Violences
à Dijon : neuf nouvelles interpellations, des armes découvertes
VIDÉO.
L'opération, menée par le Raid et la BRI, a permis de saisir des produits
stupéfiants. Les neuf interpellés ont été placés en garde à vue.
Les forces
de l'ordre ont lancé lundi 22 juin une nouvelle opération de recherche
d'armes dans l'agglomération dijonnaise (Côte-d'Or), à la suite des violences
qui se sont produites entre le 12 et le 15 juin. Résultat, neuf
personnes ont été interpellées dans le quartier des Grésilles (Dijon) et à
Saint-Apollinaire, commune de banlieue, selon un communiqué publié par le
procureur de la République Éric Mathais, et placées en garde à vue. Deuxième
opération du genre entre trois jours aux Grésilles, elle a permis de saisir de
multiples armes : trois carabines démontées, des sacs contenant
entre 2 et 3 kilos de cartouches, des tubes servant de lanceurs
à tirs de mortier. Du cannabis, de la cocaïne, de l'héroïne ainsi que
2 153 kilos de produits de coupe ont été saisis par les forces de
l'ordre, ainsi que 3 150 euros.À Dijon, les habitants ont peur
L'opération, démarrée tôt lundi matin, s'inscrit dans le « plan local d'actions judiciaires renforcées contre les armes », un travail de fond qui a été accéléré à la suite des récentes violences urbaines, a précisé le procureur. Cent dix-huit policiers et gendarmes étaient engagés, dont 10 effectifs de l'unité d'élite du Raid et autant de la BRI locale. À la différence de la vaste opération de police survenue la semaine dernière et qui avait mobilisé 140 membres des forces de l'ordre, cette opération s'inscrit sous le contrôle direct du parquet.
Violences à Dijon : des policiers spécialisés avaient tiré la sonnette d'alarme
Une
autre opération vendredi
Vendredi,
lors de la précédente opération, de la résine de cannabis, un
couteau, 25 cocktails molotov, ainsi que des plaques minéralogiques
belges, une motocross, des gants et des cagoules avaient été saisis, avait
indiqué la préfecture. Le préfet Bernard Schmeltz avait alors indiqué que cette
opération de police s'inscrivait dans la démarche de « fermeté »
voulue par le gouvernement « pour rétablir la paix », à la suite des
journées de tensions aux Grésilles.Violences à Dijon : cette note inquiétante de la police qui en dit long
Le procureur de la République avait indiqué mercredi que les investigations se poursuivaient « pour parvenir à identifier les participants » aux violences qui ont secoué les Grésilles, mais aussi Chenôve, dans la banlieue sud-ouest de Dijon. Dans des vidéos diffusées sur les réseaux sociaux, des hommes encagoulés étaient apparus munis de ce qui semblait être des fusils d'assaut ou des pistolets automatiques. Mais le procureur a récemment souligné que certaines de ces images n'avaient pas été tournées à Dijon.
Manifestations : Mélenchon et Le Pen « attisent les braises », selon LREM
Actes de
représailles
Ces
violences ont fait suite à une série d'actions de représailles lancées par des
membres de la communauté tchétchène, qui voulaient se venger de l'agression
d'un adolescent par, selon eux, des habitants des Grésilles. Le calme est
revenu depuis mardi et le père tchétchène de l'adolescent agressé a demandé que
cessent ces exactions. Mais celles-ci ont fortement marqué les esprits dans une
capitale bourguignonne peu habituée à ce type de tensions.Six Tchétchènes ont été interpellés et placés en garde à vue jeudi dans le cadre de l'enquête séparée sur les raids punitifs. Deux ont été mis hors de cause, tandis que les quatre autres ont été mis en examen, dont trois ont été aussitôt placés en détention provisoire. Le quatrième suspect est resté libre sous contrôle judiciaire. Vendredi, le dirigeant de la Tchétchénie, Ramzan Kadyrov, a qualifié de « corrects » les actes des membres de sa communauté en France. « C'est mon opinion personnelle : je pense que les actes des Tchétchènes ont été corrects ! » a écrit Ramzan Kadyrov sur son compte Telegram. Il a argué que les membres de la communauté tchétchène avaient agi de cette manière puisque « les autorités locales n'ont pas pu mettre de l'ordre » elles-mêmes.
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Et cela
permet de faire revenir la sécurité que beaucoup de français lambda demandent !
Mais il ne
faut pas éviter de nommer les responsables, quel qu’ils soient, sans rien
cacher et ne pas faire du politiquement correct hypocrite, même si cela déplaît à certains bien-pensants donneurs de leçon !
C’est à ce
prix que l’on retrouvera une sécurité publique, mais pour cela il faut le faire
dans toutes les zones ou quartiers sensibles de notre pays car il y en a
beaucoup trop !
Et là, l’état
régalien sera respecté et l’anarchie latente disparaîtra de la France, car
certains français ont besoin d’être remis sur le chemin et recadrés avec une
justice moins laxiste et plus rigoriste et des peines plus sévères jugées et appliquées
avec rigueur car il y a trop de violence, ces derniers incidents graves à DIJON
le prouve !
Il faut pour
cela aussi des ministres de l’intérieur et justice à la hauteur de leur tache pas
des amateurs bien-pensants bisounours qui font de la politique
politicienne avec de beaux discours !
Le président
MACRON devrait intégrer çà dans les choix de remaniement de son nouveau
gouvernement, car les français sont demandeurs !
La peur du
gendarme est bonne et efficace, quand on l’applique bien et sans faille !
Jdeclef 22/06/2020
17h24
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