lundi 15 avril 2013

UNE FOIS DE PLUS ON ESSAYE PAR UN MOYEN DÉTOURNÉ DE MASQUER UN PROBLÈME ENDÉMIQUE DE NOTRE SOCIÉTÉ HYPOCRITE, PLUTÔT QUE DE LE TRAITER ÉNERGIQUEMENT DANS NOTRE PAYS!

Votation le 14 avril 2013 dans un café proche de la gare du Nord au sujet des salles de shoot

Paris: Une votation contre les salles de shoot

POLITIQUE - L'UMP s'est mobilisée dimanche en opposition au projet prévu près de la gare du Nord...

Le débat politique à Paris s'est piqué dimanche d'une polémique sur les salles de shoot, un endroit où les toxicomanes peuvent consommer de la drogue de façon encadrée. Au Rapide du Nord, un troquet en face de la gare du Nord, des Parisiens font la queue pour participer à une votation populaire sur ce projet porté par l'actuelle majorité municipale. Sans surprise, les participants, invités par l'opposant UMP local Serge Federbusch, y sont majoritairement opposés, avec 296 votants, dont 280 voix contre et 16 voix pour. «Une salle de shoot va créer de l'insécurité supplémentaire», explique Etienne, un «votant» qui habite à deux pas de la gare. Ne permettrait-elle pas au contraire de lutter «contre la déshérence des toxicomanes sur la voie publique», comme le dit Rémi Feraud, maire PS du 10e? «D'accord, mais pas dans ce quartier !», répond Nadine, l'épouse d'Etienne. Jean-François Legaret, chef du groupe UMP au Conseil de Paris et candidat à la primaire, aussi présent, promet qu'il fera un recours au tribunal.

Les riverains «inquiets»

On dépense beaucoup dans un certain sens, quand il y a un retour sur investissement et surtout profit  (exemple les radars sur les routes)

Là, sous prétexte de soins ou de cacher les drogués de la vue des autres, on ouvre ces salles de consommation de drogue, on entre dans le dicton "soixanthuitard" (il est interdit, d'interdire) ou tout le monde à droit de s'empoisonner, mais il ne faut pas que çà dérange les biens pensants!

Les drogués ne sont pas des malades pathologiques classiques, ce sont des addictifs tout comme les alcooliques, fumeurs etc...

Sauf que leurs produits sont des poisons qui entrainent de la violence, quelques fois pour s'en procurer qui va jusqu'aux crimes de sang (de part l'argent que cela rapporte aux gangs, ou les consommateurs eux mêmes poussés à la dernière extrémité, sans compter  la prostitution, ou la circulation d'argent sale pour alimenter le terrorisme etc.)

Ce qui fait dire à certains, légalisons les drogues comme cela, la notion de produits interdit tombe, ainsi que le marché clandestin et bien sur les prix avec et puisqu'on y est taxons le comme le tabac, pour que l'état en profite, tout en soignant les malades?

Il n'y a qu'une vraie solution rigoriste, si l'on veut supprimer ou tout au moins diminuer ce fléau, c'est lutter par des mesures de justice pénale très très sévères en matière de sanction, en commençant par faire un vrai ménage dans les lieux ou se trouve les guetteurs, dealers, revendeurs et aussi consommateurs avec des pouvoirs de police renforcés pour ce type de délits qui alimente une délinquance de plus en plus dangereuse!

Dans ce dernier cas les consommateurs (qui se sont rendus malades eux mêmes) il faut les arrêter et les obliger à se soigner, même de force, s'il le faut, et non pas les aider à se droguer, soit disant dans de bonne condition!

Ho ! bien sur, cela coutera, mais il faut savoir ce que l'on veut, agir ou "pousser la poussière sous le tapis" comme on fait depuis des décennies (ou par la justice tolérante à la Taubira, du "tout le monde est beau et gentil" ?)

Curieusement un anniversaire sur un autre sujet (un peu) parallèle, Marthe RICHARD a fait fermer le 16 avril 1946,les maisons dites "de tolérance",les prostituées se sont retrouvées dans la rue et cerise sur le gâteau,on abolit la loi sur le racolage passif,et maintenant on veut ouvrir des salles de "shoot" pour les drogués..!

Sans autres commentaires d'un gouvernement qui "coure après sa queue" PAR NOS DIRIGEANTS en mal d'idées!


 

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