mardi 9 juin 2020

Avec CASTANER çà réaction n'est pas une surprise, mais il se trompe de cible, le respect de la loi et l'ordre ce n'est pas du racisme !


Castaner réclame une « tolérance zéro » contre le racisme dans les forces de l'ordre

Lors d'une conférence de presse, le ministre de l'Intérieur a par ailleurs annoncé l'abandon de la méthode d'interpellation dite « de l'étranglement ».


« Tolérance zéro », contrôles renforcés et interdiction de la méthode d'interpellation dite « de l'étranglement » : après plusieurs manifestations contre le racisme et les violences policières en écho aux États-Unis, Christophe Castaner a annoncé lundi 8 juin 2020 des mesures pour améliorer la déontologie des forces de l'ordre. Le président Emmanuel Macron, qui ne s'est jusqu'ici pas exprimé sur la mort de George Floyd aux États-Unis, à l'origine d'un mouvement de protestation mondial, avait demandé au gouvernement d'« accélérer » dans ce dossier.
« Huit minutes quarante-six secondes. C'est la durée pendant laquelle George Floyd est resté à terre, le genou d'un policier contre son cou. C'est la durée de l'agonie, de la honte, de la haine. C'est le temps qu'il a fallu pour asphyxier l'honneur », a déclaré le ministre de l'Intérieur lors d'une conférence de presse. Depuis, « partout, des femmes et des hommes, souvent jeunes, se sont rassemblés pour pousser un puissant cri contre le racisme, contre la haine, contre les discriminations », a-t-il ajouté. « Ce cri, je l'entends », a dit le ministre à la veille d'une nouvelle journée de mobilisation au moment où auront lieu ses obsèques à Houston (Texas), rappelant toutefois que « la France, ce n'est pas les États-Unis ».

Aucun raciste ne peut porter dignement l'uniforme de policier.
Le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner a donc fait montre de fermeté, réclamant une « tolérance zéro » contre le racisme au sein des forces de l'ordre. « Aucun raciste ne peut porter dignement l'uniforme de policier ou de gendarme (…) Aussi, j'ai demandé à ce qu'une suspension soit systématiquement envisagée pour chaque soupçon avéré d'actes ou de propos racistes », a-t-il ajouté lors d'une conférence de presse.

La méthode d'interpellation policière controversée de la « prise par le cou, dite de l'étranglement, sera abandonnée », a par ailleurs annoncé l'ancien socialiste. « Elle ne sera plus enseignée dans les écoles de police et de gendarmerie. C'est une méthode qui comportait des dangers », a ajouté le ministre.
Réforme des inspections du ministère de l'Intérieur
Il a aussi annoncé une réforme «  en profondeur des inspections du ministère de l'Intérieur  » – l'Inspection générale de la police nationale (IGPN), son homologue de la gendarmerie (IGGN) et l'inspection générale de l'administration (IGA) – pour «  plus d'indépendance  ». Cette réforme «  devra permettre plus de cohérence, plus de collégialité entre ses inspections et surtout plus d'indépendance dans leur action vis-à-vis des services  », selon le ministre. Depuis le début du mouvement des Gilets jaunes, en novembre 2018, et son cortège de manifestants blessés, les violences policières sont une épine dans le pied du gouvernement, qui refuse systématiquement d'utiliser ce terme. Et la mort de George Floyd aux États-Unis a remis cette question brûlante au cœur du débat en France.

Saisi par Christophe Castaner, le parquet de Paris a ouvert vendredi une enquête sur des messages racistes publiés sur Facebook et attribués aux forces de l'ordre. L'IGPN a annoncé lundi avoir été chargée en 2019 d'un nombre inédit d'enquêtes judiciaires (1 460, + 23,7 % par rapport à 2018) et dont plus de la moitié portent sur des «  violences volontaires  » de la part des forces de l'ordre. Ce dernier chiffre a bondi de 41 % par rapport à 2018. Le Défenseur des droits Jacques Toubon a, lui, indiqué avoir enregistré l'an passé un bond de quasiment 29 % des dossiers liés à la «  déontologie de la sécurité  », dont la majorité concerne l'action des forces de l'ordre. Sur les presque 2 000 contestations reçues, le Défenseur des droits a conclu à un «  manquement  » des agents dans seulement 10,7 % des cas.
Les annonces de Christophe Castaner n'ont pas manqué de faire réagir l'opposition. Emmanuel Macron et Christophe Castaner « lâchent la police et la gendarmerie » sous « la pression d'une famille de délinquants notoires et de quelques excités », a estimé lundi le vice-président du Rassemblement national, Jordan Bardella. « En voyant ce pouvoir tétanisé se coucher, racailles et indigénistes qui tentent d'importer chez nous une hystérie racialiste doivent jubiler ! » a ajouté sur Twitter le responsable du RN. « Castaner exigeant de la police et tolérant avec les voyous… retour à la case départ pour ce socialiste », a tweeté de son côté le porte-parole du RN et député Sébastien Chenu.
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Le gouvernement et ses ministres sont les pleutres de cette clique macronienne, on les a vu depuis le début du quinquennat d’E.MACRON des bavards bienpensant donneurs de leçons creuses !

Les spécialistes politiciens élus justice et intérieur ne sont capables que de fuir devant leur responsabilité devant une délinquance souvent violente qui vandalise, détruit, pille, vole tue ou trafique et ne respecte aucune loi, et qui viennent de trouver une faille dans notre société, le racisme policier qui existe peut-être, mais marginal comme dans tout individu français, malgré qu’ils soient sanctionnés quand les faits sont avérés mais pas assez sévèrement !

Ces individus qui crient en vociférant dans leurs manifestations quelque fois violentes attisent ce racisme qu’ils dénoncent, car on leur colle des étiquettes de délinquants qui elles n’ont rien à voir avec leur couleur de peau, voyous, ce qu’ils sont en fait en vandalisant et semant le désordre pour tout et n’importe quoi !

Le gouvernement avec le ministre de l’intérieur a énoncé quelques mesures inutiles qui ne calmeront pas cette délinquance, mais leur donnera plus de raisons pour certains de continuer leurs délits divers avec les violences induites, car la voyoucratie et délinquance n’a rien à voir avec le racisme, excuse trop facile, quand on les arrête fermement !

Et si on veut faire comme pour les femmes avec la parité, mettons plus de policiers de couleurs français dans les rangs de la police !?

La tolérance zéro devrait être contre la délinquance !

Jdeclef 09/06/2020 13h34

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