Votation le 14 avril 2013 dans un café proche de la gare du Nord au sujet
des salles de shoot
Paris: Une votation contre les salles de shoot
POLITIQUE - L'UMP s'est mobilisée dimanche en opposition au projet prévu près de la gare du Nord...
Le débat politique à Paris s'est piqué dimanche d'une polémique sur les salles de shoot, un endroit où les toxicomanes peuvent consommer de la drogue de façon encadrée. Au Rapide du Nord, un troquet en face de la gare du Nord, des Parisiens font la queue pour participer à une votation populaire sur ce projet porté par l'actuelle majorité municipale. Sans surprise, les participants, invités par l'opposant UMP local Serge Federbusch, y sont majoritairement opposés, avec 296 votants, dont 280 voix contre et 16 voix pour. «Une salle de shoot va créer de l'insécurité supplémentaire», explique Etienne, un «votant» qui habite à deux pas de la gare. Ne permettrait-elle pas au contraire de lutter «contre la déshérence des toxicomanes sur la voie publique», comme le dit Rémi Feraud, maire PS du 10e? «D'accord, mais pas dans ce quartier !», répond Nadine, l'épouse d'Etienne. Jean-François Legaret, chef du groupe UMP au Conseil de Paris et candidat à la primaire, aussi présent, promet qu'il fera un recours au tribunal.Les riverains «inquiets»
On
dépense beaucoup dans un certain sens, quand il y a un retour sur
investissement et surtout profit (exemple les radars sur les routes)
Là,
sous prétexte de soins ou de cacher les drogués de la vue des autres, on ouvre
ces salles de consommation de drogue, on entre dans le dicton
"soixanthuitard" (il est
interdit, d'interdire) ou tout le monde à droit de s'empoisonner, mais il
ne faut pas que çà dérange les biens pensants!
Les
drogués ne sont pas des malades pathologiques classiques, ce sont des addictifs
tout comme les alcooliques, fumeurs etc...
Sauf
que leurs produits sont des poisons qui entrainent de la violence, quelques
fois pour s'en procurer qui va jusqu'aux crimes de sang (de part l'argent que cela rapporte aux gangs, ou les consommateurs eux
mêmes poussés à la dernière extrémité, sans compter la prostitution, ou la circulation d'argent
sale pour alimenter le terrorisme etc.)
Ce
qui fait dire à certains, légalisons les drogues comme cela, la notion de
produits interdit tombe, ainsi que le marché clandestin et bien sur les prix
avec et puisqu'on y est taxons le comme le tabac, pour que l'état en profite,
tout en soignant les malades?
Il
n'y a qu'une vraie solution rigoriste, si l'on veut supprimer ou tout au moins
diminuer ce fléau, c'est lutter par des mesures de justice pénale très très
sévères en matière de sanction, en commençant par faire un vrai ménage dans les
lieux ou se trouve les guetteurs, dealers, revendeurs et aussi consommateurs
avec des pouvoirs de police renforcés pour ce type de délits qui alimente une
délinquance de plus en plus dangereuse!
Dans
ce dernier cas les consommateurs (qui se
sont rendus malades eux mêmes) il faut les arrêter et les obliger à se
soigner, même de force, s'il le faut, et non pas les aider à se droguer, soit disant
dans de bonne condition!
Ho
! bien sur, cela coutera, mais il faut savoir ce que l'on veut, agir ou
"pousser la poussière sous le tapis" comme on fait depuis des décennies
(ou par la justice tolérante à la
Taubira, du "tout le monde est beau et gentil" ?)
Curieusement un anniversaire sur un autre sujet (un peu) parallèle, Marthe RICHARD a fait fermer le 16 avril 1946,les maisons dites "de tolérance",les prostituées se sont retrouvées dans la rue et cerise sur le gâteau,on abolit la loi sur le racolage passif,et maintenant on veut ouvrir des salles de "shoot" pour les drogués..!
Sans autres commentaires d'un gouvernement qui "coure après sa queue" PAR NOS DIRIGEANTS en mal d'idées!
jdeclef15.04.2013 -
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