mardi 30 avril 2013

"Oh! Un argument pour autoriser notre conduite ! Un sophisme, une argutie à attraper le diable !" : « le mur des cons »

Le «mur des cons», dans un local du Syndicat de la magistrature.

«Mur des cons»: Le journaliste à l’origine de la vidéo assume, France 3 ouvre une procédure disciplinaire

POLEMIQUE - Le journaliste estime avoir «fait son métier» et se dit «fier» d’avoir filmé...

La direction de la rédaction nationale de France 3 a annoncé ce lundi dans un communiqué avoir ouvert une procédure disciplinaire à l'encontre d'un de ses journalistes après la diffusion de la vidéo du «mur des cons» filmée dans les locaux du Syndicat de la magistrature (SM).
Le communiqué précise que cette décision a été prise «suite aux premiers éléments de l'enquête interne» et que la procédure est mise en oeuvre dans la mesure où le journaliste qui a tourné cette vidéo «au cours d'un reportage pour sa rédaction, a fait le choix d'en dissimuler l'existence à sa hiérarchie».

«Content que ce soit devenu une affaire publique»

Clément Weill-Raynal, le journaliste en question, assume pour sa part son geste. «Oui, j'ai filmé et j'en suis fier», indique-t-il au Parisien, poursuivant: «C'est mon rôle de filmer ce qu'on ne veut pas que je filme!»


La liberté de la presse et d'expression est pour moi primordiale! DONC :

Si l'on commence à sanctionner des journalistes ou tenter de les museler par des sanctions diverses :

(RAPPEL) : on revient aux heures sombres du ministère de l'information qui existait en France qui a perduré entre 1938 et :
Tantôt érigé en ministère, tantôt en secrétariat d'État, ce département de l’Information joue le rôle principal - dans les années 60 - du contrôle des ondes télévisées. 

Supprimé en 1969, après le départ du général de Gaulle, il est rétabli en avril 1973, puis disparaît définitivement en mai 1974.

Mais ce problème journalistique met en exergue le fait que l'on fait encore une montagne d'une taupinière en France comme d'habitude!

Les personnages qui se sont trouvés "collés" sur ce tableau peuvent toujours porter plainte, car on peut comprendre qu'ils ne soient pas contents!

Mais, si il y a des individus à blâmer, ce n'est pas le journaliste, mais les auteurs de cette mauvaise mascarade puérile faite dans les locaux du syndicat de la magistrature (lieu privé semble-t-il) donc si sanctions il y a au niveau de la magistrature en ce qui concerne ce tableau, elles doivent être prises disciplinairement en interne à cette institution!

En dehors de celles bien sur prises, suite au plaintes déposées par les éventuels plaignants figurant sur  le tableau appelés "murs des cons" qui elles doivent suivent leurs cours judiciairement!

(Le reste n'est qu'arguties de politique politicienne et d'étiquettes partisanes comme on sait si bien le faire en France pour chaque polémique diverses alimentées par ceux qui aiment jeter de "l'huile sur le feu», dans notre pays qui n'a pas besoin de cela en ce moment!)


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