jeudi 11 juin 2020

Il n'a que ce qu'il mérite, car comme d'habitude, il a mal géré ces manifestations (INTERDITES) soi-disant anti raciste, mais surtout anti flics et police en général !


Christophe Castaner moqué par ses troupes

Le ministre de l'Intérieur reçoit les représentants élus des 146 000 fonctionnaires de police pour éteindre l'incendie naissant. Mission impossible ?

C'est la conférence de presse du ministre de l'Intérieur, il y a deux jours, qui a mis le feu aux poudres. En annonçant une réforme des méthodes d'interpellation des individus récalcitrants et, notamment, de la clé d'étranglement pour mettre à terre un interpellé virulent, Christophe Castaner a déclenché un vent de fronde.
Le premier flic de France a pourtant lâché du lest : il promet de remplacer ces gestes techniques critiqués par des parties civiles, des associations ou l'opposition par le pistolet à impulsion électrique, connu sous la marque Taser.


Castaner et les « soupçons avérés » : un message à double sens

Le renfort du préfet de police

Malgré cela, les forces de l'ordre n'hésitent pas à continuer de se moquer du ministre de l'Intérieur, coupable, selon eux, d'angélisme. Pour eux, le ministre feint de croire que la rue est « le monde des bisounours ». À cet égard, des écussons à l'effigie des personnages du dessin animé pour enfants sont apparus sur les réseaux sociaux fréquentés par de nombreux policiers. « Bienvenue dans le monde des bisounours… En état d'urgence. »
Un autre orné d'une licorne porte la mention « Forces de l'ordre dans un monde magique ». Une vidéo circule également où celui qui semble être fonctionnaire de police mime dans son véhicule une (non)-intervention en dépit de la demande d'un requérant. Sur la musique des « Bisounours », encore, le policier se justifie en « ne voulant pas effrayer ces petits êtres fragiles (décrits comme porteurs de barre de fer) de ce monde magique ».
Béglé – Castaner, encore victime de ses émotions…

La chasse aux Bisounours est ouverte

Le ministre de l'Intérieur a reçu le renfort du préfet de police, Didier Lallement, qui a envoyé un message aux policiers placés sous son autorité : « Ne doutez pas de la police, ceux qui la détestent ne sont jamais que ceux qui détestent la République. Ne doutez pas de vos patrons policiers qui s'investissent avec vous en vous protégeant du mieux qu'ils peuvent. Ne doutez pas de vous… » Pour le haut fonctionnaire, ceux qui critiquent la police sont des communautaristes.

À Nice, mercredi 10 juin, des policiers déposent symboliquement leurs menottes sur le sol. 

Hasard ou coïncidence, Valérie Martineau, la patronne des 20 000 policiers de Paris et son agglomération, s'est fendue d'une note pour rappeler la bonne tenue du policier. « Il est interdit de porter lors du service […] tout élément en rapport avec l'appartenance à une organisation politique, syndicale, confessionnelle ou associative de quelque nature que ce soit », écrit la cheffe de la Direction de la sécurité de proximité de l'agglomération parisienne (DSPAP). « Seuls les insignes officiels sont autorisés […], aucun autre signe distinctif ne doit apparaître sur l'uniforme, qu'il s'agisse d'insignes de promotion, d'école ou célébrant un événement quelconque. »
La chasse aux Bisounours et aux licornes est déclarée.
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De la part de certains délinquants qui se sont servis de la lutte contre le racisme dans notre police (et qui n'est pourtant pas comme aux USA qui ont un passé ségrégationniste pas si ancien, car remontant aux années 1960 et bien avant avec un esclavage dans les états du sud des états unis qui ont conduit à une guerre de sécession qui n'est pas ancien au IXX eme siècle indirectement !)

Notre police a fustigé et moqué leur ministre de l’intérieur dont ils dépendent, car au lieu de défendre leurs actions de service d’ordre, il en a réduit les moyens pour faire respecter la loi pour calmer des délinquants souvent violents qui se servent maintenant de leur couleur de peau pour invoquer le racisme dans la police, car c’est si simple et bien sûr, quand il y a des dérapages des policiers lors d’interpellations musclés, ils mettent en exergue ce fameux racisme Français et pas seulement de la police !

Mais quand ils ravagent des lieux publics ou privés vandalisent pillent attaquent ceux qui ne plaisent pas car pénétrant dans leurs zones où ils trafiquent et on les connait il faut faire très attention quand on veut les contrôler !

Car depuis 30 ans les gouvernements et dirigeants passés ont laissé aller cette voyoucratie souvent dans des zones devenues de non droit !

Quant à CASTANER comme tous nos élus bobos au gouvernement ces protestations ou moqueries de leurs fonctionnaires de police, ça glisse sur eux comme les plumes d’un canard, car ils n’ont aucun amour propre !

Jdeclef 11/06/2020 16h54

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