dimanche 28 juin 2020

Trop de liberté mal contrôlée mène à l'anarchie, certains jeunes ne peuvent s’empêcher de semer désordres et violences pour se colleter aux vilaines forces de l’ordre...


Paris : une fête improvisée par des jeunes aux Invalides dégénère en heurts

VIDÉO. L'appel à ce rassemblement festif avait été lancé discrètement sur les réseaux sociaux sous le nom de code « ProjetX ». Des policiers sont intervenus.


Au cours de la soirée du samedi 27 juin, des incidents ont éclaté sur l'esplanade des Invalides à Paris entre quelques centaines de jeunes participant à une fête improvisée et des forces de l'ordre venues interrompre les festivités. L'appel à ce rassemblement festif avait été lancé discrètement sur les réseaux sociaux sous le nom de code « ProjetX », en référence au film américain culte Project X de 2012 sur une fête organisée par des adolescents qui dérape en raison de son ampleur.
Les incidents ont débuté peu avant minuit sur les pelouses de l'esplanade des Invalides quand des jeunes qui s'y étaient réunis ont lancé des projectiles au passage de plusieurs véhicules des forces de l'ordre qui arrivaient sur les lieux. Les policiers ont alors fait usage de gaz lacrymogène pour disperser les fêtards.

« C'est parti en vrille »

Selon Anaëlle, une Parisienne de 19 ans, venue avec deux amies, « on en a entendu parler sur les réseaux, on était quelques centaines, il y avait un peu de musique, des gens avec des enceintes, mais rien d'organisé », a-t-elle raconté sur place à l'Agence France-Presse. Ensuite, « c'est parti en vrille, il y a des gens qui ont commencé à se lancer des bouteilles à la tête. En deux secondes, la police est arrivée, on était encerclés, ils ont commencé à tirer des lacrymos », a-t-elle poursuivi.
Vers 1 h 30, quelques dizaines de jeunes très mobiles étaient encore sur l'esplanade à jeter des bouteilles parfois les uns sur les autres et aussi sur les policiers qui, de nouveau, ont dû tirer des grenades lacrymogènes pour disperser les derniers récalcitrants, a constaté une journaliste de l'Agence France-Presse. Ces incidents interviennent sept jours après la Fête de la musique qui avait donné lieu à Paris à de controversés rassemblements massifs de jeunes, malgré la circulation toujours active du coronavirus.
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« Faire la fête, le mot est lâché !»

Car c’est cela la liberté pour eux et cela ne date pas d’hier bien avant l’épisode sanitaire du virus !

En ce qui concerne la pandémie de Covid 19, nos scientifiques qui disent tout et son contraire pour se protéger car sans certitude incapables de donner des instructions précises, parlent de distanciation à tout va, mais disent que des rassemblements sont moins dangereux en plein air que confiné dans des lieux fermés, donc les trublions divers en mal de liberté prennent çà pour argent comptant et se défoulent !

Sans discipline stricte la pandémie repartira et la période des congés annuels est propice pour sortir et se défouler pour certains qui ne connaissent que çà et comme la police est mal vue, car semble-t-il trop répressive, ils en profitent, car elle est tenue en laisse de peur des dérapages !

En France le maintien de l’ordre est un problème et s’empire sous ces gouvernements de bienpensants donneurs de leçons qui se croient dans une société de bisounours ou tout le monde est beau et gentil ?!

En ce qui concerne la pandémie s’il elle repart à la rentrée beaucoup ne comprendront pas mais comme le gouvernement à trop lâché la bride pour essayer de relancer l’économie cela risque de n’étonner personne chez ceux qui prennent le temps de réfléchir et le remède risque d’être plus grand que d'avoir été plus strict et pour les rassemblement de « jeunes «  il faut les interdire puisqu’on ne peut les contrôler tant que la crise sanitaire perdura (car ce n’est pas les personnes âgées dites à risques qui elles se protègent, les plus dangereuses) elles n’iront pas faire la fête et casser ou vandaliser dans le domaine public !

Jdeclef 28/06/2020 10h42

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