mardi 23 juin 2020

Pitoyable ex élu politicien qui comme d'autres se servent du mea-culpa pour essayer de se faire pardonner de ses frasques et de l'utilisation des avantages liés à sa fonction !


François de Rugy : « J'ai sans doute fait des erreurs »

Onze mois après être parti du ministère de la Transition écologique, François de Rugy était au micro de RMC lundi. Il considère avoir payé.


de Rugy tente une apparition. Invité lundi 22 juin dans l'émission Les Grandes gueules sur RMC, l'ancien président de l'Assemblée nationale et ministre de la Transition écologique et solidaire revient sur l'affaire des « homards » qui l'a poussé à démissionner. Désormais, « ça va très bien », indique-t-il d'emblée. Cette affaire « a été évidemment assez pénible », souligne François de Rugy, avant de faire son mea culpa.
« J'ai sans doute fait des erreurs, je reconnais, ça, c'est évident. Dans la vie politique, comme dans la vie tout court, on peut être amené à faire des erreurs. Je ne réclame même pas un droit à l'erreur », tient-il à faire savoir. François de Rugy a été épinglé par des révélations de Mediapart sur des dîners fastueux payés avec des fonds publics et organisés à l'hôtel de Lassay, la résidence du président de l'Assemblée nationale, tout en profitant de la cave du Palais-Bourbon.
 Les derniers jours de François de Rugy

« Je considère que j'ai payé » François de Rugy fait aussi valoir, sur RMC, son sens du sacrifice : « Je considère que j'ai payé, au sens propre et au sens figuré. J'ai démissionné parce que j'ai fait primer l'intérêt collectif du président, du gouvernement, de la majorité sur mon intérêt individuel », alors que la pression devenait insoutenable. Il n'exprime aujourd'hui aucun regret. « Tout le monde n'agit pas comme ça dans la même situation. C'est important de pouvoir, parfois, prendre du recul, pour l'intérêt collectif. »
 Séverine Servat de Rugy : « Les gens ont-ils besoin d'une vérité ? »
L'ancien ministre considère aussi que l'emballement médiatique, durant ce mois de juillet 2019, a été disproportionné, au vu des faits : « C'est vrai que l'emballement médiatique de l'époque, sans équivalent, apparaît, je crois, un peu dérisoire et même injuste, à l'égard de beaucoup de gens. » Concernant les procédures judiciaires, il affirme ne pas avoir été mis en cause et que même l'association anticorruption Anticor n'a pas lancé de poursuites. En revanche, lui a porté plainte contre Mediapart pour diffamation. Le procès devrait avoir lieu en février 2021, a-t-il indiqué.

« Qui se sent morveux ce mouche » mais cela ne suffit pas !?

Fautes ou erreurs à moitié pardonnées par ce fameux mea-culpa bien commode et facile ne doit pas faire oublier que pour des fonctions de ministres au plus haut de l'état ne doit pas être passées sous silence et surtout pour des dirigeants qui doivent donner l'exemple et simplement respecter les Français lambda dont certains ne mangeront jamais des homards ou langoustes et ne boiront pas du champagne et bons vins, comme de l’eau minérale...

Ces écarts de petites noblesses sont inconcevables surtout que ces élus sont souvent déjà nantis et manque de rien, dans cette V eme république usée nostalgique de l'ancien régime par certains de ces élus au plus haut de l'état qui se prennent pour des monarques sans couronnes et vivent dans des palais !

Mais surtout ne pas les réemployer à des fonctions qu'ils ne méritent plus !

Car ces individus n’ont aucun amour propre et sont souvent des donneurs de leçons bienpensants que l’on subit déjà trop !

Hélas, l’exemple vient souvent de ceux qui sont au plus haut de l’état et en cette période de grave crise économique qui touchera une majorité de français, cela est très mal vu, pour ne pas dire autre chose !

Surtout que ce personnage bobo et son épouse ne sont pas à plaindre !

Jdeclef 23/06/2020 10h11

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire