dimanche 23 mars 2014

TOUS CES POLITICIENS ET LEURS CASSEROLES S'ILS SE SENTENT MORVEUX QU'ILS SE MOUCHENT!



Nicolas Sarkozy au meeting de NKM, le 10 février 2014.

Tribune de Sarkozy: La référence à la Stasi fait réagir

POLITIQUE - La comparaison est «insupportable», selon Montebourg...

Une petite phrase aux mots particulièrement choisis. Nicolas Sarkozy a embrasé la classe politique à la veille d’un week-end électoral où il a comparé les écoutes téléphoniques dont il est l'objet  aux méthodes d’investigation de la Stasi, la police politique de l'ex-RDA qui a espionné des millions d'Allemands de l'Est en s'appuyant sur un réseau de délateurs au sein de la population, a fait bondir la gauche.
La comparaison avec la Stasi «est insupportable, parce qu'en Allemagne de l'Est, c'est une police politique, sous inspiration politique avec des déterminantes politiques»,
La référence fait même réagir policiers et juges. Dans un communiqué, le Syndicat des cadres de la sécurité intérieure (SCSI, majoritaire chez les officiers de police) l’affirme: «La police n'est pas la Stasi!», dit-il. Le SCSI «regrette qu'un ancien président de la République et ancien ministre de l'Intérieur puisse faire de telles déclarations». «Comment peut-il oublier que la Stasi pratiquait des écoutes administratives généralisées alors que dans cette affaire il s'agit d'une interception téléphonique intervenant dans le cadre d'une instruction judiciaire relative au délit supposé de trafic d'influence», ajoute le syndicat de policiers.

Juges indépendants

Même la présidence du tribunal de grande instance de Paris, poste habituellement très discret, a dû rappeler dans un communiqué que «les juges d'instruction, statutairement indépendants, instruisent à charge et à décharge et que leurs décisions sont soumises au contrôle des juridictions supérieures».
Enfin, un député franco-allemand, Matthias Fekl, né en Allemagne en 1977, qui dit avoir «grandi à Berlin, à une époque où, de l'autre côté du Mur, le seul fait de prononcer le mot “Stasi” pouvait vous glacer le sang», a appelé les «républicains de la droite et du centre» à «sortir de leur silence» face aux «attaques» de Nicolas Sarkozy envers les institutions françaises et à son évocation des méthodes de la Stasi.

En effet cela suffit avec N.Sarkozy "et ses casseroles hélas nombreuses pour lui (qu'il traine et qui tintent trop fort à ses oreilles) elles ne sont pas arrivées là, comme par le "saint esprit"?

Je ne suis inféodé à aucun parti, et pourtant j'ai voté pour lui en 2007 mettant fait avoir par ses belles paroles, je n'ai pas recommencé en 2012 et on continue à nous rebattre les oreilles avec ses affaires rocambolesques indigestes!


Ce Mr "vexé" dans son amour propre qui voulait tout avaler, tout réformer et tout faire par lui même, n'a même pas été capable d'être réélu, mais continue à se faire remarquer, mais pas dans le bon sens!


Ce monsieur qui voulait réduire les pouvoirs de la justice et qui n'aimait pas les juges (on comprend pourquoi) qui aussi n'aime pas les médias, (forcement c'est à cause d'eux que ressortent des affaires douteuses indirectement) qui a créé par exemple ADOPI loi liberticide qui peut éplucher le web des particuliers sous prétexte de lutter contre le chargement illégal et j'en passe et des meilleurs!


Et maintenant il veut comparer nos institutions à la "STASI" une police politique de l'ex RDA  qui écoutait espionnait chacun et se servait de la délation commune en faisant disparaitre les opposants de ce régime!

(Ou comme le pétainisme de cette droite française qui avait glissée à l'extrême pendant la dernière guerre, s'il préfère, avec de la délation partout?)

Mr Sarkozy, si rien ne ressort des investigations menées sera innocenté et de toute façon, il est bien mieux armé pour se défendre qu'un pauvre justifiable lambda (il n'est coupable de rien dit-il?) Bien:


La justice qu'il déteste tant peut seule le blanchir qu'il y pense et ne l'oublie pas et si c'est le cas, il pourra se redresser comme "un paon qui fera la roue"!


Alors il n'a rien à craindre, ce monsieur "aime les feux de la rampe" de la politique politicienne, qu'il en mesure les inconvénients, pas seulement les avantages, à titre simplement de leçons qu'il aimait donner quand il était au pouvoir (d'ailleurs il n'y a pas que lui, car c'est un grand défaut de nos politiciens!)

jdeclef22.03.2014 -

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