Paris :
manifestation nocturne surprise de policiers devant l'Arc de Triomphe
Les
policiers ont entonné la Marseillaise et jeté à terre des menottes lors de
cette mobilisation organisée par la BAC de nuit de Paris.
La police laisse éclater sa colère devant le ministère de l'Intérieur
Les participants ont notamment entonné la Marseillaise et jeté à terre des menottes. Quelques heures plus tôt se déroulait une nouvelle journée de manifestations contre les violences policières. « Nous attendions du ministre un geste de soutien et on a l'impression qu'il lâche les forces de l'ordre », a expliqué à la presse un policier manifestant en tenue.
« Mes
collègues se sont sentis lâchés »
« Mes
collègues se sont sentis lâchés, abandonnés par leur ministre de
tutelle », a renchéri auprès de Brut Yoann Maras, délégué syndical
Alliance qui était sur place. Vendredi, ce sont les syndicats de police qui ont
descendu les Champs-Élysées pour exprimer leur colère et réclamer d'être reçus
par Emmanuel Macron.EXCLUSIF. Adama Traoré, la contre-enquête
« Si le président de la République ne réaffirme pas un soutien plein et entier à la police nationale (…), il va falloir s'attendre à ce que le mouvement prenne de l'ampleur avec des actions et manifestations de policiers », selon Yoann Maras. Le ministre de l'Intérieur, Christophe Castaner, a reçu vendredi les syndicats policiers très remontés depuis ses annonces lundi, notamment sur la fin de l'utilisation de la technique d'interpellation dite « d'étranglement ».
Devant les syndicalistes, Christophe Castaner avait reconnu en outre « une connerie », « une maladresse » de langage quand il a annoncé lundi la suspension de tout fonctionnaire en cas de « soupçon avéré » de racisme selon les syndicalistes. « Il y a une cassure créée par le ministre de l'Intérieur, il va devoir regagner la confiance de sa police. Cela va devoir passer par des discours forts et des garanties, mais changer de ministre de l'Intérieur, si on reste sur la même doctrine, ça ne fera pas avancer le débat », a dit Yoann Maras.
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Qu'ils ne puissent pas râler et descendre dans la rue, tout
le monde le fait ?!
Eux, au moins (pour l'instant, ils ne cassent pas tout, et
ne vandalisent pas ?!)
Car eux, ils ne gênent personnes, sauf peut-être les
délinquants de tous poils, ils ne risquent pas de bloquer le pays ou la
circulation des moyens de transports en commun comme la SNCF par exemple ou
diverses manifestations qui se finissent mal depuis 2018 on ne fait qu'enchaîner celles-ci !
La crise sanitaire et économique qui va suivre est en plus « la
cerise sur une gâteau empoisonné » qui va surement déclencher encore des
mouvements sociaux à la rentrée de septembre !?
Quant une police/gendarmerie se désolidarise de l’état, et son
patron qui ne les soutient plus c’est grave et annonce une anarchie déjà rampante,
car ils sont là pour notre sécurité et protection avant tout, car quand on a un
problème, délits, crimes ou exactions diverses qui on appelle « police
secours » !
Arrêtons de nous comparer aux USA que certains imitent par mimétisme
crétins, car si l’état est débordé et devait avoir recours à l’armée comme
certains réclament sans réfléchir, elle est là pour obéir sans contestation et
nous tomberions en loi martiale !
Et tous ces trublions dangereux qui gâchent notre pays, où il
faisait bon vivre avant mais qui se dégrade, alors que les français lambda réfléchissent
et en prennent garde, car les guerres civiles commencent toujours comme cela et
se terminent en démocrature au mieux, voir en dictature !
Jdeclef 14/06/2020 12h00LP
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