mardi 29 mars 2022

Cette affaire très couteuse de faire appel à des cabinets de conseils : Confirme en autre chose que ce président n'est pas un assassin simplement un incompétent gonflé d'orgueil comme une baudruche !

 

Coignard – McKinseygate : une nouvelle affaire Benalla ?

CHRONIQUE. Le Sénat fait des révélations. Emmanuel Macron pique une grosse colère. Toute ressemblance avec une précédente affaire est-elle fortuite ?

Emmanuel Macron était en colère dimanche soir sur France 3 : « S'il y a des preuves de manipulation, que ça aille au pénal […]. S'il y a un problème, il y a des juges et une justice indépendante. »

De quoi s'agit-il ? Le 17 mars, le Sénat publie le résultat de quatre mois d'enquête menée par une commission parlementaire. Un rapport a priori des plus ennuyeux. Il concerne l'influence croissante des cabinets de conseil sur les politiques publiques. Ses auteurs ont toutefois choisi un titre accrocheur : « un phénomène tentaculaire ». Le document souligne que plus d'un milliard d'euros a été dépensé en 2021 pour payer des travaux réalisés par des cabinets de conseil privés, dont le plus emblématique est McKinsey. Il présente quelques missions qui n'ont pas abouti, et évoque des documents de travail qui auraient coûté « un pognon de dingue » (expression employée par les sénateurs) pour un résultat inexistant.

La colère du président rappelle celle qui s'était emparée de lui au moment de l'affaire Benalla : « S'ils veulent un responsable, il est devant vous. Qu'ils viennent le chercher », avait-il déclaré devant des représentants de sa majorité en juillet 2018.

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Cette montée en température du président, dimanche soir, résulte aussi de la transmission par le Sénat d'un signalement au parquet de Paris pour « suspicion de faux témoignage » à l'encontre d'un dirigeant de McKinsey, qui a assuré sous serment lors d'une audition que la branche française du cabinet américain payait bien ses impôts en France. Des documents consultés par les membres de la commission à Bercy prouvent selon eux le contraire. Le Sénat avait saisi pareillement la justice pour faux témoignage dans l'affaire Benalla, à propos de collaborateurs du chef de l'État.

La traduction du coup de sang présidentiel est simple : les 18 sénateurs et sénatrices qui forment la commission d'enquête parlementaire ont un agenda caché, et mènent une croisade partisane en pleine campagne électorale.

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Une conduite d'échec

La comparaison avec l'affaire Benalla s'arrête là. Car il n'y a par ailleurs, jusqu'à preuve du contraire, rien d'illégal, les sénateurs le reconnaissent eux-mêmes, dans cet appel accru à des cabinets privés. Il n'y a pas non plus de personnage sulfureux à la Benalla pour incarner le scandale.

Il existe, en revanche, des éléments et des attitudes qui, mis bout à bout, peuvent choquer une partie de l'opinion. Les maladresses ont commencé avant même la publication du rapport. La ministre de la Fonction publique Amélie de Montchalin est ainsi auditionnée le 19 janvier par la commission. Le matin même, elle a annoncé à la radio un changement de doctrine sur le sujet et même une circulaire à venir « dans les prochains jours », pour acter une baisse de 15 % au moins des dépenses de conseil. Autant de mesures qui semblent prises sous la pression des événements, pour ne pas dire dans l'affolement.

Et, depuis le 17 mars, l'exécutif joue en défense, notamment sur la situation fiscale de McKinsey, choquante donc très embarrassante. Il explique que la crise sanitaire, notamment, a justifié des dépenses supplémentaires. Mais selon l'enquête sénatoriale, celles-ci ne représentent que 5 % du total. Il plaide, par la voix du porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, avoir fait preuve de transparence auprès de la commission alors qu'il s'agit d'une obligation légale, et non d'une bonne manière.

Il ne donne aucun exemple concret de l'apport de ces cabinets de conseil, de peur de fâcher les fonctionnaires à quelques jours du scrutin. Comment raconter par exemple que le 24 décembre 2020 au soir, il n'y avait personne à Santé publique France ni dans les couloirs du ministère, à part des consultants privés payés à prix d'or, pour trouver en catastrophe les congélateurs à - 80 degrés qui devaient être livrés depuis des semaines pour conserver les vaccins, mais qui n'étaient toujours arrivés ?

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Il est trop tôt pour prédire l'avenir de cette polémique montante. Mais les sénateurs ont déjà prévu, pour la rentrée de septembre, de présenter une proposition de loi pour encadrer ces recours aux cabinets privés. Et attendent au tournant ceux qui pourraient s'y opposer. Une manière de se rappeler au bon souvenir d'Emmanuel Macron.

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Indépendants montre l'incompétence de nos dirigeants gouvernements et de ses fonctionnaires et ministres nuls car ne connaissant pas les métiers des administrations qu’ils doivent gérer !

Qui font de la mauvaise politique politicienne qui nécessite évidemment une réforme des institutions parlementaires et de la Veme république devenue monarchique et obsolète !

Rien à voir avec l’affaire BENALLA qui n’était que l’orgueil d’un petit bourgeois parvenu se prenant pour un monarque et qui avait besoin « d’un fou du roi » pour le distraire ou le protéger au plus près en satisfaisant ces caprices divers ce qui fait que ce personnage douteux a été dépassé par trop de pouvoir que le président lui avait accordé et donc a dérapé se croyant intouchable !

Par cette affaire Mac KINSEY bien plus grave il reprend sa réflexion :

« S'ils veulent un responsable, il est devant vous » « S'il y a des preuves de manipulation, que ça aille au pénal […]. S'il y a un problème, il y a des juges et une justice indépendante. »

Car il s’agit de sommes pharaoniques pour des conseils allant jusqu’ au milliard d’euros ce qui donnent du grain à moudre pour ces adversaires qui disent « qu’il a cramé la caisse » :

De toute façon notre petit pseudo monarque peut toujours piquer une grosse colère feinte car étant donné la proximité de sa réélection plébiscitée par des sondages médiatiques orientés et la crise internationale Européenne avec cette guerre en UKRAINE cette affaire de gros sous mal gérée ne sera pas jugée ou éclaircie avant et de toute façon il est protégé par son immunité de chef d’état encore une ineptie de notre constitution !

Cela montre simplement qu’élire un seul homme avec trop de pouvoir fragilise trop notre démocratie et nos institutions, car devenant presque intouchable !

Personnellement je n’ai jamais eu confiance en ce président mais étant donné la qualité médiocre de ses adversaires je m’abstiendrais pour la 1ere fois depuis 1963 que je vote !

Jdeclef 29/03/2022 10h17


1 commentaire:

  1. Dire simplement la vérité est proscrit par ces modérateurs bornés du point et leur rédaction c'est scandaleux cette censure arbitraire inutile puis que ce commentaire sera quand même diffusé sur d'autres médias sans compter en plus mais il faut le répéter que le POINT NE RESPECTE PAS LA LIBERTE D'EXPRESSION inscrite dans notre constitution droit inaliénable du à tous les Français car justement un grand pays la Russie et surtout son dictateur ne la respecte pas et font la guerre à des peuples qui veulent la défendre Alors Messieurs les modérateurs essayer d'être moins bornés la vérité pour les journalistes c'est un bien précieux pour tout le monde ne le gâcher pas SVP

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