que de divergences, quelqu'un qui a cette culture du compromis et de la coalition. Il y a beaucoup de modernité chez Yannick et j'ai beaucoup d'estime pour lui. »
Et, quand il s'inquiète des sondages qui le font stagner, son ami Jean-Louis le rassure : « N'oublie pas ce que disait Jacques Chirac : mépriser les hauts et repriser les bas. » Les amis, justement, Yannick Jadot en a peu. « C'est un solitaire qui ne veut pas l'être. Il souffre de ne pas être d'un clan chez les écologistes, de ne pas avoir de fidèles », concède Matthieu Orphelin, député ex-LREM. L'ancien eurodéputé Jean-Paul Besset, premier mentor politique de Jadot, avec qu'il a fondé EELV en 2008, dit de lui que son orgueil, son ego et son ambition ont usé leur amitié.
2022, ce ne sera pas tout schuss.
Si Jean-Louis Borloo aime à l'appeler « le Viking », Yannick Jadot cherche encore son drakkar. « EELV ? C'est une chaloupe où les marins rament dans tous les sens, philosophe une vieille vedette de l'écologie politique. Pour que Yannick parvienne à aligner les planètes pour la présidentielle de 2022, il y a deux impératifs : s'imposer comme candidat naturel au sein du parti et, ensuite, s'imposer comme le leader d'une coalition plus large. La première mission paraît impossible. » Et pour cause, chez EELV, on n'aime guère les rois autoproclamés. Quant à la verticalité et l'incarnation providentielle, très peu pour eux. « Ce n'est pas Yannick qui décide tout seul pour 2022, c'est le parti et les militants », abonde le maire de Grenoble, Éric Piolle, qui, à fleurets mouchetés, revient sur l'élection européenne de son « copain » – il le jure ! – Jadot : « C'était un très beau score, mais c'est aussi une campagne qui nous laisse à dix points derrière Macron et Le Pen. » Preuve s'il en fallait pour Piolle : « On vient de gagner Grenoble, Lyon, Bordeaux, Strasbourg, Poitiers, Paris et Marseille. C'est une victoire historique et personne n'a pourtant dit que tout ça, c'est grâce à Yannick. Je crois que l'heure de se trouver un champion n'est pas encore venue. »
Abstention, poussée verte, LR… Les résultats des municipales en 10 questions

Surprise du chef

Ces douceurs, Yannick Jadot les encaisse. Il en a vu d'autres. Comme ce matin de 2011. Alors qu'il vient de quitter la campagne d'Eva Joly d'un tweet peu inspiré, Dominique Voynet lui décoche quelques amabilités au siège des Verts : « Salut, gros connard. Pardon, sale enc… de ta race. » L'histoire d'EELV parle d'elle-même : les civilités n'y sont pas légion, surtout quand le commentaire est signé Éric Piolle, que l'entourage de Jadot soupçonne d'être malignement coaché par une certaine Cécile Duflot. « Comme Voynet, Cécile le déteste », lâche un proche de l'eurodéputé. Alors, Yannick Jadot lui-même l'admet : « 2022, ce ne sera pas tout schuss, il y a des ego à convaincre. Mais l'enjeu n'est pas de battre le record de Noël Mamère à l'élection présidentielle. » Un constat précisément partagé par Mamère : « Nous sommes dans la cour des grands, n'ayons pas le pouvoir honteux. Soyons les moteurs du rassemblement et des compromis, quoi qu'il nous en coûte ! »


Il n'empêche, la petite musique d'une primaire continue de résonner dans les couloirs d'EELV. Certains la veulent « fermée » et imaginent un duel entre Éric Piolle et Yannick Jadot. D'autres l'espèrent « ouverte » avec une grille de départ foisonnante : l'édile de Grenoble, l'ancien de Greenpeace, Matthieu Orphelin, Delphine Batho, mais aussi – surprise du chef – Anne Hidalgo. La maire de Paris, que beaucoup d'écologistes et de socialistes poussent pour 2022. Qu'importe si l'intéressée affirme qu'elle ne sera pas candidate, son entourage ne cesse d'alimenter le moulin des rumeurs. « Elle a toutes les qualités pour mener la bataille et il peut se passer beaucoup de choses en deux ans. Nécessité fait souvent loi », fait savoir un de ses amis. C'est l'option la plus crainte par Yannick Jadot. « Si elle se décidait à y aller, c'est mort pour nous. Elle est le plus petit dénominateur commun entre toutes les composantes de la gauche et des écologistes », observe un cadre écolo, proche de Jadot. Ce dernier qui, de temps à autre, regarde derrière lui de peur d'un retour de Nicolas Hulot. « Il croit que Nicolas peut être un recours, raconte un proche de l'ancien ministre de Macron. Il le bombarde de SMS qui restent sans réponse. » De primaires, Jadot ne veut pas. À l'un de ses fidèles, il le martelait récemment : « Je ne participerai à aucune primaire ! 7 000 adhérents ne peuvent décider d'une telle responsabilité. »
Il faut apprendre à aimer les électeurs français.
Car lui regarde plus loin. Jean-Louis Borloo, Dany Cohn-Bendit, Nicolas Hulot, Matthieu Orphelin et bien d'autres lui ont répété ce dont il s'est convaincu depuis bien longtemps : « EELV ne peut pas gagner seul une élection nationale. » Il s'est donc mis en quête de crédibilité et a multiplié ces derniers temps les rencontres avec le patronat, des cadres de la police nationale ou encore des économistes. « Il faut apprendre à aimer les électeurs français, implore-t-il. S'il y a une majorité culturelle pour l'écologie, il n'y a pas encore de majorité politique parce que notre façon de l'aborder a pu être par le passé culpabilisatrice. Le monde économique est prêt, les agriculteurs sont prêts et il faut les accueillir, les mettre en confiance. » C'est donc en solitaire que Yannick Jadot a décidé de barrer son drakkar aux airs de rafiot. Mais, plus d'un an après son score aux élections européennes et au lendemain d'une déferlante historique des écologistes aux municipales, il s'en convainc : « On a le vent dans le dos. » Peut-il tourner ?
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Quand les français lambda ne savent plus pour qui voter, ils se tournent vers les verts, c'est plus politiquement correct hypocrite que vers l’extrême droite Lepeniste  qui a mauvaise réputation à cause de son créateur J.M LE PEN bien que sa fille essaie de lui redorer son blason de bonne conduite, mais avec un nom comme celui-ci et bien qu’ayant changé son sigle en RN çà laisse des traces indélébiles !

Nos concitoyens petit à petit se laissent convaincre par l'écologie qui en soit n'est pas une mauvaise chose, mais quand elle devient écologie politique sectaire bornée n'est pas meilleur que les extrêmes gauche ou droite !

Surtout quand cette économie veut mettre le pas sur tout, pour faire du profit et de l'argent roi qui mène toutes nos sociétés capitalistes, elle passe avant l'écologie utopique qui elle peut modifier les choses dans le bon sens, mais bien trop lentement !

Car quand on parle d'un projet écologique, on vous demande toujours comme ça coûte ou combien ça va rapporter !

Sans parler du temps que cela mettra pour le réaliser, le pire étant quand il s'agit de taxes diverses et nombreuses soi-disant pour un but l'écologique ou de lutte contre les pollutions diverses qui envahissent notre monde moderne, comme cette fameuse taxe carbone dont on ne sait pas où va l'argent récolté ?!

Alors certains politiciens médiocres de tous bords se disent écologiques alors qu’ils ne l’étaient pas, mais comme çà fait bien chez nos bienpensants donneurs de leçon, il faut aller dans le sens du vent politique pour récolter les voix des gogos qui s’y laissent prendre, on peut trouver plein d’exemple d’élus de cet acabit, mais beaucoup de français préfèrent croire à des utopies !

Il ne faut pas être contre l’écologie, mais quand elle devient politique, elle perd son âme !

Jdeclef 30/06/2020 13h44 LP

lundi 29 juin 2020

Ce genre de convention citoyenne qui donne soi-disant la parole à certains citoyens triés sur le volet ?!

L'essentiel :
  • Les Verts sont les grands gagnants des élections municipales, dont le second tour s'est tenu dimanche 28 juin. Ils ont remporté les mairies de plusieurs grandes agglomérations comme Lyon, Bordeaux ou encore Strasbourg. À Paris, la socialiste Anne Hidalgo a été réélue, alors qu'Agnès Buzyn (candidate LREM) n'a pas obtenu assez de voix pour détenir un siège au conseil de Paris. Du côté de Marseille, la situation est plus confuse. La candidate écologiste Michèle Rubirola, à la tête d'une coalition de gauche, a revendiqué une « victoire relative ». Mais la candidate LR Martine Vassal a insisté sur le fait qu'il n'y avait, à ce stade, « pas de majorité à Marseille », donnant rendez-vous à l'élection du maire par le conseil municipal vendredi prochain.
  • Au Havre, le Premier ministre Édouard Philippe a été élu avec une confortable majorité (59 % des voix).
  • Ce second tour des municipales a été marqué par une abstention record, autour de 60 %.
  • C'est dans ce contexte que le président de la République a reçu lundi 29 juin, en fin de matinée, les 150 membres de la convention citoyenne pour le climat. Emmanuel Macron a annoncé reprendre l'intégralité de leurs 149 propositions, à l'exception de trois « jokers » : la taxe de 4 % sur les dividendes, le passage à 110 km/h sur autoroute et placer l'environnement en haut des valeurs fondamentales listées dans la Constitution. Certaines mesures seront reprises dès la fin juillet en conseil de défense écologique, d'autres seront soumises au Parlement. Une loi spécifique sera également présentée cet été, et certaines propositions pourraient être soumises à référendum en 2021.

- Génération.s peu convaincu par les annonces de Macron

      "Malgré les résultats des élections municipales, il n'entend manifestement pas changer de cap et reste sourd aux enjeux majeurs", a fustigé le mouvement de Benoît Hamon, qui lance un appel, "face à l'inertie gouvernementale, à l'ensemble des partis de gauche et écologistes à se réunir pour construire une véritable alternative d'écologie de combat, en rupture avec le libéralisme et le productivisme".      

- Le PS veut "un alliage politique fort" avec EELV, pour 2022

      Le Parti socialiste veut un "alliage politique fort" avec EELV en vue de "l'alternance" désormais "possible" en 2022, au lendemain des municipales marquées par les nombreuses victoires de "la gauche rassemblée" et la percée historique des Verts. Il faut "un alliage politique fort" avec les Verts, qui doit être "la première étape en vue de l'alternance à gauche en 2022", lors de la présidentielle, a affirmé lundi Pierre Jouvet, porte-parole du PS, au cours d'une conférence de presse. Selon lui, "l'alternance est possible. C'est la leçon des municipales, jamais un président de la République n'a été autant sanctionné dans les urnes. Le parti du président (LREM) n'a obtenu aucune grande victoire, Agnès Buzyn (candidate LREM à Paris) n'est pas au Conseil de Paris".
     

- La faiblesse locale du RN n'entrave pas Marine Le Pen pour 2022

    
Malgré la prise emblématique de Perpignan, le Rassemblement national a perdu du terrain aux municipales. Mais la faiblesse persistante de son ancrage local n'amoindrit pas, selon des analystes, la capacité de Marine Le Pen à se retrouver de nouveau au second tour de la présidentielle. 





Les électeurs frontistes, "qui sont pour une bonne partie des gens de droite un peu plébiscitaires, bonapartistes, se mobilisent énormément pour l'élection présidentielle parce qu'ils pensent que le pouvoir se conquiert par le sommet", assure ainsi le politologue Jean-Yves Camus. Le sociologue spécialiste du RN n'exclut pas à la prochaine présidentielle une configuration similaire à 2017 avec deux candidats – Marine Le Pen et Emmanuel Macron – disposant d'un ancrage local "extrêmement marginal".      

- Stop à la bétonnisation, réforme de la fiscalité et nouvelles conventions citoyennes

      "Il faudra, dans les prochaines années, réfléchir à une profonde transformation de notre fiscalité." Le chef de l'État a appelé à taxer le carbone, mais plus justement que la taxe carbone qui avait fait descendre les Gilets jaunes dans la rue. Il a également estimé que les citoyens tirés au sort avaient "raison" quand ils appelaient à stopper la bétonnisation. "Vous proposez d'éviter de nouvelles constructions quand des réhabilitations sont possibles, allons-y !" Emmanuel Macron s'est dit également favorable à un moratoire sur les zones commerciales en périphérie.

Le président de la République a annoncé que les citoyens de la convention pour le climat seraient associés à la mise en oeuvre de leurs propositions, et l'a promis : "Il y aura d'autres conventions citoyennes." Une réforme du Conseil économique, social et environnemental (Cese) sera présentée au prochain conseil des ministres pour en faire "la chambre des conventions citoyennes".      

- Macron ouvert à un référendum en 2021

      "Les symboles comptent." Le président de la République s'est dit prêt à recourir au référendum en 2021 pour faire inscrire les termes de biodiversité, d'environnement et de lutte contre le réchauffement climatique dans l'article Ier de la Constitution. Il a en revanche refusé de placer l'environnement en haut des valeurs fondamentales posées par la constitution estimant qu'il serait "contraire à l'esprit des Lumières" de "mettre un droit de la nature au-dessus des droits humains". Plusieurs mesures proposées par la convention citoyenne pour le climat pourrait aussi être soumises à référendum d'ici 2021, notamment en cas de blocages. Quant à l'introduction du « crime d'écocide » dans la constitution, Emmanuel Macron préfère porter ce combat à l'international pour intégrer cette notion aux crimes relevant de la Cour pénale internationale, comme le crime contre l'humanité.      

- VIDÉO. La vague verte, une menace pour Emmanuel Macron ?

La journaliste politique Nathalie Schuck revient sur les conséquences de la vague verte aux élections municipales : « Pour Emmanuel Macron, la vague verte à laquelle on a assisté au second tour des municipales n'est pas du tout une bonne nouvelle. Déjà, parce que les Verts ont remporté des villes que convoitait son parti, La République en marche. Et surtout, parce que le président est déjà projeté à fond dans la présidentielle de 2022. C'est une échéance qu'il a fortement en tête. Or, ce qui se passe, c'est que la gauche, qu'on croyait très durablement fracturée depuis 2017, est en train de se renouer, de faire alliance, et montre sa capacité à remporter des villes.... »
Malgré son sacre au Havre, l'avenir d'Édouard Philippe en suspens      

- Les 110 km/h ne sont pas retenus

"Il faut reporter le débat sur les 110 km/h." Emmanuel Macron abat son deuxième joker devant les citoyens de la Convention pour le climat en refusant leur proposition d'abaisser la vitesse sur autoroute. Au même titre qu'il refuse de supprimer les lignes aériennes intérieures si le trajet en train se fait en plus de 2 h 30, il estime que cela reviendrait à "réenclaver" des territoires. Faisant allusion au débat autour des 80 km/h, il a aussi glissé que "ce serait profondément injuste que votre travail soit résumé à cette proposition".      

- Macron refuse une taxe sur les dividendes

      La taxe de 4 % sur les dividendes proposée par la convention citoyenne ne sera pas reprise par Emmanuel Macron. C'est l'un des trois "jokers" que le président de la République a annoncé devant les citoyens. "Mettre, sur tous les investissements, une taxe, c'est réduire notre chance d'attirer des investissements supplémentaires", s'est justifié le chef de l'État. Il a par ailleurs annoncé 15 milliards d'euros supplémentaires injectés sur deux pour "la transformation écologique de notre économie".      

- Presque toutes les propositions de la Convention citoyennes seront reprises

      Emmanuel Macron va transmettre "l'intégralité" des propositions de la Convention citoyenne pour le climat, à l'exception de trois "jokers", qu'il n'a pas précisés. Le président de la République a annoncé aux 150 citoyens tirés au sort pour travailler sur la question écologique qu'il souhaitait que ces mesures soient "mises en oeuvre au plus vite". D'ici fin juillet, un conseil de défense écologique sera réuni pour faire passer les mesures pouvant l'être par voie réglementaire. "D'autres seront intégrées au plan de relance", qui doit être soumis au Parlement "d'ici la fin de l'été". Enfin, pour les mesures qui relèvent du champ législatif, "un projet de spécifique sera présenté d'ici la fin de l'été".      
ETC.ETC ...
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Est fumeuse à souhait, un peu comme le grand débat d'après l'épisode des gilets jaunes !

E.MACRON aime cela, car cela donne l’impression qu'il donne la parole aux français (mais pas à tous, loin là ?!)

Jusqu'à promettre un référendum sur les sujets choisis, ça ne coute rien de promettre quant à tenir c'est autre chose, car d'ici 2022, il passera de l'eau sous les ponts et il a supprimé l'idée de la vitesse à 110 km h, alors là, il est sûr de plaire aux automobilistes gogo si nombreux, car il s'est souvenu de l'épisode des 80 km h si contesté !

Nous verrons si les français se laisseront prendre à cette mascarade, pourtant les priorités sont la lutte contre le virus covid 19 et la crise économique nettement plus urgente déjà parmi nous !

En fait le président veut gagner du temps, car il ne sait pas où il va et essaie de redorer son blason pour son éventuelle réélection en 2022, sans oublier le renouvellement par un remaniement de son gouvernement, car il se disperse, dépassé par les événements et la déconfiture de la REM qui se divise après cette Berezina aux élections municipales !

Jdeclef 29/06/2020 16h15LP

Terminons-en avec cette affaire déplorable de ce couple de nantis bourgeois campagnards !


Emplois fictifs : les époux Fillon reconnus coupables

Donné favori à la présidentielle, le chantre de la droite conservatrice avait été éliminé au premier tour, après une campagne minée par les affaires.

La décision est tombée : l'ancien Premier ministre François Fillon et son épouse Penelope ont été reconnus coupables lundi 29 juin à Paris dans l'affaire des soupçons d'emplois fictifs qui avait empoisonné la campagne présidentielle du candidat de la droite en 2017. Le tribunal correctionnel a décidé de rendre son jugement en début d'après-midi, après avoir tacitement rejeté les demandes de réouverture des débats présentées par la défense pour faire la lumière sur d'éventuelles « pressions » pendant l'enquête.
Donné favori à la présidentielle, le chantre de la droite conservatrice avait finalement été éliminé au premier tour, après une campagne minée par cette affaire révélée par Le Canard enchaîné. À 66 ans, François Fillon, désormais retraité de la politique, s'est reconverti dans la finance. Le 10 mars, le PNF avait dénoncé le « profond sentiment d'impunité » de celui qui avait « fait de la probité une marque de fabrique » et requis contre lui cinq ans de prison, dont deux ferme, 375 000 euros d'amende et dix ans d'inéligibilité. Une peine non aménageable.

Affaire des écoutes et affaire Fillon : la colère des militants LR

Reconversion dans la finance

Sophie Coignard – Pour en finir avec l'affaire Fillon !

Trois ans avec sursis et 375 000 euros d'amende ont été requis contre son épouse. Et deux ans avec sursis et 20 000 euros d'amende contre M. Joulaud, maire sortant de Sablé-sur-Sarthe. Au cœur du procès figurent les soupçons de détournement de fonds publics entourant les emplois de collaboratrice parlementaire de Penelope Fillon, poursuivie pour des « prestations fictives ou surévaluées ».

La relaxe demandée

Ses activités dans la Sarthe, auprès de son mari député et de son suppléant, méritaient-elles d'être rémunérées dans le cadre de contrats d'assistante parlementaire ? Entre 1998 et 2013, la discrète Galloise de 64 ans a perçu au total 613 000 euros net au titre de contrats connus seulement de quelques proches. Les Fillon, dont les avocats ont plaidé la relaxe, ont décrit des tâches certes majoritairement orales (être « les yeux et les oreilles » du député, « donneuse d'ordres » pour le courrier arrivé à leur manoir sarthois…), mais indispensables, selon eux, à la carrière de l'homme politique.
Ces activités, que Penelope Fillon a peiné à décrire précisément, restent toutefois difficiles à circonscrire, réalisées en tant qu'épouse ou pour aider le Fillon député ou ministre, avec ou sans contrat de collaboratrice parlementaire… Pour l'accusation, le tout relève « davantage du rôle social d'un conjoint d'élu » que d'un réel emploi d'assistant parlementaire, lequel est donc « fictif ». François Fillon s'est, au contraire, évertué à expliquer que le travail de collaborateur est d'autant plus varié lorsque celui-ci est le conjoint, pratique désormais interdite.
Partie civile, l'Assemblée nationale réclame plus d'un million d'euros de dommages et intérêts si les emplois litigieux étaient jugés fictifs. Les Fillon se voient également reprocher le lucratif et tout aussi discret emploi de « conseiller littéraire » de Penelope Fillon à la Revue des deux mondes du milliardaire Marc Ladreit de Lacharrière, ami de François Fillon, condamné pour abus de biens sociaux.
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F.FILLON se croyant peut être intouchable de part ce hobereau sarthois se prenant pour un seigneur moyenâgeux en son château avec ses cerfs d'une autre époque a tiré trop sur une ficelle qui cassée, entraînant son épouse dans sa chute et éclaboussant ses enfants, en plus, pour des avantages qui n'en valait pas la peine !

De ce fait, il a perdu son arrogance qui ne plaisait pas beaucoup à ces collègues UMP/LR qui l'ont laissé tomber sans regret !
Car en politique on ne fait pas de cadeau, car malheur aux vaincus !

Ce « Mr » qui croyait enfoncer une porte ouverte dans cette course à la présidence de la république, heureusement qu'il a raté cette élection, car ceux qui traînent des casseroles chez nos ex élus, il y en a déjà trop, à commencer par son coéquipier devenu adversaire N.SARKOZY toujours sur la sellette !

De cette ancienne classe politique sclérosée !

Jdeclef 29/05/2020 14h29

Pauvres français lambda qui ne savent plus pour qui voter alors qui se tournent vers ces Verts si à la mode ?


Coignard – Municipales : plus vert que moi, tu meurs !

CHRONIQUE. Face à la déferlante verte, tous les responsables politiques tentent de profiter de la vague. Maladresses et gros sabots !


Il y a ceux qui pavoisent, tel Yannick Jadot, dont le sourire triomphant s'élargissait sur les plateaux de télévision à mesure que tombaient les résultats. Il y a aussi ceux qui relativisent, expliquant que le tsunami écologiste de ces municipales s'abat principalement sur les grandes villes, là où votent les « bobos ». Ceux qui ne veulent pas se faire voler la victoire, comme les dirigeants LR qui rappellent, sans crainte de se répéter, que la droite détient désormais les clés de plus de la moitié des villes de France. Ceux qui, membres de la majorité présidentielle, sont presque soulagés que cette vague historique masque l'échec électoral de LREM. Mais tous, sans exception, sont tentés de se peindre en vert.
La tentation n'est pas nouvelle, mais elle a pris ce dimanche soir d'élections municipales une dimension quasiment liturgique. C'est ce qu'on appelle le principe de réalité. Lyon, Bordeaux (Bordeaux écolo, après 73 ans de règne de la droite !), Strasbourg, Poitiers, Tours, Annecy, Besançon… La liste des villes remportées par les écologistes, alliés au gré des circonstances avec la gauche ou l'extrême gauche, est impressionnante.
Lire aussi Élections municipales : la France passe au vert

Tous écolos !

Martine Aubry, élue avec seulement 227 voix d'avance sur son adversaire écologiste, se réjouit de s'être battue au coude à coude « contre EELV qui défend la transition écologique que je défends, aussi, donc, je dis à leurs électeurs : ne vous inquiétez pas, on ne l'oubliera pas et on va mettre les bouchées doubles sur la lutte contre le réchauffement climatique, mais en n'oubliant pas la justice sociale, c'est pour moi majeur… » Le maire de Meaux Jean-François Copé rappelle que l'écologie est partie intégrante du projet de LR. Le premier secrétaire du PS Olivier Faure se transforme presque en porte-parole d'EELV, trop heureux de trouver un remorqueur pour tracter son radeau à la dérive. La porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye et le patron de LREM Stanislas Guerini récitent péniblement le bilan de l'exécutif sur l'environnement. Même le communiste Fabien Roussel sent une graine verte pousser sur son petit cœur rouge.
La course à l'échalote écologiste a donc officiellement démarré ce dimanche soir, peu après vingt heures. Dans une sorte de prescience, Emmanuel Macron reçoit ce lundi matin à l'Élysée les membres de la Convention citoyenne pour le climat. Mais à l'issue de cette rencontre, apparaître comme plus vert que vert pourrait passer pour une posture opportuniste…
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J'habite dans une ville de 26000 habitants d’IDF de l'Essonne à 20 km de PARIS, j'ai de la chance, c’est une ville bourgeoise qui ne change pas de couleur politique ou il fait bon vivre, mon maire « SE » est repassé au 1er tour avec une large majorité sans problème comme cela, je n'ai pas eu à retourner voter !

Je plains ces français lambda qui se sont tournés vers ces verts qui font de l'écologie politique qui n'a rien à voir avec la vraie écologie !

Des gogos qui se sont encore fait avoir croyant à ce « père Noël vert » utopique qui pourtant ont subi ces kyrielles de ministres de l’écologie plus que médiocres sous tous les gouvernements passé ou présents !

Ce qui est désespérant depuis les quinquennats passés de nos présidents élus, c’est que les français lambda votent par défaut à toutes les élections pour des candidats inconnus, car cherchant l’oiseau rare chez nos politiciens de tous bords médiocres !

Ce qui est dommage pour les élections municipales c’est que c’est pour un maire qui va gérer le quotidien de la vie ou vive ses administrés et non pas son étiquette politique qu’il faudrait prendre en compte et çà les français ne l’ont pas encore compris, car ils votent à titre de sanction contre le pouvoir central en place et son président on vient d’en avoir la preuve avec le résultat de ces élections municipales !

Cela souligne une fois de plus comment les français votent si mal et encore ceux qui vont voter, car l’abstention marque des records et pas seulement à cause du Covid 19!

La France va mal on sait pourquoi, car les français sont de girouettes qui vont au gré du vent de cette mauvaise politique politicienne de cette classe politique et de ses partis inutiles autant que médiocres !

Jdeclef 29/06/2020 12h13LP

Les français ne votent plus, car déçus par la politique et leurs politiciens médiocres !


Les élections municipales accouchent d'un nouveau paysage politique

ANALYSE. C'était attendu, mais pas à ce point-là : la gauche se refait une santé au second tour des municipales. Autour des nouveaux maîtres : les écologistes.

Boudés par les électeurs, ces élections municipales 2020 ont donné lieu, toutefois, à de grandes surprises, qui dessinent un nouveau paysage politique. Une vague verte qui se transforme en tsunami. Une forte résistance de la gauche dans ses bastions. Une droite à la peine. Une extrême droite qui ne parvient pas à s'ancrer dans ce « pays réel » cher à Maurras. Mais une vive source d'inquiétude démocratique : un taux d'abstention record.

Un taux de participation historiquement bas

Tout le monde n'est pas Kylian Mbappé ! Le jeune footballeur star a diffusé sur les réseaux sociaux des photos de lui sortant de l'isoloir et posant avec des assesseurs de son bureau de vote. Las, son exemple n'a guère été suivi. Après un premier tour, le 15 mars, marqué par une abstention record au début de l'épidémie de coronavirus – la plus forte à une élection municipale sous la Ve et même la IVe République… –, on pouvait s'attendre à un sursaut civique pour le second tour, ce 28 juin. Malheureusement, il n'en est rien. Bon nombre des 16,5 millions d'électeurs appelés à voter dans 4 855 communes – les deux tiers dans des villes de plus de 30 000 habitants – ne se sont pas acquittés de leur devoir électoral. Et encore moins dans les grandes que dans les petites – où la participation est généralement plus forte. À l'exception de quelques villes, où les matchs étaient très serrés et à portée hautement symbolique, telles que, par exemple, Perpignan, Toulouse, Marseille. 59,5 % : un taux d'abstention record inquiétant pour la vie démocratique de notre République.
Certes, la peur d'attraper le Covid dans un bureau de vote reste forte, c'est même la première des raisons invoquées par les abstentionnistes détectés par Ipsos/Sopra Steria (43 %), dans un sondage réalisé les 26 et 27 juin. Mais la pression pandémique était bien moindre qu'au premier tour. On ne peut ramener cette désertion à ce seul facteur sanitaire. Dans nombre de villes, l'offre politique était importante, et parfois renouvelée, et les batailles, souvent des chocs frontaux entre deux visions du monde, sur le papier s'avéraient engageantes : dans le sondage Ipsos/Sopra Steria, 75 % des personnes interrogées se disaient intéressées par ce scrutin. L'élection municipale, qui vise à désigner des élus qui sont les plus populaires, ou disons les moins impopulaires des politiques, et qui se sont trouvés en première ligne pour gérer la pandémie, est souvent suivie. Les Français ont-ils donc voulu témoigner d'une lassitude démocratique ?
Dans le sondage Ipsos/Sopra Steria, le second argument invoqué par les abstentionnistes est le fait de considérer que ces élections ne changeront rien à la vie quotidienne : s'agissant d'un scrutin local, c'est alarmant. Après la crise sanitaire et économique, le signe d'une crise politique ? Indice préoccupant : 72 % des moins de 34 ans sondés par Ipsos/Sopra Steria sont abstentionnistes. Plus immédiatement, avec cette participation en berne, se pose un problème de représentativité démocratique. Comme le relevait, ce matin électoral, dans Ouest-France, le directeur du Centre de recherches politiques de Sciences Po Paris (Cevipof), Martial Foucault, 18 % des maires élus au premier tour l'ont été avec moins de 25 % des électeurs inscrits de leur commune. Le second tour devrait accentuer cette tendance.

Un tsunami vert

« Le match est entre Aubry et moi. » Dès octobre 2019, l'écologiste Stéphane Baly avait exclu – pour la première fois depuis 40 ans – toute alliance entre son mouvement EELV et le PS. Le suspense a été à son comble dimanche et les deux candidats longtemps donnés au coude-à-coude. Même si Martine Aubry l'a finalement emporté, Stéphane Baly a réussi à faire vaciller l'inoxydable Martine Aubry, à la tête du Beffroi de Lille depuis 2001.
Ce second tour des municipales, c'est la soirée de Yannick Jadot, le patron d'EELV, qui a mouillé le maillot, comme on dit au rugby, pour soutenir ses troupes. À Lyon, Grégory Doucet fait tomber la citadelle Collomb. Et à Bordeaux, Pierre Hurmic prend le duché juppéiste tandis qu'à Marseille la coalition hétéroclite verte-rose-rouge menée par Michèle Rubirola ébranle le système Gaudin. À Strasbourg, Jeanne Barseghian s'impose face à Alain Fontanel et Catherine Trautmann. À Poitiers, Léonore Moncond'huy terrasse un notable socialiste, maire depuis 12 ans, Alain Claeys. À Annecy, François Astorg scelle – de peu – le destin de Jean-Luc Rigaut. À Besançon, Anne Vignot, ingénieure de recherche au CNRS, à la tête d'une large coalition de gauche, est élue sans coup férir. Vote de contestation ou d'adhésion ? Certes, comme à Besançon, cette vague verte est souvent mâtinée de rouge, les écologistes ayant fait cause commune avec les communistes et même, parfois, ailleurs, comme à Toulouse, avec les Insoumis. Mais il ne faut pas minimiser cette expression des votants, les Français ayant depuis longtemps montré leur préoccupation pour l'environnement. Reste à savoir si ces nouveaux maires sauront s'abstraire d'une vision pour le moins idéologique, voire parfois sectaire, de l'écologie…

La déroute confirmée du parti présidentiel

La mise bronzée du Premier ministre se félicitant de sa – large – victoire dans « sa » ville du Havre ne doit pas être un trompe-l'œil. Pour la majorité présidentielle, ces élections marquent une déroute. Emmanuel Macron, chantre désormais de la décentralisation, n'avait curieusement pas misé sur ces élections locales. Les résultats sont donc conformes à cette non-ambition. Comme on pouvait s'y attendre, le mouvement macroniste n'imprime pas à l'échelle locale. Les maires LREM sont portion congrue. Symbole fort : Paris, imperdable sur le papier pour les macronistes au début de la campagne, qui reconduit Anne Hidalgo, pourtant très impopulaire il y a encore quelques mois, et désavoue – fortement – la représentante du parti présidentiel, l'ancienne ministre de la Santé Agnès Buzyn.

Le Parti socialiste reprend du poil de la bête

Les femmes, avenir du socialisme français ? Au-delà de la victoire sur le fil de Martine Aubry à Lille, le PS peut se rasséréner avec la victoire attendue d'autres femmes : Anne Hidalgo à Paris, mais aussi Johanna Rolland à Nantes et Nathalie Appéré à Rennes. Michaël Delafosse à Montpellier prend sa revanche sur 2014 et arrache la mairie à Philippe Saurel. Une belle prise, surtout, pour le PS : Nancy, capitale du radicalisme, où l'héritier d'André Rossinot, maire pendant 31 ans (1983-2014), Laurent Hénart, à l'issue d'un duel serré, doit céder la place à son éternel rival, Mathieu Klein, qui a toujours témoigné d'une fidélité sans faille pour son Parti, même dans les pires moments. Avec ces têtes d'affiche, le PS peut renouer avec une – relative sérénité. À Clermont-Ferrand, le maire socialiste sortant, Olivier Bianchi, l'a emporté avec 48,41 % des voix face au candidat DVD Jean-Pierre Brenas (36,50 %) et à la liste La France insoumise emmenée par Marianne Maximi (15,08 %).

Les Républicains en demi-teinte

Belle victoire pour Jean-Luc Moudenc qui, à Toulouse, résiste brillamment à l'offensive menée par l'Archipel citoyen. Comme toujours, dans la ville de Jean Jaurès et de Zebda, le maire (LR) était donné perdant : Moudenc reste au Capitole. À Nice, Christian Estrosi est, lui, confortablement réélu. Si tous deux sont Macron-compatibles, de quoi faire passer les amères pilules de Bordeaux – à droite depuis 1947 ! – et de Marseille, que la droite devrait abandonner à la gauche plurielle menée par l'écologiste Michèle Rubirola –, cela reste à confirmer : dans la cité phocéenne, le vote se fait par secteurs, même si Martine Vassal est en mauvaise posture dans le sien. À Saint-Étienne, le maire sortant Les Républicains Gaël Perdriau l'emporte avec 58,91 % des voix face à la liste emmenée par le candidat LDVG Pierrick Courbon (41.08 %). Les Républicains confirment leur ancrage dans les villes moyennes, par la victoire de Maider Arosteguy à Biarritz ou encore la réélection d'Émile-Roger Lombertie à Limoges, historique place forte socialiste. À La Baule, le sarkozyste Franck Louvrier s'installe dans le fauteuil du baron gaulliste Olivier Guichard. Comme le relève Guillaume Peltier, numéro 2 de LR, le parti de droite gagne dans 55 % des villes moyennes.

Le Rassemblement national décroche Perpignan, mais n'étend pas sa toile territoriale

Joli trophée pour le parti lepéniste qui décroche, pour la première fois, une ville de plus de 100 000 habitants : Perpignan. L'eurodéputé et ex-numéro deux lepéniste Louis Aliot remporte son pari et fait chuter le maire (LR) Jean-Marc Pujol, élu depuis 2009. Avec Perpignan et sa voisine Béziers, dirigée par Robert Ménard, allié du mouvement, un axe d'extrême droite s'installe au sud de Montpellier, autour de deux notables. Cependant, la conquête catalane ne saurait masquer la réalité électorale : ces municipales ne sont pas un bon cru pour le RN, qui peine à étendre sa toile dans le pays. Les troupes de Marine Le Pen pouvaient, suivant leurs résultats passés, légitimement espérer installer l'un des leurs comme maires dans 56 villes, essentiellement petites. Le parti en avait conquis 11 en 2014. Las, le premier tour n'a pas été à la hauteur de ses espérances, le RN ne conservant que huit de ses municipalités. Pour le second tour, il s'en est tenu à quelques prises symboliques : outre Perpignan, Moissac, la ville des Justes au cœur du fief radical de la famille Baylet.

L'émiettement des votes

Il faudra attendre tard pour avoir les résultats complets des votes. Plusieurs duels sont serrés dans de grandes villes. Il y a des triangulaires dans pas moins de 786 communes, et même des quadrangulaires dans 155 – sans compter des quinquangulaires dans 12… L'irruption dans nombre de villes de coalitions « citoyennes » hétéroclites, rassemblant des associatifs mais aussi – et surtout – des militants chevronnés d'EELV, du PS, du PC, de LFI, parfois opposées à des listes de gauche plus traditionnelles, a éparpillé l'électorat et rend la lecture plus difficile. L'émiettement des votes ne sera pas sans poser des problèmes de gouvernance, en premier lieu dans la désignation d'un exécutif local, comme cela risque d'être le cas à Marseille, notamment.
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Alors comme ils ont perdu leurs illusions et leur caractère qui faisait leur qualité !

Depuis les derniers quinquennats, ils votaient déjà pour leurs présidents par défaut en espérant qu’ils en trouveraient un sorti de l’ordinaire ou de ces politiques politiciennes de partis qu’on traîne depuis des décennies !

Avec bien sur une forte abstention qui n’est pas la seule cause du COVID 19 !

Cela ne montre pas encore que ces votes pour les verts et surtout l’écologie politique soit la bonne solution que les français ont utilisé dans leurs votes pour protester contre le pouvoir en place comme pour les élections européennes, sauf que là, les administrés gogos croient au « père Noel vert » et que c’est surtout pour leur vie quotidienne municipale de leurs villes à venir !

Pour les bobos bien-pensant donneurs de leçon, l’écologie çà fait bien, c’est à la mode, cette écologie, bien qu’elle soit utile, quand elle n’est pas sectaire politique bornée ou utopique !?

Là, ils n’ont pas trop voté pour l’extrême droite, le vilain petit canard, alors ils se sont retournés, vers les Verts d’EELV qui eux sont aussi une forme d’extrémistes bornés sectaires pour certains « empêcheurs de tourner en rond » !

Car les français à mémoire courte, principal de leurs défauts, devraient se souvenir des ministres de l’écologie plus médiocres les uns que les autres qui ont profité dans les gouvernements de tous bords passés !

Car nos concitoyens votent toujours pour sanctionner un pouvoir qui les déçoit et E.MACRON sur ce plan a parfaitement réussi, donc les verts étaient là pour servir à cela !

Enfin, ce ne sont que des élections municipales qui ne toucheront que les administrés concernés par cette vague verte, comme des algues invasives !

La politique politicienne est une plaie dans notre pays qui ne se refermera pas de sitôt, et les français votent toujours aussi mal !?

Reste à savoir, ce va faire notre président donneur de leçon bienpensant dans ce remaniement attendu, mais dont il ne faut pas en attendre de miracle !

Jdeclef 29/06/2020 10h33

dimanche 28 juin 2020

E.CIOTTI est un extrême à droite qui s'ignore, heureusement qu'il n'est pas au pouvoir ! (suite)


Éric Ciotti va déposer une proposition de loi pour supprimer le Parquet national financier (suite...)

VIDÉO. « Ce parquet qui se voulait exceptionnel est devenu une juridiction d'exception », estime le député dans une interview au « Journal du dimanche ».

Le Parquet national financier va-t-il disparaître ? Dans un entretien au Journal du dimanche, le député Les Républicains Éric Ciotti s'attaque à l'institution, et veut déposer une « proposition de loi » pour la supprimer, après les dernières révélations dans des dossiers concernant Nicolas Sarkozy ou François Fillon et les déclarations de l'ex-cheffe du PNF. « Ce parquet qui se voulait exceptionnel est devenu une juridiction d'exception », déclare dans cette interview le député, regrettant que la justice soit « aujourd'hui touchée par le poison du soupçon de la politisation ». « Ce qu'ont subi François Fillon et Nicolas Sarkozy n'est pas conforme à l'idée que je me fais d'une justice équitable, totalement indépendante des pressions et du contexte politique. C'est pourquoi je déposerai demain une proposition de loi pour supprimer le PNF », ajoute-t-il.
Entendue le 10 juin par la commission d'enquête parlementaire sur l'indépendance de la justice, Éliane Houlette – l'ex-cheffe du PNF partie à la retraite fin juin 2019 – s'était émue du « contrôle très étroit » qu'aurait exercé le parquet général, son autorité de tutelle directe, dans la conduite des investigations dans le dossier Fillon. « Les choix du PNF à l'encontre de Nicolas Sarkozy ou de François Fillon ont contribué à les éliminer de la course à l'élection présidentielle de 2017 », estime Éric Ciotti.
Jean-Pierre Sueur : « Il y a urgence à réformer le parquet »

Une succession de polémiques

Le PNF a également été accusé d'indulgence après qu'une enquête pour conflit d'intérêts visant le secrétaire général de l'Élysée Alexis Kohler a été classée sans suite en août 2019, notamment après une lettre du président Emmanuel Macron qui dédouanait son collaborateur. Le courrier a été révélé récemment par l'association Anticor.
La troisième affaire concerne, elle, l'ancien président de la République, Nicolas Sarkozy. En février 2014, le PNF a demandé d'éplucher les factures téléphoniques d'une dizaine de ténors du barreau pour trouver la « taupe » qui aurait pu informer Nicolas Sarkozy et son avocat Thierry Herzog qu'ils étaient sur écoutes dans une autre affaire.
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Supprimer le PNF qui n'est pas parfait, mais pas totalement inutile !?

Car il n'aboierait pas si fort, s'il ne gênait pas cette droite ancienne qui a été rejetée par des électeurs en 2017 pour essayer de se débarrasser de cette ancienne classe politique sclérosée de tous bords, mais cela concernait aussi la gauche PS et CIE !

Car ces politiciens de tous bords et leurs affaires pas nettes rattrapés, par ces enquêtes, cela les gêne bien sûr!

S'ils étaient blancs-bleus ou innocent, comme l'agneau qui vient de naître, ils ne seraient pas sous le coup de la justice ou de procès en gestation qui traînent pour certains très connus !

D'ailleurs cela concerne aussi cette magistrature de notre justice qui elle aussi prouve avec son parquet que sa soi-disant indépendance est un leurre !

De plus le coté du terrorisme bien plus dangereux qu'il ne faut pas perdre de vue avec ces ramifications diverses nécessite le besoin d'écoutes performantes pour essayer de protéger notre sécurité et donc tout peut être entendu, voire écouté !

Donc le mieux, c'est de conseiller à ces Messieurs, quand ils échangent des informations dans leur conversations qui ne doivent pas être entendues, car pas nettes dans certaines affaires, qu'ils se dispensent de les faire en se transformant en « Bismuth ridicule » ou alors qu’ils passent par des moyens sécurisés qui existent surtout, quand ce sont des ex dirigeants de notre pays, car s’ils se font prendre par des « médiapart » ou autres médias à journalistes d’investigations spécialisés, ils n’ont que ce qu’ils méritent et ne viennent pas se plaindre après !

Ces politiciens de tous bords se moquent assez des français comme cela, mais en fait se croyant trop à l’abri, font des imprudences, tant pis pour eux !

jdeclef 28/06/2020 15h49